Bilbot Le Hobbit

ux moulin de Sarehole où il y trouvera énormément d’inspiratioon pour ses futurs ouvrages. Lui et son frère receveront l’éducation de leur mère. Elle leur aprendra le latin, la botanique, et le français dont Ronald éprouvait pour cette langue un profond d’égout. Puis, en 1900, ce dernier rentrera à la King Edwards School de Birmingham. Quatre années plus tard, sa mère mourra du diabète ce qui l’un des évenements les plus triste dans la vie de l’auteur. Pendant son adolescance, il vivera auprès du père Francis Morgan, de l’oratoire de Birmingham. A l’âge de seize ans, il fera la rencontre de Édith Bratt pour en tomber follement amoureux. Cette relation ne plaisait pas aux père Morgan puisqu’Édith était protestante et plus âgée que Tolkien. Pour ce faire entendre, il menecera ce dernier de mettre un termes à ses études. Ne reculant devant rien, il ne la demandera en mariage que cinq ans plus tard au jour de sa maturité. Il obligera même sa bien aimée à se convertir au catholicisme. En 1911, après avoir quitter la King Edwards School, il sera accepter à l’Exeter College à Oxford. Il prendra ensuite la descision de quitter la littérature classique, qui était sa première vocation, pour étudier la littérature anglaise. John finira par obtenir son diplôme qu’après le guerre en 1919. Le 22 mars 1916, il pu enfin épouser Édith Bratt. Il traivallera ensuite pour un bon moment au célèbre Dictionnaire d’Oxford et il obtiendera quelque temps après un poste de maître assistant à Leeds. Il aura son premier enfant en 1917 et en aura trois autre dans la décénie qui suivara dont deux qui sont encore vivant à ce jour. En 1925, Tolkien deviendra professeur de langue à l’université d’Oxford en enseignant le vieil anglais à Pembroke. Il finira sa carrière comme instituteur de littétérature anglaise à Merton. Après sa retraite en 1959, il acquiera une célébrité croissante en tant qu'écrivain. Il partiticepera aussi à la traduction de le Bilble de Jerusalem. Il mourra en 1971 et sera enterré au cimetière Wolvercote d’Oxford.

Pour bien comprendre le contexte de création de cet écrivain, il faut ce fier au évèvement dont il a vécu, ses influences littéraire, la situation polithique de l’époque, sa situation religieuse, etc.

Après l’entrée de son pays dans le conflit, Tolkien s’enrôle volontairement dans l’armée britanique. Il part pendant onzes mois à Cannock Chase, dans le Staffordshine où il est sous-lieutenant dans le treizième bataillion. Il débarque en France le 4 juin 1916 et participe à la grande bataille de la Somme. Il voit tout son bataillion mourir devant lui. Il est ensuite renvoyé chez lui le 8 novembre à cause d’une infestation de poux qui contaminait les tranchées et sera déclaré inapte au combat. Ces images de violence resterons à jamais gravé dans sa mémoire. Il en témoignera même dans la pluspart de ses œuvres comme dans Le Seigneur de anneaux : « Il est vrai qu'il faut être personnellement confronté à l'ombre de la guerre pour ressentir pleinement son poids oppressant ; mais, au fil des ans, il semble que l'on oublie souvent aujourd'hui qu'être pris dans sa jeunesse par la guerre de 1914 n'était pas une expérience moins affreuse qu'être impliqué en 1939 et pendant les années suivantes. Avant 1918, tous mes amis proches sauf un étaient morts. »

Ces influences littéraires sont resonnablement diversifier. Dans son enfance, Tolkien se passionne pour les romans et les histoire d’indigène et de peaux-rouge. Il s’intéresse particulièrement aux œuvres de Geoge Macdonald et au receuille de contes d’Andrew Lang (Ces auteurs composaient des œuvres de types mythologiques et folklores). De plus, le jeune a particulièrement un faible pour la campagne car il va souvent se promener dans les prairies du Warwickshire. Il transcrivera ces paysages d’enfance à travers ses œuvres. Des années plustard, Tolkien partage ses passions littéraires avec plusieurs amis pour fonder finalement un club qui se nomme les Inklings. Ce club né dans les années 1930 consacre les réunions aux lectures de sagas islandaises de héros vikings (en vieux norrois), ils partagent leur goût pour la bière et le dialogue,etc. Il compte quelques grand écrivains et poêtes comme C.S Lewis, Charles Williams, Owens Bartfeild, Hugo Dyson et d’autres qui ont fréquanté la même université que Tolkien. Bref, il trouva beaucoup d’inspiration dans ce club et pendant son enfant.

Le contexte politique de cette époque ce caractérise principalement par la stabillité. Le coût et le niveau de vie augmente considérablement du au crash boursier de 1929 qui touche la plupart des pays y compris la Grande-Bretagne. Ronald n’y voit pas vaiment les inconvinients puisqu’à l’adolescance il était sous la garde d’un membre de la religion et, après la guerre, sa popularité ne fesait que croître. Ses opinons politiques sont pures et lucides. Il est fondamentalement consévateur dans ses idées. Voici ce qu’il dit dans une letter adresser à son fils à propos de son idéologie : « Mes opinions politiques penchent de plus en plus vers l'Anarchie (au sens philosophique, désignant l'abolition du contrôle, non pas des hommes moustachus avec des bombes) — ou vers la Monarchie « non constitutionnelle». Il se concidère aussi comme était nationnaliste. Dans une periode où tout le monde éprouve une grande admiration pour Staline, Tolkien n’ésite pas à exprimer son mépris envers ce dernier. De plus, il abhorre Adolf Hitler et démontre cette situation castatrophique