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ssé.

B/ L’hiver : une représentation de la disparition

-> L’hiver apparaît de façon explicite qu’aux pages 55 et 95.

->C’est une saison qui est une métaphore de la disparition et de la mort.

-> La douleur de la nature représente les disparitions qui sont à venir.

« L’hiver 1684 » page 95 avec la mort d’un saule qui annonce la maladie de Madeleine : « Monsieur de SC avait été très affecté par ce bris d’un saule parce qu’il coïncida avec la maladie de sa fille Madeleine » page 95.

C/ Le parallèle entre les âges de la vie et le cycle des saisons

-> Cette dynamique temporelle qu’offre l’œuvre est l’équivalence des successions des âges de la vie.

-> La transformation physique de l’adolescent MM : le changement de sa voie, le sépare brutalement du monde « idéale » de l’enfance. Cette perte est une blessure : « la blessure qu’il avait reçue à la gorge lui paraissait aussi irrémédiable que la beauté du fleuve » page 42.

-> Les règles de Toinette qui l’oblige à « mettre du linge entre ses jambes » page 33.

-> Détérioration physique de Madeleine avec le temps : « vos joues sont creuses. Vos yeux sont creux. Vos mains sont tellement maigries ! ». Cela effraie MM page 102.

-> On le voit aussi dans la réalisation filmique : A la fin du film, on note une cabane dans un état proche d’une ruine. On note également une vanité avec un fruit pourrit -> montre la souffrance de Madeleine.

III/ L’expression du claire-Obscure

A/ Les saisons

-> Le clair est étroitement lié à l’obscure, il permet le renversement des saisons. La lumière de fin d’été qui éclaire la Seine à la page 42, se mêle « à une brume rouge » qui donne à l’eau l’aspect d’une blessure.

B / Le personnage de Monsieur de SC

-> SC : un homme obscur, avec différentes émotions : colère, renfermement, tristesse. On peut aussi dire qu’il est difficilement cernable. Il est requis par « quelque chose d’invisible » qui le « hèle » page 74.

C / L’art

-> La nuit : présence gênante dans l’œuvre.

-> Elle exprime le clair-obscur, la vanité ou la nature morte.

-> SC est fasciné par le travail de Baugin : « tous ce que la mort ôtera est dans sa nuit » page 60. Le roman se fait le porte parole ce clair-obscur ou la lumière se meurt.

Conclusion

Rep à la probl : ->symbolise le retour vers les origines, le passé

->Les étapes de la vie

->Les mise en valeur des personnages, de l’art et des saisons par le jeu des lumières : le clair-obscur.

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