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Le Bonheur

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ense également que le bonheur n’est plus une question de chance, c’est une félicité.

Dans un second temps, nous allons voir que l’avis du libertin sur le bonheur, est totalement contradictoire avec celle du philosophe. Le libertin a une conception hédoniste du bonheur, c’est à dire qu’il trouve du plaisir quand ses désirs se réalisent, il faut qu’il soit satisfait de ses besoins. Seulement, le libertin ne cherche pas à être quelqu’un d’autre, à jouer un rôle, il pense qu’i ne faut pas se bistourner. Et contrairement au philosophe il soutient que la vertu est inhumaine et froide dans ce monde.

Nous avons vu que le bonheur a une conception différente selon le philosophe et le libertin, donc nous pouvons dire que le bonheur ne peut pas être vécu ou perçu de la même façon pour chaque individu, mais comme disait Voltaire, j’ai décidé d’être heureux, c’est meilleur pour la santé. C’est à dire que chacun peut être heureux à sa façon. Mais qui s’oppose à notre bonheur ? Est ce que notre nature joue sur celui ci ?

Nous allons voir que l’homme est le seul maître de sa

vie, donc de son bonheur.

Dans un premier temps, nous verrons que les obstacles qui nuisent à notre bonheur dépendent de nous et de notre nature. L’homme ne veut pas admettre que tous ses désirs ne peuvent pas être accomplis. Comme disait Kant, nous avons tous le droit d’être heureux. Mais pour cela, nous devons faire des choix, des sacrifices. Notre conscience noble et notre conscience vide nous aide à choisir. Par exemple, tout Homme voudrait avoir un corps parfait, sculpté, qui lui plaît, dans lequel il se sent bien, mais l’Homme voudrait continuer à manger, grignoter quand il a envie de bonnes choses. Nous savons que ces deux désirs, à la fois d’avoir un beau corps puis de manger ce que l’on souhaite, sont incompatibles. Dans ce cas là, vient un sentiment de frustration. Nous devons apprendre à nous gérer, nous connaître et prendre conscience de nos limites. Nous ne pouvons pas tout avoir, ni tout faire.

Il faudrait que l’homme est une vision plus épicurienne de la vie. C’est à dire qu’il sache se contenter de choses simples, et qu’il en soit heureux. Qu’il prenne goût à des petites choses de la vie courante. Nous sommes impuissants dans certains cas, ce qui doit aider à apprécier et à se contenter de ce que l’on a déjà. Notre conscience doit nous aider à sélectionner nos désirs les plus importants que d’autres, de façon à éviter certaines souffrances.

Dans un second temps, nous verrons que l’homme devrait s’abstenir de penser pour être heureux. Ce qui revient à dire que pour réussir à être dans une phase de bonheur, il faut vivre dans l’ignorance et l’inconscience. Comme disait Flaubert, pour être heureux, il y a trois conditions : être bête, égoïste, en bonne santé. Si nous pensons en permanence cela demande beaucoup de concentrations, ce qui va compromettre notre distraction, donc cela peut empêcher d’atteindre le bonheur. Prenons l’exemple d’une personne visitant un chenil pourra-t-elle prendre du plaisir en pensant à un mauvais traitement des animaux ou au fait qu’ils soient enfermer à plusieurs dans un seul box… Si elle pense qu’à ça durant toute la visite, elle n’arrivera pas à se détendre, à apprécier la vision des chiens, le contact avec eux… Alors faut-il faire abstraction de la réalité pour atteindre le bonheur ? Derechef, nous prenons l’exemple du chenil, il faudrait oublier tout le système de celui ci, mais cela paraît idiot de visiter cet endroit sans penser à la réalité qu’il se passe à l’intérieur de celui-ci, donc si nous ne pensons pas, nous serrons plonger dans un bonheur artificiel. Cela revient à dire que nous devrions vivre comme des « imbéciles heureux ». Si nous ne pensons pas, ça va restreindre notre vie en quelque sorte et ça inclut des risques. Prenons les études comme exemple, nous choisirons de faire n’importe quelle étude que nous n’aimons pas forcément, puisque nous ne nous sommes pas poser la question. C’est une sorte de déshumanisation. Cela va amener à avoir des regrets. Au final, le fait de penser constamment empiète sur notre part de vitalité, d’amusement, de distraction…

Nous avons vu que notre nature et notre conscience jouent un rôle important, même si ce n’est pas les seuls, dans notre bonheur. Donc nous pouvons dire que c’est difficile d’atteindre un bonheur véritable et pur. Il faut réussir à voir les choses essentielles et importantes de la vie. Y a-t-il des influences extérieures qui s’imissent entre nous et notre bonheur ? Sont-elles importantes ? C’est ce que nous allons analyser maintenant.

Nous avons vu que l’homme et sa nature agissent sur notre bonheur, mais il y a aussi des influences extérieurs qui rentrent en compte.

Dans un premier temps, le terme de bon heur signifie la chance, l’augure. Ca veut dire que le bonheur peut ou pas nous atteindre. Tout est une question de hasard. Dans le facteur chance beaucoup d’éléments sont présents. Nous allons parler de certains aspects de la chance favorisant le développement du bonheur de certaines personnes. Par exemple, la personnalité de la personne, quelqu’un d’extraverti à plus de chance d’être heureux, qu’une personne introvertie qui reste seule dans son coin, timide… Il y a aussi la santé, une personne qui est plus dure physiquement ou moralement sera plus résistante qu’une personne faible, manquant de vitamines, force de caractère ou autre, cela signifie qu’elle sera moins malade, plus forte… Les liens sociaux sont également très important, le travail par exemple, nous savons tous que nous passons environ la moitié de notre vie à travailler, c’est pour cela qu’une personne épanouie dans son travail est mieux

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