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Histoire XX S

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Par   •  2 Mai 2020  •  TD  •  7 205 Mots (29 Pages)  •  469 Vues

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Histoire du Xxème

Aurelle Levasseur

33h Oral : 2 sujets 1 facile, 1 compliqué.

Possibilité de gratter des points en lisant Jung Chang : Les cygnes sauvages. Pocket. Pavé Interdit en chine. Se lit très bien. Raconte l'histoire de la chine maoïste, vu par les yeux d'une chinoise qui y adhère complètement au début avant une prise de conscience.
=> Permet de comprendre comment autant de personne au milieux du XXème siècle ont pu être embrigadé par des régime totalitaire.

Introduction :

Les nouvelles dynamiques (fin du XIXème siècle → 1er GM)

Qu'elles sont ces nouvelles dynamiques, ces nouvelles choses qu’apparaître entre la fin du XIXème siècle et 1914 ?
=> L’éveil des nations I)
=> Le triomphe du socialisme II)
=> La foie dans le progrès / idéologie du progrès qui marque toute l'histoire coloniale de l'Europe.
=> Le désenchantement du monde / La mort de dieu. A partir du XIXème et pendant presque 100 ans, les spiritualité religieuse vont reculer.
=> Découverte et le découpage du monde.

Chapitre 1er : L'éveil des nations :

Section préliminaire : Définition et rappels historiques : 

        Le XIXème siècle est aussi appelé le siècle du réveil des nations, et pour comprendre ce que l'expression signifie, il faut savoir que dans celle ci, le mot « nation » est entendu dans sa définition politique/ moderne. En effet on peut considérer qu'il existe 2 type de définitions du mot nation ? 1 définition commune, 1 définition politique.

Définition commune : Une nation est une population, qui se considère comme tel, (comme une nation). Elle se considère comme tel soit en raison de l'existence de point communs objectifs càd les origine ethniques, appartenance religieuse, la langue, la culture. Ou bien celle population considère qu'elle est liée par une volonté de partager un destin commun fondé sur des objectifs communs. Le « vivre ensemble ».
La nation, dans cette définition commune, la nation représente alors la cohésion d'un peuple, conscient d'avoir une identité commune. Mais dans cette définition , la nation n'a pas de lien avec l’État. Elle peut exister en dehors de tout État.

Selon cette définition, on considère que l'on peut parler de nation en France à partir de 1214, à la bataille de Bouvinnes, bataille qui a ooposé le roi de France, philipe auguste, aux armées de l'empereur allemand. Et la particularité de cette bataille, pour la première fois les seigneurs féodaux, de guerre ont combattu du côté du roi France, et en portant les armes du rois de France càd sous les  bagnères de la fleurs de lys. Ce qui indique le sentiment d'une cohésion. Plus tard, la guerre de 100 ans (XIV-XVème s) marque d'une prise de conscience national au sein de la population, liée au combat contre les anglais. Sentiment d'une cohésion.

Définition politique : La nation, qu'elle soit fondé sur des caractère objectifs ou subjectifs, elle est la communauté politique qui assure, qui est au fondement de la légitimité d'un État. Dans cette définition politique, la nation est le fondement de tout l'ordre politique. La nation au sens politique nait en 1789, au moment du transfère de souveraineté du roi à la nation. C'est la nation qui devient souveraine, et c'est elle qui justifie l'exercice de l’État.

La France fait donc son éveil des nations en 1789, un peu plus tôt que les autres, elle est une exception en Europe. En France la nation au sens politique est naît, mais ne c'est pas le cas ailleurs. En revanche il existe beaucoup de nation dans le sens commun.

Au XIXè siècle, la structure majoritaire en Europe c'est l’État monarchique, similaire à l'ancien régime, un État donc dans lequel c'est un rois ou un empereur qui est au fondement de cet Etat.

Le traité de Viennes de 1815 (traité qui règle le sort de l'Europe après la défaite de napoléon à Waterloo) avait été dressé, rédigé, de manière à consolider les Etat monarchique et les empires en Europe. (La notion d'empire s'oppose à celle de nation dans le sens politique.)

Empire : c'est un système politique, qui dans son essence est comparable à un état, mais qui par rapport à un état, l'empire à vocation à imposer sa domination soit sur d'autres États, soit sur d'autres nations, au sens politique du terme. Aujourd'hui, la Russie est encore un empire.

Au XIXème s en Europe il y a 3 empire :
- L'empire Russe
- L'Empire Autrichien
- L'Empire Ottoman.

L'empire d'Autriche : qui se transformera en 1867, domine des populations qui aujourd'hui son devenue des États nations, et qui ne l'étaient pas au XIXème siècle. Et cet empire domine notamment des populations polonaises, des Tchèques, des Croates, des Bosniaques, des Italiens

L'Empire Ottoman : domine essentiellement des populations en dehors de l'Europe, au moyen orient et en Asie, mais il domine quand même certaine populations du territoire européens, notamment situé sur les territoire des Balkans (territoire qui se situe au niveau de la Grèce). L'empire Ottomans ont dominé les grecques, qui ont réussit à se révolté en 1821. Mais continue au XIXème siècle à dominer des Albanais, des Tchèques, des Slovène, des Arméniens etc..

L'Empire Russe : lui aussi domine des populations, surtout en Asie, mais comme l'Empire Ottomans, ils domine les populations européennes ; Les 3 pays baltes (Lettonie, l'Estonie, Lituanie) et aussi la Finlande.

Au XIXème siècle, cet éveil des nations, c'est la transformation progressive des nations au sens d'identité collectives, au sens de population ayant juste une identité propres, en des nations entendu dans le sens de communauté politique dans le fondement des États. C’est pour ça que l'on dit que le XIXème siècle correspond au réveil des nations. Il n'y avait pas à part la France, de nation au sens politique du terme.

2 cas d'études : l’Allemagne / l'Italie.

Pour l'Allemagne et l'Italie on constate que leur réveil de nation se démarre par des révolutions politiques, armées (section 1), et ensuite, que ce réveil des 2 nation se poursuit par une phase de construction de leur nation, qui relève ici d'une révolution idéologique (section 2). Et enfin nous évoquerons le moment paroxysmique du réveil des nations, l'apogée, à la première guerre mondiale, qui abat ces monstres politiques qu'était les empires en Europe avec le triomphe des États nations (Section 3).

Section 1 : Le triomphe du principe des nationalité.

Dans les idées politique, le principe de nationalité qui est née dans les lumière du XVIIIème siècle mais qui est devenu à la mode surtout au XIXème siècle, annonce la théorie selon laquelle un État ne peut pas imposer son autorité à des populations qui se considère comme étrangère au gouvernement de cet État. Toujours selon ce principe, chaque peuple constituant une nation au sens commun du terme, doit être regroupé au sein d'un État, englobant cette nation, et cette nation seulement.
Ce princnipe très à la mode au XIXème siècle existe les autonomistes, les indépendantistes, en particuliers les Italiens. Mais ce principe est également chère à certaines élites politique en particulier à l'une d'entre elle. Ce principe de nationalité est très chère à Napoléon 3.

(N3 est le neveu de N1, et endosse une partie de l’héritage familiale, avec l'amour de l'ordre, et de l'autorité. On trouve également chez lui et chez son oncle le désire de rendre à la France sa gloire passé. On trouve également chez N3 l'amour des grandes entreprises. C'est un grand entrepreneur comme son oncle, influencé par Saint Simon. Mais d'un autre côté, N3 à aussi ses caractéristiques propres. En particulier il a connut une jeunesse très tumultueuse, pendant laquelle il avait été séduit par beaucoup de ces nouvelles idées de XIXème siècle. Il a aussi adhéré au principe des nationalité, tant que cela ne venait pas à l'encontre de l'intérêt de la France. La France avant tout et ensuite le respect du principe des nationalités.)

        La politique européenne à été dominé par sa volonté de redonne rà la France un rôle de 1er plan en Europe, place qu'elle avait perdu depuis 1815, et dominé également par ce principe des nationalités qui à poussé N3 à apporter son soutient aux Italiens au moment de la révolution (unité italienne). Un principe des nationalité »s qui paradoxalement amènera N3 à sa perte puisque ce qui fait chuter le second empire c'est la guerre Franco-Prussienne.

I) L'unité italienne.

        Au XIXème siècle l'Italie n'existe pas, ce qui existe en revanche, c'est un territoire où vit une population de culture italienne, et une population regroupé en 7 états, dont certains sont autonomes. C'est le cas en particulier de l’État du Piémont, qui se situe au nord, tandis que d'autres sont sous la domination de l'Empire d'Autriche.
Cette domination de l'Autriche qui est considéré comme anormale d'après le principe de nationalité donne lieux dans la population italienne des mouvements autonomistes. Mais donne lieu à des véritable politique de la part des États italiens, et en particulier, le chef du gouvernement de l'état du Piemont, le Conte de Cavour, cherche un soutient auprès de N3 pour mener l'unité.

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