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Au bonheur des dames

Dissertation : Au bonheur des dames. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  5 Janvier 2018  •  Dissertation  •  1 827 Mots (8 Pages)  •  3 423 Vues

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CHAPITRE 1 :

En octobre 1864, Denise Baudu, une jeune orpheline de 20 ans, part s’installer à Paris avec ses frères Jean (16 ans) et Pépé (5 ans). Elle quitte alors sa province : Valognes en Normandie, où elle travaillait en tant que vendeuse de linge dans la boutique de Cornailles. Denise arrive au cœur de la capital et espère travailler chez son oncle Baudu qui possède une petite boutique : le Vieil Elbeuf. Mais, il lui dit ne pas pouvoir l’accueillir en raison du manque de place. Aussi, son petit commerce ne permettrait pas à Denise d’avoir un bon salaire. On lui conseille alors de postuler pour le grand magasin de la place Gaillon : au Bonheur des Dames.

CHAPITRE 2 :

Denise se rend donc de bonne humeur au Bonheur des Dames, mais sa timidité et son appréhension l’empêchent de rentrer. Pendant ce temps, une inspection d’entretien et du personnel est effectuée à l’intérieur. Elle est faite par le patron du magasin et son adjoint Bourdoncle lui-même : Octave Mouret. Lorsque Denise décide enfin d’entrer dans le magasin pour se présenter, son allure modeste et provinciale ne joue pas en sa faveur mais Mouret lui trouve quelque chose de particulier et décide donc de l’embaucher. Il lui fournit aussi une chambre au-dessus du commerce. Denise découvre le fonctionnement du magasin et ses employés : Hutin, Mme Aurélie, Mignot et Bouthemont.

CHAPITRE 3 :

Octave Mouret se rend chez sa maitresse, Henriette Desforges, avec son compagnon d’études Paul de Vallagnosc, et profite d’un thé pour parler de son projet d’extension du magasin au baron Hartmann : directeur du crédit immobilier. Hartmann est pour le projet de Mouret, mais seulement si les prochaines ventes du Bonheur des Dames sont un succès.

CHAPITRE 4 :

Le lundi suivant, le jour des nouveautés d’hiver est un triomphe, c’est le jour où commence à travailler Denise au Bonheur des Dames. Elle est engagée à l’essai et motivée, elle compte donner son maximum. Elle pense quelques ventes en jour de grandes ventes, première journée des soldes. Mais la pauvre Denise est méprisée par ses collègues qui se moquent de ses origines provinciales, et s’assemblent pour l’empêcher de réaliser une seule vente malgré l’importante affluence des acheteurs. A la fin de la journée, Denise est épuisée, déçue, découragée et triste. Le patron la convoque et lui demande de soigner sa tenue vestimentaire et sa coiffure si elle souhaite garder sa place au sein du magasin. Mouret voit les efforts de Denise, qui tente de faire de son mieux, malgré les critiques de ses collègues.

CHAPITRE 5 :

Denise a des soucis financiers car elle doit financer les sorties fréquentes de Jean et doit payer la pension du petit Pépé. Ses conditions sont difficiles car elle doit en plus de cela, s’acheter de nouveaux vêtements (bottines) pour respecter les attentes de son patron. Son amie, Pauline Cugnot, lui conseille donc de prendre un amant pour l’aider financièrement, mais elle refuse de s’abaisser à la proposition de son amie. Un jeune homme, nommé Henri Deloche, se présente à Denise et lui fait une déclaration, mais elle le repousse sans le blesser. En rentrant dans le magasin, Denise sent une pointe de jalousie chez son patron, à l’idée qu’elle est un amant.

CHAPITRE 6 :

C’est en juillet 1865, la saison des licenciements où 50 employés sur 400 sont renvoyés. Des rumeurs courent sur Denise disant qu’elle prête un enfant et qu’elle a un amant. Jean est constamment en train de solliciter Denise financièrement, elle accepte alors un travail le soir chez Robineau. L’inspecteur Jouve, responsable de nombreux renvois, surprend Denise et Pauline discuter de problèmes d’argent. Jouve pense donc tirer profit de cela pour obtenir d’elle ce qu’il souhaite. Hutin organise une affaire contre Robineau qui sert d’argument en plus pour virer Denise. Denise refuse les avances de Jouve, qui la surprend avec Jean et pense que c’est son amant. Il organise alors avec Bourdoncle, le licenciement de Denise. Denise souhaite aller s’expliquer avec Mouret au sujet de cette histoire (comme quoi Jean Pépé sont ses frères) mais elle finit par se désister. De même, Octave souhaite, lui, reprendre Denise comme employée, mais lui aussi finit par se résigner.

CHAPITRE 7 :

Denise loue un appartement chez Bourras, artisan qui fabrique des parapluies. Elle croise Pauline et Henri qui lui donne des nouvelles du magasin. Denise traverse un moment dur, elle résiste à la prostitution. Bourras lui offre donc un emploi. Elle quitte cet emploi en Janvier 1866 (1 an plus tard), et devient vendeuse chez Robineau. Mouret baisse les prix de son magasin à perte, et Robineau fait pareil. Mais Robineau finit par être ruiné. Mouret achète les lieux qui entourent le petit commerce de Bourras, pour lui acheter sa boutique à prix offrant et agrandir ainsi son empire. Mais sa demande est refusée par Bourras. Un soir, par hasard, Mouret et Denise se rencontrent au jardin des Tuileries, Mouret propose à Denise de revenir travailler au Bonheur des Dames, proposition qu’elle dévisage. Octave quitte péniblement Denise. Informé par cette nouvelle, Baudu se réconcilie avec sa nièce (Mouret et l’oncle Baudu sont ennemis car Mouret prend toute la clientèle des alentours avec son grand et imposant commerce en vendant tout à bas prix).  

CHAPITRE 8 :

Denise écoute les doutes de sa cousine Geneviève quant à la fidélité de son mari Colomban. Le Bonheur des Dames continue à prendre de l’ampleur, écrasant les petits commerces de Robineau et Baudu, qui se ruinent chacun leur tour. Baudu est ainsi contraint de vendre sa maison de Rambouillet. Denise ne peut continuer de travailler de travailler au sein de petites boutiques, elles ne lui permettent de vivre correctement. Elle accepte alors la réalité et retourne au Bonheur des Dames, où elle occupe un poste bien payé. Denise apprend par l’intermédiaire d’Henri Deloche que Clara est l’amante de Mouret. Elle est alors très jalouse au fond d’elle. Mais, Denise souhaite tout de même sauver l’amour de sa cousine, elle discute avec Colomban et lui dit que Clara a déjà un amant. A cause du grand magasin de Mouret, les Baudu semblent désespérés (leur clientèle préfère le Bonheur des Dames, leur fille a perdu son fiancé, et leur nièce est en froid avec eux).

CHAPITRE 9 :

En mars 1867, Mouret inaugure les nouveaux magasins du Bonheur des Dames. Les 28 rayons sont mélangés de sorte à représenter de la nouveauté, du changement, de l’innovation ; ainsi énormément de monde s’empresse de venir afin de découvrir cela. Henriette Desforges, la maitresse de Mouret, s’invite aussi au magasin pour vérifier ses doutes quant à la fidélité de son mari. Une amie à elle, Mme Marty, lui désigne la véritable amante de Mouret : Clara ; mais Henriette Desforges ne voit pas en elle une vraie rivale, contrairement à Denise. A la fin de cette journée, qui fut un grand succès, les recettes du Bonheur des Dames vont au-delà des espérances d’Octave. Denise est convoquée par Mouret (il veut la séduire sans se rendre compte de sa maladresse), il la promut au poste de deuxième vendeuse et lui propose étonnamment une part des recettes du jour. Denise refuse en pensant ce que son patron souhaite réellement. Puis, elle profite de l’arrivée de Bourdoncle pour partir.

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