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Kiki

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e eruption, et l’important volume de lave avait surement laissé des cendres en souvenirs . Je me mis alors à en chercher un échantillon afin de le prélevé, après avoir parcouru quelques metres je m’abaissa, et trouva quelques centres que je releva dans un petit pochon transparent . J’étais plutôt content de cette trouvaille, puis en relevant la tête, je me rendis compte que je n’avais meme pas pris de photos de ce magnifique paysage.Je sortis alors mon appareil photo reflex de mon sac à dos et pris quelques clichés,afin d’en garder un superbe souvenirs. Puis je prism on carnet de bord et notai les quelques actions que j’avais realisé depuis mon arrivé. Je marchai plusieurs kilometres, en examinant chaques centimetres de la terre . Le temps était plutot un doux, mais le petit pull léger que je portais laisser passer un peu d’air frais dans mon dos, ce soir était prévu une tempète ce qui est mauvais signe pour le volcan.J’étais fatigue, je décidai alors de rentrer à l’hôtel .

Une fois arrivée, je décidai d’aller me coucher pour être en forme le lendemain.La nuit fut très mouvementé, des rafales de vents ont fait trembles mes volets, des bruits de pots cassées retentissaient sans arrêt. Le lendemain, on m'annonça qu'une violente tempête avait retenti sur la ville,et que la surface du sol avait été recouverte de poussières volcanique et que l'Hekla était de nouveau au travail. J’étudierais en rentrant la cendre que j’avais ramassé.Je déçidai de passer ma journée dans la capitale de l'Islande: Reykjavik. Je pris le taxi jusque là bas et arrivai en début d'après-midi, fascinée par ces magnifiques paysages , secs, mais tellement différent de la France. La mer entouré des montagnes, les grosses maisons biscornues et pointues, les toits de toutes les couleurs, les arbres dénudés, le soleil qui traverse la capitale sur ce magnifique ciel bleu , ce fut vraiment un spectacle éblouissant. Je passai devant un bureau de tabac et le journal quotidien m'interpella: en première page , des scientifiques spécialisés sur l'Hekla prévoyaient une éruption pour la nuit prochaine . Je decidai alors de prendre contact avec eux pour ne pas louper ça, et avoir beaucoup plus de renseignements et de détails, la buraliste me donna leur coordonnées . Ils acceptèrent que je me rendent dans leurs laboratoires bien à l'abri situé en haut d'une montagne qui dominé la ville . Une fois arrivée , ils m'expliquèrent la situation , ils avaient prévues des ouvertures sur les flan du cône , mais ils ne savaient pas ou exactement . La seule chose dont ils étaient sure était que la lave n'atteindrait pas l'agglomération et ses campagnes, la lave se propagerait dans les rivières, dans les landes, et dans les cours d'eau. La nuit allait être longue , je decidai d'écrire toutes ses informations dans mon carnet de bord. Je leur ai montré mon échantillon de cendre que j'avais emmené avec moi et ils m'ont expliqué qu'elle datait de l'éruption de 1725 mais que ça avait été une petite éruption . En fin d'après midi ils m'ont indiqués un musée du volcan , à Reykjavik ou je trouverais mon bonheur pour mon carnet de bord, je décidai alors de m'y rendre demain après midi avant de repartir en France . En attendant le soir , nous gardions tous nos jumelles visées sur l'Hekla, en surveillant le moindre mouvement. Toute la soirée fut de cette façon, nous nous sommes endormis vers 2h00 du matin, lorsque a 5h32 un bruit énorme nous fit sursauté, c'était un terrible grondement souterrain. Ce grondement dura jusque demain midi, nous surveillions encore le volcan, lorsqu'à 13h30 , depuis nos jumelles , nous avons surpris les flancs du cône s'ouvrir en deux, et de la lave jaillir par torrent qui a coulé dans deux gorges sur les flancs de la montagne, un bruit énorme résonna ! La lave coulait a une allure folle, en quelques minutes elle avait deja atteins le village qui se trouvait en dessous de notre refuge-laboratoire.On pouvait voir le sommet enveloppé de vapeur de nuages, et de poussière volcanique . Des flash infos s'affichèrent sur les télévisions, passèrent sur les radio-infos :

'A douze miles du cratère, le torrent de lave avait entre quarante et cinquante pieds de profondeur et près d'un mile de largeur, il fallait quitté l'île dans l'heure qui suivait avant que la lave atteigne les quelques villages à proximité, les dégâts étaient un peu plus importants que prévues,Les cours d'eau voisins étaient devenus si chauds qu'ils tuèrent les poissons, et les moutons des landes environnantes fuirent, certains furent brûlés avant qu'ils ne puissent s'échapper. Seules les campagnes étaient touchés, par ce torrent de lave bouillant . L'ensemble de l'île était jonché de cendres volcaniques qui ont donné un goût toxique à l'herbe . Je pris des photos splendides de ce spectacle que je ne verrais surement qu'une fois dans ma vie, j'étais impressionnée, c'était la première fois que j'assistais a une telle éruption , de mes propres yeux .' Je pris une heure pour notés toutes les étapes de l'éruption sur mon carne. Puis les autres scientifiques, ont fait appelé leur collègue pour venir me chercher en hélicoptère et me déposé en france, depuis l'hélicoptère je pris d'autre photos en vue aérienne, j'étais fascinée. Le trajet fut long, l'Islande me manquait déjà, ces trois jours étaient passé à toute vitesse. J'avais l'impression d'avoir

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