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Problème Economique Contemporain L1 Aes

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nts sont susceptibles d’anticiper parfaitement les conséquences des politiques économiques et notamment de modifier leur comportement en fonction de l’inflation anticipé.

Le résultat des décisions de l’Homo économicus dépend aussi :

* Du cadre institutionnel dans lequel ces décisions sont prises.

* Des règles qui s’imposent à l’individu.

La boîte à outils de l’économiste :

* Adoption de règle de comportement prenant en compte

* Le caractère incomplet des données.

* Le poids de l’incertitude sur l’avenir.

* Information imparfaite.

* Adoption d’une double approche de l’économie :

* Une approche microéconomique (axée sur les choix individuel)

* Une approche macroéconomique (fondé sur des agrégats)

Pour en savoir plus :

Microéconomie : approche de l’analyse économique fondée sur l’étude du comportement des unités individuelles (les ménages, les entreprises). Elle cherche à savoir comment les prix et les quantités produites sont déterminer sur ces marchés et comment les mécanismes des prix affectent les ressources et distribue les revenues.

Macroéconomie : approche de l’analyse économique fondée sur l’étude du comportement de l’économie dans son ensemble grâce à l’appréhension de quantités globales ou d’agrégats. Elle porte essentiellement sur la production totale, le revenu national, le niveau de l’emploi et les fluctuations du niveau général des prix.

Le rôle de l’économiste :

* Il cherche à éclairer, dans une perspective normative les choix de la société :

* En fonctions des caractéristiques de cette société.

* De l’information dont ils disposent.

* Des instruments qu’il peut mobiliser : technique, modèle.

* Il cherche à proposer les formes d’interventions ou les règles les plus appropriées :

* Planification totale.

* Mise en place d’organisme de régulation.

* Contrôle de la concurrence.

Trois grandes lignes de la pensée économique :

* L’école classique :

* Adam SMITH (1723-1790) : Recherche sur la nature est les causes de la richesse des nations, 1776. (Théorie de la valeur d’échange, importance de la division du travail).

* Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) : Essai sur les principes de population, 1798. (Loi de la population).

* David RICARDO (1772-1823) : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817. (Théorie de la valeur, de la répartition des revenus).

* Jean-Baptiste SAY (1767-1832) : Traité d’économie politique, 1803. (Loi des débouchés).

* Les néoclassiques :

* Les fondateurs, le marginalisme (unité marginale) :

* Stanley JEVONS (1835-1882) : Théorie de l’économie politique, 1871.

* Carl MENGER (1840-1921) : Les fondements de l’économie politiques, 1871.

* Léon WALRAS (1834-1910) : Eléments d’économie politique pure ou théorie de la richesse sociale, 1874.

* Des écoles :

* L’école de Lausanne : WALRAS, PARETO.

* Vilfredo PARETO (1848-1923) : Manuel d’économie politique, 1906.

* L’école de Cambridge.

* Alfred MARSHALL (1842-1924) : Principe d’économie politique, 1890.

* Les Keynésiens :

* Un auteur majeur : John MAYNARD KEYNES (1883-1946) : Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936.

Chapitre 2 : Source, concept et mesure

* Constats :

* Omniprésence du chiffre.

* Importance des approches quantitatives.

* Importance du nombre et de l’utilisation/manipulation du nombre.

* Questions :

* Quel est le fondement de ces données, de ces chiffres, de ces nombres ?

* Quelle est la qualité des données ?

* Quelle connaissance est ou peut-être fournie par le chiffre ?

* Que penser des controverses récentes ?

Section 1 : Les sources

1) Origine des données :

* Où trouver les données ? Quels sont les organismes qui les produisent ?

* Organisme officiel (ex : INSEE)

* Organisme privés (ex : institut de sondage, syndicat, association, …)

2) Les techniques utilisées :

Du dénombrement exhaustif à la pratique des enquêtes

Le recensement :

* Pratique ancienne :

* Opération statistique parmi les plus anciennes de l’histoire.

* Le mot statistique tire d’ailleurs son origine du mot latin statisticus « relatif à l’état »

* Dans l’acceptation moderne, RECENSER signifie :

* « Recueillir, grouper, évaluer, analyser et publier les données démographiques, économiques et sociales se rapportant à un moment donné, à tous les habitants d’un pays. »

Pour en savoir plus :

Définition retenue par l’ONU : Dénombrement exhaustif de la population, organisé périodiquement dans toutes les sociétés modernes.

En France :

* Son objet :

* Le dénombrement de la population française est une description des caractéristiques des personnes et des logements.

La méthode :

* Jusqu’en 1999 : Recensement général

* A partir de 2004 : Enquête de recensement

Quatre raisons à cette évolution :

* Mieux adapter l’offre statistique aux attentes des utilisateurs.

* Fournir aux décideurs locaux une photographie régulière de leur territoire, une information de référence, indispensable pour éclairer leurs choix.

* Faciliter le financement du recensement en le répartissant sur chaque année.

* Tenir compte de l’évolution des modes de vie et de l’opinion des habitants.

En résumé,

Les utilisations du recensement sont multiples, et les dénombrements de population servent de références pour l’application de près de 200 textes juridiques.

Section 2 : Concept et mesure – Nommer pour mesurer

1) La notion de concept :

Toute analyse économique, toute théorie économique, est basée sur des concepts (ou des catégories). Exemples : le chômage, le PIB, la firme, le ménage, …

Un concept renvoie à une définition précise, construction rationnelle, appartenant à l’ordre de la représentation.

Un concept est construit et n’existe pas naturellement.

2) La mesure :

La

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