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Theorie Des Organisations

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s méthodes de travail pour lesquelles le salarié apparaît comme n’étant comme le simple prolongement de la machine.

Tous ces théoriciens voyaient l’homme comme une machine. Ils

Prônaient une division entre les planificateurs et les exécutants ainsi qu’un contrôle étroit et permanent des salaries pour luter notamment contre la flânerie et le vol.

Cependant, des problèmes apparaissent aux travers de ces systèmes :

* Un travail monotone et répétitif.

* Pas de progression possible dans l’entreprise

* Taux d’absentéisme et de rotation élevé

* Augmentation de la fréquence et de la gravité des accidents du travail.

b. Human relation school : la prise en compte de l’homme.

En 1927, Elton Mayo fut le premier à mettre en avant l’importance de la prise en compte des facteurs sociaux. Notamment au travers de son étude au sein des ateliers HAWTHORNE des WESTREN ELECTRIC COMPAGNY.

Sa Théorie : Après avoir pensé que l’augmentation de la productivité des salariés résultait de l’amélioration des conditions d’éclairage du poste de travail, cette société constata que d’autre facteurs expliquaient l’amélioration du rendement des salariés.

En réalité, Mayo a démontré que la satisfaction au travail et la productivité ne résultait pas uniquement des facteurs économiques. Bien au contraire, il insiste beaucoup plus sur les conditions humaines de travail comme facteur de productivité et de performance de l’entreprise, tel que : la valorisation social, cohésion de groupe, sécurité de l’emploie…

D’autre auteur comme MASLOW, HERZBERG, MAC GREGOR, ARGYRIS, VROOM, LEWIN ont énoncés des théories allant dans ce sens. A savoir l’importance de la prise en compte des facteurs sociaux dans la productivité d’une organisation.

Tous ces travaux continue aujourd’hui de rythmer la vie entrepreneuriale, et on fait naitre de postulat différents : Les Approche Universalistes et les approches contingences.

c. L’impact de l’environnement : théorie de la contingence.

Le principal problème des deux écoles précédentes est qu’elles n’ont pas tenu compte de l’importance de l’environnement. La théorie de la contingence prend racine avec le développement de la technologie. Les travaux de LORSCH et LAWRENCE vont montrer que les styles de management dépende d’un certains nombre de variables environnemental tel que la structure de l’organisation et le climat social. Cette théorie met en exergue le fait que la productivité ne dépend plus uniquement des hommes mais aussi du cadre, de la situation.

A l’instar de FEIDLER, cette théorie met évidence la corrélation entre la performance et la maitrise situationnel. Soulignons le fait que l’approche de la théorie de la contingence prend de multiples idées dans la gestion des facteurs sociaux pour la performance. Seul bémol, l’approche de la contingence ne prend en compte parti infime des variables environnementales existantes.

Comme nous l’avons montré précédemment, toutes ces approches ont permis de mettre en relief l’importance de la prise en compte de facteurs sociaux au sein de l’organisation, d’une entreprise. De plus, on remarque qu’il n’existe pas d’organisation idéal et que désormais c’est à l’organisation de s’adapter à son environnement pour atteindre le niveau de performance souhaité. MAYO comme FIEDLER insiste sur la nécessite d’utiliser de manière complémentaire les ressources humaines (motivation au travail, cohésion de groupe, satisfaction personnel) et les ressources environnementales (Secteur, structure, culture…), afin de maximiser la productivité.

Donc la finalité sociale tournée vers les salariés rime avec Profit.

II. L’avènement du capitalisme

Le capitalisme se caractérise par la notion d’investissement afin d’améliorer le processus de production pour être plus productif. Mais tout investissement nécessite de la rentabilité, du profit par une productivité intensive au détriment des facteurs humains.

a. La naissance de l’actionnariat

A la suite de l’avènement de la « Première révolution industriels », une demande croissante dans de nombreux secteurs lié à l’accroissement du système « usine » entraina des problèmes autres que le facteur travail. Le financement ainsi que l’innovation des méthodes de production étaient aussi des sources d’inquiétude pour les entrepreneurs. Des lors, les dirigeants adoptèrent la création de société en COMMANDITES. La direction d’une telle société s’occupait de la constitution d’un capital afin de faire des investissements pour conquérir le marché.

C’est ici qu’est né la notion d’actionnariat. Une division s’est faite entre la direction composée d’actionnaire qui apportait les fonds et la direction de l’usine qui s’occupe de développement de processus de production pour améliorer la productivité.

Des lors, il se pose un problème de Gouvernance, qui est soulevé par la théorie de l’agence. Cette théorie démontre le conflit relationnel relatif aux relations entre actionnaire et dirigeant. Pourquoi ?? En réalité on remarque une dualité entre les objectifs et résultat souhaités par les actionnaires qui sont propriétaire et ceux des managers qui ne sont que des exécutants. Le conflit porte sur une dette de confiance par un manque de contrôle fiable des actionnaires sur les efforts réalisé par les managers.

En effet, la séparation entre la fonction de gestion et la propriété du capital d’une société introduit une source d’incertitude. En effet les dirigeant de l’entreprise peuvent ne pas rechercher la maximisation du profits (objectif principal des actionnaire) au dépend d’autre objectifs tels que : pérennité, climat social… Soulignons que ce phenomène est possible dans les firmes ou la dilution du capital à pour conséquences l’émergence d’un pouvoir managériale qui de fait impose ses décisions aux propriétaires (actionnaire).

Cependant, dans un contexte de plus en plus capitaliste, les actionnaires prennent une place prépondérante en recherchant en perpétuelle maximisation du profit.

b. Une recherche perpétuelle du profit.

Depuis des décennies la recherche du profit est au centre des préoccupations des entreprises. Au début de l’ère commerciale, le dirigeant dans l’entreprise était également le propriétaire et le seul décisionnaire des orientations stratégiques (Management, production). Les objectifs principaux étaient centrés sur la pérennité et la capacité à transmettre un savoir faire et un patrimoine. A contrario, les entreprises actuelles ont pour unique objectif de maximiser le profit au détriment des facteurs sociaux. Pourquoi ?

Tous simplement par ce que les actionnaires investissent des sommes considérable et veulent un retour sur investissement important pour la prise de risque effectuer. Soulignons le fait que bon nombre de gros actionnaires (Hedge-fund) se retrouvent dans de nombreuses entreprises on le droit de vie ou de mort sur de nombreux emplois et sur l’économie pour une chose : faire fructifier les capitaux investis et maximiser le profit.

On peut des lors dire : Que nous sommes rentrés dans un monde où l’économie n’est plus au service de l’homme, mais c’est l’homme qui est service de l’économie.

On remarque ici que la finalité sociale tournée vers les actionnaires rime donc avec productivité et profit.

III. Une dualité entre capitalisme et facteur social

Au cours de ces dernières années, Bon nombre de changements ont étés observés, notamment en ce qui concerne l’évolution de la considération

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