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Especes Endemique

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ison sèche, le manque de fruits le pousse à descendre dans les habitations pour chercher de la nourriture et ne craint pas de passer sur les fils électrique pour s'approcher. On peut le voir au milieu des villes comme Kawéni. Avec ses mains qui ressemblent à des mains humaines, il est capable d'éplucher certains fruits comme la banane.

Légende

À Mayotte, on raconte qu'à une époque il y avait une femme qui avait donné à manger à son enfant. L'enfant a déféqué et la femme a essuyé son enfant avec de la nourriture. Dieu s'est mis en colère et l'a transformée en maki, parce que dans la religion de Mayotte impureté et nourriture ne doivent pas être mises ensemble.

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Le Drongo de Mayotte (Dicrurus waldenii) est une espèce d'oiseau de la famille des Dicruridae. Il est endémique de Mayotte, collectivité française d'outre-mer située dans l'archipel des Comores.

Elle est restreinte exclusivement aux îles de Mayotte.

Cet oiseau est cantonné aux lisières des forêts sempervirentes et des bosquets et plantations, au-dessus de la courbe de niveau des 200 m.

Comme pour beaucoup d'espèces, son habitat est en déclin, principalement en raison de l'extension des cultures et de la pratique du brûlis. On estime la totalité de la population mondiale de cette espèce à 100 à 150 couples entre août 2000 et septembre 2003.

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LA FAUNE MARINE DE MAYOTTE

La faune marine de Mayotte est particulièrement riche et varié.les eaux de l’océan indien regorgent de vie, animal, le plancton animal, de nombreux invertébré : oursins, pieuvres, crustacée, poissons, mammifères marins: baleines, tortues, dauphins…

Le lagon te ses récif fournissent abris et nourriture pour une grande diversité d’espèces marines.

La faune terrestre de Mayotte est également particulière, abritant divers espèces animales, particulièrement beaux les uns que les autres. A Mayotte, on rencontre, les makis, qui font l objet de ravissantes légendes(le maki, qui descends des hommes, comme lui, enterre ses morts…)

Cependant, ces milieux sont très fragiles à la pression de l’activité humaine.

TORTUES

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Dans le milieu marin, les tortues, qui nous protègent des méduses dont elles se nourrissent, sont menacées.

L’homme est concerné par le sort des tortues autant que les animaux errants.

-En mer les tortues sont victimes de la pêche, d accident de bateaux (hélices, chocs) ou encore de la pollution (sachets, produits chimiques).

-Sur terre lorsqu’elles viennent pondre, elles peuvent rencontrer rencontrent des obstacles, qui les désorientent (phares des voitures, feu), être attaqué par des prédateurs (chiens errants).

Aujourd’hui pour protéger et essayer de sauver les tortues, il existe trois moyens principaux :

-supprimer les causes de leur raréfaction, c'est-à-dire interdire la chasse, reconstituer les populations diminuées et créer des zones protégées où les espèces ne craignent rien: des parcs marins.

Même si toutes ces mesures ne permettent pas toujours de sauver les tortues.

Prédateur naturel (Requins et Orques) mais le plus important est l'action de l'homme:

- Braconnage des carapaces et de la chair malgré la toxicité du chélonitoxisme.

Les tortues mangent des plantes toxiques (une cyanophycée du genre lyngbya) sur les herbiers, ce qui rend leur chair toxique.

La chair mangée est très toxique (souvent mortelle ou avec de graves séquelles) et il n'existe pas d'antidote.

- Pollution des villages établis sur les côtes.

- Aménagements touristiques sur les plages (béton).

- Pollution des plages par des ordures (bouteilles, sacs plastiques, ...).

- Tortues dérangées aux abords des plages par les touristes qui nagent à coté d'elles voire les touchent.

Un tiers des plages fréquentées par les tortues marines il y a une trentaine d'années ne le sont plus aujourd'hui.

Remèdes : Selon les recommandations de l'association "Oulanga na Nyamba" :

Si vous souhaitez observer les tortues dans l'eau, l’observation la moins perturbatrice pour la tortue doit s’effectuer dos à celle-ci et à une distance d’au moins 4 mètres (cette distance varie selon les individus observés). L’approche doit s’effectuer très lentement avec des mouvements très souples et des attitudes passives, il faut se faire remarquer par la tortue, sans la surprendre, il ne faut en aucun cas attenter des actions directes sur l’animal. La tortue peut ainsi s’habituer tranquillement à la présence de l’observateur et supporter cette présence pendant plusieurs heures. Après quelques minutes, voire quelques heures d’observation, la tortue se méfie de moins en moins et adopte un comportement quasi-naturel. L’attention de la tortue sur l’observateur se refocalise lors de la reprise d’air, il est alors judicieux de se reculer un peu pour lui permettre de remplir ses poumons d’air frais.

Le trajet des tortues à travers le sable pour rejoindre l'eau après l'éclosion est très importante pour leur survie. Le frottement du sable sur leur plastron est essentiel, il ne faut par conséquant ni les prendre dans la main, ni leur donner à manger car leur métabolisme est constitué de telle façon qu'elles sont censées tenir 15 jours sans manger. De plus, si vous voulez les observer, préférez les jours nuageux où les oeufs peuvent éclore du fait de la baisse de température plutôt que la nuit parce que l'éclairage que vous utiliserez pour les regarder désorientera les tortues et nuiera à leur survie.

Le marquage et le recensement des populations de tortues vertes font partie du suivi scientifique quotidien de Mireille Quillard à Mayotte.

Les résultats sont encourageants puisque le braconnage a diminué et que les populations de tortues vertes sont en augmentation sur l'île.

Sources:

Association Oulanga na Nyamba : http://www.tortuesdemayotte.com/

http://www.linternaute.com/mer-voile/diaporama/tortues-mayotte/sauvegarde/1.shtml

Mégaptera : www.megaptera-oi.org

DDAF (Direction départementale de l’agriculture et de la forêt) :

www.agriculture.gouv.fr/spip/

et www.ecologie.gouv.fr/

http://www.ecofac.org/Tortues/

DUGONG

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Le dugong (Dugong dugon) est une espèce de mammifère marin au corps fuselé, vivant sur les littoraux de l'océan Indien et de l'océan Pacifique ouest, notamment dans nos eaux mahoraises. Il constitue, avec les trois espèces de lamantins, l'ordre des siréniens. C'est la seule espèce du genre Dugong.

Ce mammifère, caractérisé par une dent allongée à l'avant de la face, mesure 3 à 4 mètres et peut atteindre 900 kg.

La nageoire caudale du dugong, contrairement à celle du lamantin, en forme de palette arrondie, est de forme triangulaire et présente un sillon médian. Elle ressemble en cela à la queue des cétacés.

L'animal vit seul ou en petits groupes.

Ces animaux sont herbivores, et broutent la végétation se trouvant sur les fonds peu profonds et généralement très près des côtes où ils vivent. Un adulte a besoin d'une quarantaine de kilogrammes de nourriture chaque jour.

Plus encore que le lamantin, qui appartient au même ordre des siréniens, cette espèce est menacée. Elle est fréquemment blessée par les hélices des embarcations à moteur et parfois chassée pour sa viande. Ses habitats côtiers sont en réduction, en particulier du fait du tourisme, de la pollution et de l'urbanisation des côtes.

Le taux de reproduction est bas — un petit tous les quatre ou cinq ans — et la maturité sexuelle tardive : vers 10 ans.

Les populations mondiales sont en chute rapide.

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Répartition de l'espèce sur le globe

"On ne connaît pas de façon extrêmement précise la population globale des dugongs, mais quelques pays disposent de chiffres fiables : il en resterait environ 70 000 dans le Nord de l’Australie et 6000 dans le Golfe persique, les deux seules régions du monde, au dire des spécialistes, où l’espèce a de véritables chances

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