Quel regard porte-t-on sur les monstres?

        Le dossier montre la vie d’un monstre et la vision qu’il peut donner de lui que ça soit au XIXème siècles ou bien aujourd’hui. La documentation invite donc à se poser la question : Quel regard porte-t-on sur les monstres ? Dans un premier temps, nous analyserons l’environnement et la vision que l’on apport au monstre, et dans un deuxième temps, nous évaluerons la sensation et l’émotion que ressent un monstre ainsi que l’être humain en le créant.

        Les documents que nous démontres les auteurs, nous attire avec beaucoup d’intention sur ce qui entoure le monstre et le regard porté sur lui.

        Comme dans le monde qui en globe e monstre, G.Lascaut, extrait de son article « Monstres », dans in Encyclopédie Universelle, il constate qu’un monstre est un être imaginaire, inventé de toute pièce, un « être matériel ». C.Caillaud, dans son texte Les délices de la peur, parut en 1995, il affirme également, le fait qu’un monstre fait partie du fantastique, il n’est pas réel, on les rencontres dans les livres ou dans les films.

        D’après G.Lascaut, un monstre se spécifie comme contraire à la population humaine, voir au monde dans lequel il vie. M. Shelley, dans son roman de Frankenstein ou le Prométhée moderne, parut en 1817, il est en accord sur le fait qu’il n’y a pas que les humains qui ont une mauvaise opinion du monstre, dans son roman, il est dit, que la créature se voit comme un être mauvais t lugubre, après la série de meurtre qu’il a commis, le monstre précise également que même sans ça, il ne sera pas bien vu par les gens qui sont différent de lui. C.Caillaud, insiste sur le fait qu’ils sont bien différent de nous, qu’ils sont notre opposés, qu’ils soient atteins de malformation ou autre, que dans tous les cas, nous les mettrons à part malgré la curiosité qu’il peut susciter. Quant à l’affiche du film Éléphant Man, sortie en 1980, il est vue comme un « animal plutôt qu’un homme », alors qu’il souffre d’une maladie rare qui fait qu’il soit difformes, mais cela n’empêche pas qu’Éléphant Man soit un effet de foire à sont opposés.

        Il s’agit bien de l’opinion que chaque être humain fonde sur le monstre, mais que ressent le monstre face à temps de différence ?

        Suite à tant de haine que reçoit le monstre face à sa différence, il est victime de sa malformation mais cela n’empêche pas d’avoir des émotions comme ses opposés.

        G.Lascaut affirme, que nous humains, nous ressentons plusieurs impressions sur l’existence ou la présence d’un monstre. Nous pouvons êtres horrifiés sur « l’esthétique du monstrueux ». Mais d’après, M. Shelley, les humains ne sont pas les seuls à ressentir des émotions, car le monstre en ressent plusieurs, mais qu’il aimerait faire partager, mais impossible vu sa mise à l’écart qu’il reçoit par l’humain, il est difficile pour lui de communiquer sur ces émotions ou ces sensations. C.Caillaud, précise, qu’ils nous font peur, que nous sommes réticent, mais quand même curieux de ces créatures à part entière. Dû à cette peur Éléphant Man, était obligé de se cacher derrière une « cagoule ».