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Commentaire de texte Charles Baudelaire, "Les fleurs du mal" (1857) L’Albatros

Commentaire de texte : Commentaire de texte Charles Baudelaire, "Les fleurs du mal" (1857) L’Albatros. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  26 Octobre 2021  •  Commentaire de texte  •  692 Mots (3 Pages)  •  498 Vues

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E3                                                Français

Charles Baudelaire, Les fleurs du mal (1857): L’Albatros

1_Introduction:

        

        Charles Baudelaire, poète né en 1821 est mort en 100867, il est considéré comme le prince des poètes illustrant à la fois le romantisme le symbolisme, également connu pour sa politique novatrice au travers notamment de son jeu de correspondance entre l'essence. Les fleurs du mal est un recueil subversif publié en 1008 cents57. Il fut interdit et Baudelaire condamné à une amende et à la suppression de six de ses poèmes. L'albatros est un poème située dans la section spleen et idéal dans laquelle le poète aussi l'entre désespoir et espérance. Dans l'albatros, Baudelaire se décrit lui-même.

En quoi le poète expose utile l'allégorie de l'albatros pour incarner la figure poétique ? Lors de l'oral du bac il faudra lire le poème.

        En premier temps, nous expliciteront le contexte maritime du vol de l'albatros.

        Puis dans un second temps nous démontrerons que l'albatros devien l’allégorie du poète.

I_Le contexte maritime du poème

        On peut voir que le lieu maritime est présenté dans le vers 1 « haute mère » sur laquelle on trouve les hommes d'équipage et ces vaste oiseau des mers. Le champ lexical marin est très présent dans tous les poèmes : « équipage, mère, navire, planche (pont du bateau)… »

Sur cette toile de fond marin, se détache surtout des albatros qui sont désignés par plusieurs périphrase métaphorique personnifiés: » passe les oiseaux des mères, qui suivent, indolents compagnons de voyage »… On a une toile de fond où se détache un albatros en particulier qui désigne le poète dans sa singularité et sa solitude.

On perçoit un paradoxe dans la manière de décrire ces oiseaux qui sont dans un premier temps serait, indolent (= se laisse porter) alors qu'il se retrouve être gauche et veulent, maladroit et honteux lorsqu'ils sont sur la terre (= leur maladresse, replier sur soi-même comme s'ils étaient malades) à l'image du poète.

II_L’Allégorie de l’Albatros poète

        Les albatros aux ailes blanches vers 7 font écho aux voyageurs ailé du vers 9 qui se trouve être le poète est semblable au poète prince des nuées, le jeu des métaphores qui désigne le poète en écho au roi de l'azur. Toutefois, cet oiseau majestueux à travers la métaphore du voyageur elle est est également décrit comme maladroit et veulent, comique et laid (portrait péjoratif).

Image du poète, l'oiseau semble être maltraité par les autres (maltraité physiquement) avec l'image de « brûle-gueule » et l'autre se moque de lui en limitant boiter vers 11,12.

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