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Commentaire de texte C. Etemadzadeh

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Par   •  30 Octobre 2022  •  Commentaire de texte  •  835 Mots (4 Pages)  •  214 Vues

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Cet extrait du roman autobiographique de C.Etemadzadeh, La vie sans savoir, raconte son enfance sous un œil amusé, cet extrait relate plus précisément le traumatisme qu’il a subi étant plus jeune à l’école. C’est un roman assez récent qui peut témoigner d’un présent qu’on peut encore connaître. Il permet donc de décompresser sur nos traumatismes en lien avec le cadre scolaire car l’auteur se joue de son propre traumatisme c’est pourquoi nous allons nous demander : Comment l’auteur raconte son traumatisme d’enfance avec un regard amusé. Nous allons tout d’abord voir l'évènement marquant de sa jeunesse puis nous verrons comment l’auteur se joue de cette situation et presque se moque de son lui d’enfance.

Nous allons donc commencer par voir comment il raconte son traumatisme avec son regard d’enfant sérieux en toute circonstance.

Tout d’abord, on peut voir que l’auteur décrit sa professeure madame Prud’Homme de manière virulente comme étant une personne provoquant l’horreur à la simple évocation de celle-ci. On peut relever le comportement de sa professeure à la simple prononciation du nom de l’auteur en effet il est dit qu’elle est “sévère”, c’est un comportement normal si la personne vient de fauter mais n’étant pas le cas la manière de l’auteur de décrire le comportement de sa professeure est une hyperbole qui est probablement dû à son ressenti étant petit, son texte a été influencé par ses souvenir comme il les percevait avec son jeun esprit.

De plus, l’auteur rentre dans le vif du sujet en présentant un souvenir concret, celui d’un cours de dessin dans lequel une consigne précise le jeune Etemadzadeh n’a pas écouté et est donc puni, une nouvelle fois une hyperbole est utilisé on lit ici “ j’étais au ban de la classe” on peut donc voir l’exagération entre la prison et une simple punition, de plus ce parallèle est intéressant car il montre comment un enfant exagère tous ses souvenirs. L’auteur dit également “châtier” ou encore “tourment et d’infamie”, ces mots expriment le paroxysme des champs lexicaux respectifs et place ainsi le récit dans une sorte de représentation de ce qui pourrait être l’enfer pour un enfant.

Pour finir cette partie on peut que l’auteur semble subjugué par l’œuvre qu’il a créé. Il trouve son “art trop académique” or l’art en question est un coloriage d’un enfant ce qui prouve que l’enfant vit avec son imagination, chose que ne peut comprendre l’adulte c’est pourquoi sa maîtresse “ne comprit pas” son art. Il compare également son camarade sur lequel il a triché à son "maître" comme s'il avait appris de lui, il voulait plus qu’“égaler” son maître, il est encore une fois sérieux dans une situation qui ne le nécessite pas comme le serait un enfant qui désire être adulte et reconnu.

Nous venons de voir comment l’auteur voyait les choses avec son regard enfantin, nous allons maintenant voir comment il se rit de ses anciens ressentis.

Pour commencer on voit que

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