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tériorés

Fraude s’est largement répandue.

* A cause de l’absence de l’Etat, et des déplacements de la population.

* Investissements très importants : de nouvelles centrales ont été construites + réseaux de transport modernisée.

* En 1975 : on a assistée a un mouvement d’urbanisation très important du aux déplacements forcés 2/3 de la population ont changée de logement.

* Cette concentration d’urbanisation s’est traduite par une polarisation sociale et confessionnelles, opposants des banlieues chrétiennes et musulmanes.

* Or la géographie de la consommation électrique a connu une transformation parallèle en raison des déplacements forcée et de l’augmentation du poids des périphéries du pays et de certaines banlieues.

* Cette urbanisation a fait un décalage entre l’offre et la Dde d’électricité

OR CONSEQUENCES

1. De nombreux usagers potentiels d’électricité se trouvent exclus de la distribution cars ils squattent le terrain (se place dans un terrain qui ne leur appartient pas) impossible d’avoir un abonnement.

NB : Progressivement, un statut a été défini pour ces déplacées : un abonnement second appelé MAQTOU’IA : un système de mise en place d’un disjoncteur qui fournit une quantité limitée (10A pour 50 000 LL)

2. GRAPHE Développement de la fraude la persistance des pénuries (insuffisances) jusqu’à aujourd’hui et des situations non règlementaires expliquent cela. La répartition territoriale de la fraude est contrastée selon les régions.

Taux de fraude le plus élevée dans la Bekaa et le sud.

Ex du Liban Sud : 27% d’énergie gaspillée

17% d’abonnées

10% de consommation

Alternative du fuel-oil: le gaz

* En 1997, la direction avait fait le constat de la trop grande dépendance de la production a fuel-oil et avait pense a une alternative moins couteuse et moins polluante et qui détériore les usines moins vite : Le gaz.

Veille de 2006

* A la veille de 2006 : la situation était loin d’être satisfaisante la pénurie demeurait (hors Beirut) pratiquement insensibles à Beyrouth intra-muros (juste la ville de beirut), mais des coupures de plusieurs heures par jours dans les banlieues de la capitale et les régions.

* Les Libanais ont toujours des abonnements au générateur, pour plusieurs dizaines de dollars par mois, autre que leur facture officielle d’électricité.

* Des centrales thermiques ont été modifiées pour pouvoir fonctionner aux gaz et non plus seulement au pétrole. Les gazoducs (tuyaux) depuis la Syries ont été installés, mais ils n’ont jamais fonctionnées puisque après 2005, le changement de relations avec la Syrie a conduit à la suspension du projet.

* D’autres installations sont vieux et tombent souvent en pannes, et le potentiel hydroélectrique pays est sous exploites faute d’investissements adéquats.

* La haute du prix de fuel rend la production dans les centrales thermiques non rentables.

* EDL peine à faire diminuer la fraude et à encaisser les factures. cela concerne en particuliers les régions périphériques du pays, mais aussi la région centrale. ( La banlieue sud et ses quartiers illégaux, majoritairement RACHA

* Depuis 2006, la situation s’est encore dégradée.

* Les bombardements Israéliens ont une fois encore touché plusieurs installations électriques. Mêmes Beyrouth connais désormais le rationnement.

* Les écarts territoriaux restent très importants : début 2008, selon l’Orient-le Jour, Beyrouth reçoit 21 heures de courant, alors que la banlieue sud, subit près de 10 heures de coupures.

* Tous les libanais ne peuvent régler un abonnement au générateur qui atténue les délestages (sous charge) d’EDL, mais doivent régler des fractures pour un courant toujours moins fréquent.

* Tous ces facteurs(en gras) ajoutés les uns aux autres entrainent un endettement chronique de l’entreprise, de l’ordre d’un milliard de dollars par an en 2006 et 2007. + d’après le ministère des finances, a près de 12 milliards de dollars depuis 1993, jusqu’à 40 milliards de dollars en 2007 en total.

L’électricité devient donc le symbole des fossés qui se creusent au Liban entre régions, entre classes sociales, entre confessions.

Actualité en résumée :

* EdL EST UN immeuble A Gemmayze, vieux quartier qui se distingue par son patrimoine architectural ottoman de l’époque des mandats.

Cause de défaillances:

* Le système électrique libanais présente plusieurs défaillances lies au(x) :

Déséquilibre entre l’offre et la demande

Couts de la tarification

Financement des équipements

Aspects organisationnels et institutionnels

Problème de concession:

* L’EDL confit son monopole sur la production, l’acheminement et la distribution à l’exception de certaines concessions attribuées depuis 1924. manque à gagner évident pour l’Etat Aley, Zahlé et Bhamdoun.

* Il faut donc que les concessions arrivent bientôt à expiration.

* Bassil a souligné l’efficacité et la qualité des services rendus par les concessionnaires dans leurs régions respectives.

* La paralysie politique touche celui de l’électricité.

Fraude et pertes.

* 2011. EDL affirme avoir repérer 1201 cas de branchements illicites (illégaux) la plupart ont été retrouvés dans Beyrouth et sa banlieue, Liban nord, au sud, mont Liban et la plaine de Bekaa et autres infractions aux réseaux électriques dans tout le pays pour le seul mois de septembre.

* Pertes techniques s’élèvent à 15% contre une moyenne mondiale de 7%.

Pertes non techniques liées aux branchements illicites et autre formes de vol de courant s’élèvent a 20%

Les factures impayées représentent 5% de la production.

EDL perd 40% de sa production

* Branchements illicites

20% Beyrouth

9.6% Mont- Liban

33.53% Bekaa

75.5% Nord

Non précisé pour la région Sud

* L’une des questions centrales demeure celle de la distribution, donc de la collecte des factures et de la lutte contre la fraude.

* Les pertes sont de 185 millions de dollars par an du a la structure des tarifs par EDL et les concessionnaires.

* L’EDL vend le KWh à ces compagnies à un prix variant entre 50 et 75 livres (ils les revendent a 127 livres) les vendent a alors que le prix d'un kWh est de 225 kWh.

* L’entreprise semble avoir été sabordée, son personnel passant d’environ 5000 employés en 1992 a environ 2000 aujourd’hui.

Générateur de quartiers:

* EDL n'est pas en mesure de produire suffisamment d'électricité pour satisfaire la demande depuis la guerre civile (1975-1990) VIDEOOOOOOOOOOOO

* Les libanais subissent plusieurs coupures d'électricité de plusieurs heures par jour. Ils ont donc mis en place différentes solutions dont l'essentiel est les générateurs de quartier.

* Le courant a été interrompu pendant presque 6 mois entre 1988 et 1990.

* Les premiers travaux de générateurs ont en effet insiste sur l’inventivité des Libanais face a l’absence de courant (1991-1998) développement de réseaux alternatifs.

* Un commerce s'est mis en place avec la vente d'abonnement aux habitants d'un quartier.

* Ce commerce d'abonnement est illégal mais il est toléré par l'état du à la déficience d'EDL.

* Les libanais ont cru qu’ils se débarrasseront des générateurs mais en 2006, la crise s’approfondit

* Les générateurs sont devenus un symbole de la crise électrique.

* Le réseau des générateurs de quartiers est complémentaire à celui d'EDL. Ce réseau évolue en fonction de la déficience du service publique.

* Jusqu'à aujourd'hui, le secteur est toujours dépendant de générateurs électriques privées qui fonctionnent en dehors de tout supervisons