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Les Tupinambas vu par les Européens

Commentaire de texte : Les Tupinambas vu par les Européens. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  7 Mars 2021  •  Commentaire de texte  •  386 Mots (2 Pages)  •  310 Vues

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A- Les Tupinambas vus pas les Européens

        Dans ce court extrait, l’auteur nous permet de comprendre la vision qu’avaient les Européens des Tupinambas à cette époque.

On voit tout d’abord dés les premières lignes que les Européens prennent de haut les Indiens comme l’indique le «nos» l.1 utilisé par Jean de Léry pour parler des Tupinambas, il utilise là un déterminant possessif pour montrer qu’à cette époque lorsque les colonisateurs arrivaient sur les terres Indiennes, ils se sentaient dominant vis à vis des Tupinambas et avaient ce désir de possession  de leurs terres et de leurs personnes comme le montre: «mon sauvage» l.16, il utilise là un nouveau déterminant possessif accompagné d’un substantif péjoratif qui vient ici accroître cette vision de domination de la part des Européens.

Jean de Léry nous montre également l’infériorité des Indiens par rapport à leurs objets et ce qu’ils en faisaient en utilisant des parallélisme (l.8-9), où il dit qu’eux utilisaient le bois pour «rougir» tandis que les Européens l’utilisait pour faire de la «teinture», cette ici un parallélisme d’inférieurité pour montrer l’écart social qu’il y a entre c’est deux populations. L’auteur en utilise un autre: lorsqu’il parle de draps rouges et de frises pour les Européens et de couteaux, ciseaux, miroirs (l.12-13), pour les Tupinambas, il fait la une énumération d’objets beaucoup moins sophistiqués pour les Indiens pour que l’on s’aperçoivent de l’inférieurité des Tupinambas qui étaient beaucoup moins avancé que les Européens à cette époque.

L’auteur va aussi comprendre et nous faire comprendre un peu plus loin dans l’extrait que le « vieillard » comme Léry l’appelle ne manque pas du tout de vocabulaire et est même très intelligent dans sa réflexion comme on peut le voir par exemple : « comme ils sont aussi grands discoureurs, et poursuivent fort bien un propos jusqu’au bout » (l.20), on s’aperçoit la que Jean de Léry se rend compte qu’il a à faire un quelqu’un qui sait très bien s’exprimer. Il s’en rend compte même plus tôt : « Puis ayant bien retenu ce que je lui venais de dire, m’interrogeant plus outre » (l.17), c’est plus particulièrement à ce moment précis qu’il se rend compte que le Tupinambas veut l’emmener vers un endroit bien précis et le faire réfléchir sur leurs façon de faire.

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