Sujet de brevet

alheureuse.» l-7-8).

8- Le père pense que les études permettront à sa fille d’avoir une situation appréciable pour le futur et de faire un « beau » mariage. (« Les études, une souffrance obligée pour obtenir une bonne situation et ne pas prendre un ouvrier » l-8-9).

9- La phrase au discours direct est : « On ne l’a jamais poussée, elle avait ça dans elle ».

La narratrice rapporte directement les paroles pour bien montrer le fait qu’il n’est pour rien dans les choix de sa fille.

10- Les quatre termes qui montrent que le père redoute le regard des autres sont : « la gêne », « la honte », « Il craignait qu’on me prenne pour une paresseuse et lui pour un crâneur », « Comme une excuse ».

Le père aimerait sans doute que sa fille mène une vie « normale », conforme à l’idée qu’il se fait de son statut social ; il a peur que son entourage juge mal ce qu’il ne connaît pas.

11- Selon le père, « apprendre » ne demande pas d’effort particulier, c’est naturel ; en revanche, « travailler » demande des efforts, de l’acharnement, de la contrainte. Il ne peut concevoir qu’on trouve du plaisir à travailler.

La phrase qui définit la conception qu’à le père du travail est : «Travailler, c’était seulement travailler de ses mains » l-16-17).

12- Les études sont utiles dans la vie quotidienne. La narratrice décrit deux occasions au cours desquelles elle a pu mettre ses études théoriques en pratique : elle a appris des notions d’hygiène qu’il fallait laver la salade ; elle a aussi appris l’anglais ce qui lui a permis de communiquer.