Monument Invisible

puis replacé. L’œuvre reste ainsi ouverte.

Gerz a eu l'idée de faire cette œuvre après avoir visité les sous-sols du Château de Sarrebruck où se situait un musée d’histoire. Là, trois anciennes cellules étaient ouvertes au public. Il a été touché par les derniers mots gravés dans la pierre par les prisonniers juifs, avant leur départ pour les camps.

Le fait de cacher et de graver les pavés fait références aux souvenirs cachés dans notre mémoire.

C'est une œuvre engagée car Jochen Gerz remémore la Shoah et rappelle l’horreur de celle-ci. Le spectateur ne veut donc pas que cela se reproduise.

Liens :

Monument national polonais, Champs de pierres : Le camp de travail et d’extermination de Treblinka est aujourd’hui, un monument commémoratif. Il a été réalisé entre 1959 à 1963. Il a été conçu par Franciszek Duszenko et Adam Haupt. Le monument est en fait un immense champ circulaire de pierres de tailles inégales et de diverses couleurs qui en compte 17 000 exactement, c’était le nombre de juifs exterminés en un jour dans ce camp. Chaque pierre représente donc un juif. Au centre du champ est érigé un gigantesque monument en pierre évoquant une pierre tombale. Juste avant ce champ se trouve une centaine de pierres où sont gravés les noms des pays ou villes d’où les déportés provenaient. Ce monument est comparé à un cimetière symbolique.

J'ai choisi ce lien car cette œuvre commémore également la morts des juifs grâce à des pierres, ces deux œuvres se ressemblent : - les lieux choisis sont d'anciens lieux où les juifs étaient emprisonnés

pierres utilisée pour commémorer

des cimetières sont les sujets de ces deux œuvres.