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Synthèse: la condition ouvrière au 19e Siècle

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Par   •  25 Mars 2020  •  Synthèse  •  1 352 Mots (6 Pages)  •  645 Vues

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Synthèse: la condition ouvrière au 19e Siècle

Introduction:

Dans le cadre du cour d’histoire, nous avons étudié la révolution industrielle ainsi que ses causes et ses conséquences.Parmi les causes que nous avons étudiées il y a l’abondance de mains d’oeuvre qui elle fait partie de la dernière classe du peuple, la classe sociale du prolétariat.

Nous allons donc nous intéresser plus particulièrement aux prolétaires, je vais donc réaliser une synthèse qui décrira la situation des prolétaires dans la 2ème moitié du 19ème siècle, en mettant en évidence les éléments qui pourraient expliquer la colère ouvrière en 1886.

Je commencerais donc par les aspects de la conditions prolétarienne puis, je continuerais par les inégalités entre les bourgeois et les prolétaires pour finir par une conclusion

Les quatre aspects principaux de la condition prolétarienne sont les suivants:

Arguments et développement:

Tout d’abord, il faut dénoncer les conditions de travail difficiles des ouvriers qui travaillaient dans les usines et notamment dans les charbonnages.


En effet, les conditions de travails étaient déplorables et inhumaines.Les ouvriers travaillaient en moyenne de 10 à 12h par jour et passaient la plupart de leur temps sous terre.De plus, ils avaient très peu de jours fériés et travaillaient plus de 295 jours dans l’année (docs 5)

Les accidents liés au travail dangereux (comme une explosion de grisous) étaient également très nombreux et les conditions sanitaires étaient inexistantes.

Alors même que ces conditions de travails sont difficilement supportables pour des hommes adultes, les enfants et les femmes étaient également employés dans les mines et dans les différentes industries afin d’assurer un complément de salaire vital pour la famille (docs 7 et 10).Malgré toutes les protestations contre le travail infantile (doc 9), il ne sera aboli qu’a partir de 1889 pour les enfant de moins de 12 ans, il faudra attendre plus longtemps pour l’abolition totale du travail infantile.

Ensuite,il faut parler des conditions de vies déplorables et par conséquent de l’espérance de vie très faible des prolétaires.

Les prolétaires à cause de leur salaire très faible, cherchaient à se loger au plus bas prix possible et bien souvent la famille habitait dans une pièce très exiguë.(doc 3)Les habitations étaient par ce fait insalubre et le manque de soleil ainsi que l’accumulation de divers déchets conduisait souvent à des épidémies comme le choléra.(doc 4)Malgré les mesures prises contre cette insalubrité, les quartiers restent sales et sont néfastes pour la santé.

Il faut également noter que malgré les compléments de salaires apportés par les enfants et les femmes, les familles ont du mal à se nourrir et sont forcés de manger comme des prisonniers.(doc 7)Les ouvriers mangent moins de viande, remplace leur pain et utilisent très peu de graisse.

Ils sont également forcés de toujours porter les mêmes vêtements et de d’empiéter dur leur soin et leur propreté ce qui, combiner au travail des enfants laisse supposer que l’hygiène de vie est inexistante durant cette période.L’espérance de vie très faible de cette classe ouvrière rend compte du mauvais état sanitaire, un ouvrier ne dépasse par l’âge de 30 ans.

Pour continuer, une des principales causes de la misère de cette populations est que les salaires ne permettent pas d’assurer un confort de vie suffisant.

Effectivement, l’essentiel du budget familial va dans l’alimentation ce qui laisse très peu de moyens pour le logement, l’éducation et les loisirs.(doc 6)

Les familles n’ont pas assez de moyens pour subvenir à leur besoins et doivent également réduire leur budget pour l’habillement et l’alimentation.

Ces salaire très bas sont dû au nombre de travailleurs très élevés alors que la demande est faible comparés à celle-ci.

Crise de surproduction en 1880.

Malgré la croissance économique constant, les ouvriers miniers très peu des bénéfices économique  de la révolution industrielle et de l’accroissement de l’économie Belge.

Comme dernier aspect de la conditions prolétarienne,

J’évoquerais le manque de participations politique de cette classe sociale.

En effet, afin d’être élu comme député ou d’avoir un rôle politique, il faut avoir de l’argent, en effet à cette époque c’est celui-ci qui entraine le pouvoir, ce que les ouvriers n’ont pas.De plus les prolétaires ne peuvent pas voter à cause du suffrage censitaire et capacitaire mis en place par faute de moyens et de connaissance.La population ouvrière était en effet souvent analphabète et inculte faute d’éducation et, l’ignorance facilitant l’exploitation, le système n’avait pas intérêt à ce que les prolétaires soient instruits.

Je vais maintenant cité et développé quatre Inégalités entre les bourgeois et les prolétaires.

Au niveau politique:

Très peu de participation des prolétaires au pouvoirs politique car utilisation du suffrage censitaire et capacitaire qui impliquent soit un diplôme universitaire, soit de l’argent.Pour ces raisons, les ouvriers réclament un suffrage universel.

En confront, la majorité des bourgeois ont un rôle politique.En effet la richesse entraine le pouvoir.

Les bourgeois prônent le conservatisme social qui fait défaut aux prolétaires qui ne peuvent donc pas évoluer socialement.

Malgré que la bourgeoisie représente seulement  3% de la population. Les bourgeois ont plus d’importance politique que les prolétaires alors que ceux-ci représente la majorité de la population.

Au niveau économique:

Conditions des prolétaires sont déplorables,

Ils ont des salaires très faibles et ne mangent que du pain et des pommes de terre car la viande est trop chère.Comme leur salaire est insuffisant, leurs enfants dès l'âge de 8 ans, doivent travailler dans les ateliers d’usines.Plus de la moitié du budget familial est réservé à l’alimentation et le reste est pour le chauffage, l'éclairage et le loyer, peu pour les vêtements et loisirs. Ils n'ont pas beaucoup d'économie.Les prolétaires ne bénéficient pas de l’accroissement de l’économie Belge et est donc mécontente.

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