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Analyse Démocratie De Rimbaud

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é => douceur mais aussi

mélancolie, tristesse,... Point d'exclamation marque de l'énonciation, marque la certitude,

l'exhortation.

Mais => pas de rapport avec la première phrase => rôle erroné du connecteur.

Antéposition de « en moi » => précise que cette tristesse est à lui, est passif dans cette action,

comme si la tristesse lui était extérieure mais => elle est en lui.

Tristesse comparée à la mer. Motif = sa façon de monter. Mer => immensité (on a deux immensité

Ciel>< mer associées à l'énonciateur et le destinataire). Inéluctable, quelque chose contre lequel on

ne peut rien faire, assez rapide, qu'on ne peut stopper.

Rythme du 3e vers => plus saccadé, rappelle le reflux de la mer (en refluant est entre parenthèse)

Lèvre peut aussi désigner le bord d'un coquillage (?) => métaphore filée avec « laisser » et surtout

« refluer » => vocabulaire propre à la mer ou à l'eau.

Lèvre morose => comme si les lèvres étaient là où s'exprime le reflux de la tristesse. Pourquoi le

singulier? Ses deux lèvres n'en forment qu'une? « Morose » associé à « lèvre » => hypallage ou

métaphore pour « sourire »

Enjambement => Action – conséquence. Le vers suivant = ce qui reste du reflux tout comme ce qui

reste du vers précédent

Le souvenir cuisant => cuisant donne une intensité, souvenir = ce qui reste

Limon amer => métaphore, les restes, les séquelles de la tristesse corrigé par « amer » qui rappelle

le goût => lié à lèvre

Peut être métaphore in preasentia : « souvenir cuisant » comparé à « limon amer » Point commun

=> ce qui reste de la tristesse ou souvenir cuisant est tiré de ce limon??? A développer.

Deux tirets => un au début du deuxième quatrain, l'autre à la fin du premier tercet

Les deux tirets => encadrent le passage lié à son coeur => encadre le coeur du poème + les deux

tirets isolent ce passage du reste du poème qui parle des femmes et de la tristesse = comme s'il

voulait l'en protéger.

Ta main => tutoiement + action du destinataire.

Identification (copule = « est ») de coeur et lieu saccagé. Lieu = mot vague, creux.

La griffe et la dent féroce de la femme => métaphore pour la cruauté. La femme est dépoétisée, on

la rend bestiale, sans pitié. Griffe et dent => attributs principaux d'une bête, ce qui peut blesser

l'homme. Tout cela accentué par « féroce ».

Ne cherchez => soit le retour du vouvoiement, soit une sorte d'annonce à la cantonade.

=> on dévoile seulement la clé de plusieurs métaphore => coeur pour lieu saccagé, bête pour

femme.

Métaphore sur « bêtes » pour « femmes » + métaphore sur « manger » pour détruire ravager,... =>

accentue la bestialité, soif de sang de la femme.

Incohérence car à la strophe suivante, repart sur « mon coeur... » =>

Identification « mon coeur » à « palais flétri par la cohue » => majestuosité perdue, métaphore sur

« cohue » => peut-être le désordre dans les sentiments? Ou la cohue causée par les bêtes? Réduit

son intimité, désordre,...

Exprime la nature de la cohue =>

Tiret => on revient au destinataire.

Parfum nage => légèreté, grâce, liberté du parfum. Les trois petits points après le point

d'exclamation => pause qui exprime certainement un silence hésitant.

Comparaison par apposition de « beauté » à « dur fléau des âmes » => Deux choses antithétique

(beauté> confusion,

marque l'incertitude de la nature de leur relation. Marque rapprochement / éloignement.

Métaphore in praesentia => yeux de feu. Catachrèse où les « yeux » sont comparés à « feu » =>

...

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