La France et l'unification de l'Italie

La France et l'unification de l'Italie

L'entrevue de Plombières le 21 juillet 1858, celle un accord secret entre Napoléon III et Cavour. La France accepte de s'engager militairement aux côtés du piémont de Sardaigne contre l'Autriche en contrepartie de compensation territoriale et du maintien de l'autorité du pape. En 1859, la guerre éclate contre l'Autriche le piémont et ses alliés français remporte deux bataille décisive à magenta le 4 juin et Solférino le 24 juin. Ces victoires permet de rattacher la Lombardie au piémont Sardaigne. Mais face a la montée du mécontentement des catholiques en France, Napoléon III décide de se désengager en signant une paix séparée avec l'Autriche. Conformément aux accords passés, la France obtient en 1860, la Savoie et le comté de Nice en échange de son aide. Napoléon III tient à détenir très l’accord des populations locales en organisant des plébiscites en réalité très encadrée par les autorités. Le processus de unification est lancé. Des 1859, les partisans de l'unité italienne se soulève à Parme, modère, Toscane et en Romagne. Ces quatre régions sont rattachés au piémont Sardaigne au printemps 1860, suite au vote favorable de leur population, et sans que la France ne s'y oppose.

C. L'unité achevé sans la France.

Les ralliement successifs au piémont ont multiplier le nombre de partisans du Rizorgiemento à travers toute la péninsule (Victor Emanuel 2 roi d'Italie Viva Verdi). En 1860 le républicain Garibaldi Monte l'expédition des 1000 composé des chemises rouges pour venir en aide aux insurgés au royaume des deux Sicile. Il débarque en Sicile et conquiert Naples. Grâce au succès de cette campagne, Victor Emanuel 2 est proclamé roi d'Italie en 1861.

Face a la menace d'une conquête de Rome par les partisans Rizorgiemento, la France se retourne complètement contre l'unification italienne. Napoléon III décide d’envoyer une garnison permanente sur place pour protéger les intérêts du pape. En attendant Florence devient la nouvelle capitale du royaume en 1865 après Turin.

1866, l'affaiblissement de l'Autriche après la bataille de Sadova permet aux italiens d’intégrer la Vénétie. Seul la présence française à Rome empêche l'aboutissement du processus d'unification. L'entrée en guerre contre la Prusse en 1870 précipite le départ des troupes de Napoléon III. Rome peut enfin devenir la capitale du royaume de Italie en 1871

Conclusion: À la suite du printemps des peuples en 1848,1 espoir d'unité nationale né dans la péninsule italienne : Rizorgiemento. Il est surtout incarné par Victor Emanuel deux. Roi du piémont Sardaigne, et son premier ministre Cavour. Aider par la France, ils entament