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Cap Petite Enfance Histoire

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mier camp de concentration destiné aux opposants politique du régime nazi est Dachau.

On observe sur cette carte l'ampleur du système mis en place pour la déportation avec douze camps de concentration répartie sur trois pays différents : l'Allemagne, l'Autriche et la Bohème-Moravie. Dès 1939, pendant l'occupation de la Pologne, trois camps de concentration de plus voient le jour.

Des ressortissants de vingt nations , hommes, femmes et enfants : Polonais d'abord, puis prisonniers de guerre russes et résistants de tous les pays de l'Europe occupée ont été enfermé dans ces camps.

Tous ces prisonniers devinrent d'immenses réserves de main-d’œuvre.

A cette "extermination par le travail", selon la formule retenue par le procès de Nuremberg, s'ajouta bientôt l'extermination systématique des races "inférieures", Juifs et Tziganes, puis Slaves, appelés, pour les Juifs "solution finale", et pratiquée dans les chambres à gaz, équipée de fours crématoires.

Le bilan de la « solution finale »

Bilan des civils et prisonniers de guerre exterminés

Le bilan total de la solution finale est de environ 5.100.000 morts.

Sur ce total, 3.000.000 de déportés Juifs sont morts dans des camps de concentration et d'extermination. Les camps dans lesquels le bilan humain est le plus lourd sont:

- Auschwitz

- Ravensbrück

- Maidanek

Les autres victimes sont mortes dans des Ghettos, suite aux privations, et par exécution hors des camps.

Cette solution finale est un véritable génocide humain. Ce phénomène d'une ampleur importante a touché quasiment toutes les nationalités.

En France, avec la complicité du gouvernement de Vichy, 75.000 personnes ont été déportées pour des raisons raciales, et parmi ces 75.000 personnes, seulement 2.500 ont survécu. 90% des déportés français dans les camps d'extermination sont morts.

1 juif sur 4 vivant dans notre pays pendant la guerre est mort en déportation.

La notion de crime contre l'humanité

La notion de crime « contre l'humanité »

Le mot « génocide » est créé en 1944 par l'américain Raphaël Lemkin. Ce mot a pour signification la mise en œuvre de l'extermination d'une population.

L'expression « crime contre l'humanité » est retenu par le tribunal de Nuremberg en 1945 qui est chargé de juger les chefs nazis.

Il définit le crime contre l'humanité ainsi :"assassinat, extermination, réduction en esclavage, déportation et tout autre acte inhumain commis contre toute population civile, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs raciaux ou religieux ».

Les crimes retenus contre les nazis sont l'assassinat, l'extermination l'esclavagisme et tout acte inhumain contre une personne.

Les événements qui explique l'apparition de ces notions sont les déportations et exterminations de tous ces humains morts dans ces camps. Les juifs ont été les plus touchés mais il y a aussi les opposants politique, les tziganes européens...

CONCLUSION

Le XXème siècle apparaît comme un siècle de barbarie. Des conflits qui plongent les population dans l'horreur et des massacres massifs se passent dans les régions envahies et occupées : déportations, internement en camps de concentration, camps d'extermination. La « Shoah », mot qui désigne le génocide juif et qui en hébreu se traduit par « catastrophe », reste le génocide les plus effroyable de l'Histoire.

Ce recul sans précédent des droit de l'homme explique l'apparition des notions de « crime contre l'humanité » après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les criminels

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