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Réflexion comparative sur les textes de Montaigne (Essai) et de Voltaire (Candide)

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Par   •  26 Avril 2016  •  Analyse sectorielle  •  1 144 Mots (5 Pages)  •  2 109 Vues

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Réflexion comparative sur les textes de Montaigne (Essai) et de Voltaire (Candide):

La façon dont le narrateur se moque, les formes d’ironie, le but

Chez Voltaire: «Comme il avait au doigt un diamant énorme[…] et je guéris. » (ligne 11- ligne 18)

Le narrateur utilise les lien logiques ; «Comme »,«aussi tôt» pour se moquer le médecin français qui a goût pour l’argent et qui manque de sérieux professionnel. C’est un ironie de ruptures lexicales ponctuelles. Et il y a l’ironie de situation de Candide qui devient plus mauvaise par le médecin. Cette situation ironique est accentuée par Martin qui a guérit sans aucune médecin. Il se moque l’incompétence de médecin.

«Parmi ceux qui […] leur offrent des plaisir à tout prix» (ligne 25 - ligne 30)

Il décrit la ironie de situation en montrant que le religieux est le plus corrompu et hypocrite. Il disqualifié le religieux par les mots «effrontés» et «accommodants». C’est un ironie de répétition.

«Candide, qui était naturellement […] dit Candide» (ligne 34 - ligne 40)

Il explique l’impolitesse de Français pour les étrangers. Et ce mauvais accueil et l’indifference conduisent Candide à comparer le niveau de civil entre le Français et l’Allemagne. Par cette phrase, il montre son côté d’ethnocentrisme et le narrateur se moque Candide.

«Le souper fut comme […] beaucoup de médisance;» (ligne 50 - ligne 55)

Il critique les dîners parisiens ennuyeux et méchants. Il utilise les péjoratifs comme «insipides» et «mauvais» et des autres. C’est un ironie de répétition et ce groupe de mots indique la prétention de Français.

«Après souper, […] ils passèrent aux doigts de la marquise» (ligne 56 - ligne 78)

La marquise séduit et essaye de manipuler Candide. Elle conseille à Candide de perdre son fidélité. Son action et ses discours montrent le pratique de libertinage de la société française.

Pour conclure, le narrateur utilise l’ironie dans le but de se moquer les Française et ses défauts. En même temps, il se moque le Candide comme un étranger crédule qui montre l’ethnocentrisme.

Chez Montaigne: Le narrateur compare la société cannibale et la société française. Il utilise les champs lexicale positives et défavorise les Français sur tout le texte. Dans le deuxième paragraphe, il décrit que selon les Indiens, même si les armées Français semblent forts, ils obéissent un enfant: le loi de la France. Ailleurs ils critiquent l’inégalité en France entre les richesse et les pauvretés. Dans le troisième paragraphe, il explique le chef de guerre indien qui est courageux et puissant et respecté de son public. Il implicite que le roi français est toujours protégé si on compare celui indien. La phrase à la fin de texte, «Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent pas de culottes!», rappelle les bons côtes d’Indien mais en même temps, les Indiens sont moqué par ses sauvagerie sur leur tenue. Encore, il se moque aussi les Français qui sont plus civils mais dépendent la superficie. C’est un ironie de répétition et de situation. Les barbares Indien excellent que les Français. Le but d’auteur est de se moquer des Français qui se moque des indiens en utilisant le point de vue d’Indien.

Les ironies dans les deux textes sont effectives pour critiquer la société française. En effet, les aspects d’étranger est utile à comparer les deux culture et à décrire la société avec l’objectivité. De plus, chez Montaigne, il est encore nécessaire de cacher son critique sur le gouvernement français donc il faut décrire et ridiculiser les étranger pour s’affaiblir ses propres critiques. Cette réflexion d’auteurs sur l’étranger est intéressant à lire. Par rapport l’ironie, nous n’allons pas voir seulement le côté positive mais aussi le côte négative de chaque société. En outre, ce type d’ironie me donne envie de douter l’ethnocentrisme et le chauvinisme particulier dans ces époques ou notre pensée était plus solide qu’aujourd’hui.

Réflexion sur le personnage du narrateur dans l’essai (Montaigne) ou le roman (Voltaire,Etcherelli):

2) a) Le narrateur et les étrangers

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