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t, parce que c'est vrai,

vous serez heureux.

Les larmes qu'on séfforce de cacher sont toujours les plus sincères

Les gens sont libres, et l'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.

Vivre vite, mourir jeune et faire un beau cadavre.

Vous vous souvenez quand vous étiez petits et que votre plus grande préoccupation, c'était de savoir si vous auriez un vélo pour votre anniversaire, ou des cookies au petit-déjeuner ?

Etre adulte, c'est pas si bien que ça.

C'est vrai, ne vous laissez pas avoir par les belles chaussures, le sexe ou le fait de ne plus avoir vos parents sur le dos. L'âge adulte, c'est d'avoir des responsabilités. Les responsabilités, ça craint.

Ca craint vraiment !

Vous vous souvenez de votre enfance, à l'époque où vous croyez aux contes de fées ?

Vous faisiez des rêves sur ce serait votre vie. La robe blanche, le Prince charmant qui vous emporte jusqu'à son château sur la colline.

Vous vous allongiez le soir dans votre lit, vous fermiez les yeux et vous y croyez dur comme fer. Le Père Noël, la petite Souris, le Pince charmant, ils étaient si proches que vous auriez pu les toucher.

Mais finalement vous grandissez.

Un jour, vous ouvrez les yeux et le conte de fées disparaît. La plupart des gens se dirigent vers les choses et les gens en qui ils ont confiance.

Mais le fait est que c'est difficile d'oublier complètement les contes de fées.

Parce que chacun de nous garde toujours une minuscule part d'espoir, de foi, et se dit qu'un jour, il ouvrira les yeux et que ses rêves deviendront réalité.

La plupart de nos vieilles blessures guérissent, ne laissant qu'une cicatrice. Mais certaines ne guérissent jamais. Certaines blessures restent en nous, et bien qu'elles soient refermées depuis longtemps, la douleur persiste

Qu'y a t-il de pire, les nouvelles blessures qui font horriblement souffrir, ou les vieilles blessures qui n'ont toujours pas guéri depuis des années? Peut-être que nos blessures nous apprennent des choses. Elles nous rappellent d'où on vient, et ce qu'on a surmonté. Elle nous apprennent ce qu'on doit éviter à l'avenir. Mais ça ne se passe pas comme ça, il y a certaines choses qu'on doit apprendre, et réapprendre, encore.

Peut-être qu'on aime la douleur. Peut-être qu'on est fait comme ça. Parce que sans elle, je ne sais pas... Peut-être qu'on ne se sentirait pas vivant. On peut se demander : pourquoi on continue à se taper la tête contre les murs ? Parce que ça fait tellement de bien quand on arrête.

On ne souhaite pas des choses faciles, on souhaite de grande choses, des choses ambitieuses, hors de portée. On fait des vœux parce qu'on a besoin d'aide et qu'on a peur. Et on sait qu'on en demande peut-être un peu trop. On continue à faire des vœux pourtant, parce que, parfois, ils se réalisent.

Le Paradis... L'Enfer... Les limbes...

Personne ne sait vraiment où nous allons...

Ni ce qui nous attend quand on est là-bas.

Mais la seule chose qu'on peut dire avec certitude,

C'est qu'il y a des moments qui nous emmène ailleurs.

Des moments de Paradis sur Terre...

Et peut-être que pour l'instant,

C'est tout ce dont on a besoin de savoir

On est seul en venant au monde. Et on est seul en le quittant. Dans l'intervalle, c'est à chacun de se débrouiller pour trouver un peu de compagnie... On a tous besoin d'aide, on a tous besoin de soutien. Sinon, on serait trop seuls. Des étrangers... Coupés les uns des autres... Et on oublierait à quel point on est tous liés. Alors en fin de compte, on choisit l'amour, on choisit la vie. Et pendant quelques instants, on se sent un tout petit peu moins seul.

On se souvient tous des contes de notre enfance, Cendrillon et sa pantoufle de verre, le crapaud qui se transforme en prince, la belle au bois dormant réveillée par un baiser... Il était une fois, et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours. Les contes de fées, la substance des rêves, le problème c'est que les contes de fées ne deviennent pas réalité. Ce sont les autres histoires ; celles qui commencent par une sombre nuit d'orage, et se terminent de manière épouventable, les cauchemars qui semblent toujours devenir réalité. La personne qui a inventé la phrase : "Et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours", mériterait un bon coup de pied aux fesses.

Le problème avec la dépendance,

C'est que ça ne finit jamais bien.

Il paraît qu'on ne peut pas s'en sortir

Avant d'avoir touché le fond,

Mais comment on sait qu'on a touché le fond ?

Parce que quand on est accro, même si ça fait mal,

Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.

La vérité est douloureuse.

Au fond personne ne veut l'entendre,

Surtout quand ça nous touche de près.

Il faut pardonner, et oublier.

C'est ce qu'on dit.

C'est un bon conseil,

Mais ce n'est pas facile à mettre en pratique.

Quand quelqu'un nous fait du mal,

On veut qu'il souffre aussi.

Quand quelqu'un nous fait du tort,

On veut que le tort soit réparé.

Sans pardon, les vieux comptes ne sont jamais réglés,

Les vieilles blessures jamais guéries.

Ce qu'on peut espérer de mieux,

C'est qu'un jour, on ait la chance d'oublier.

« Il n'y a rien de pire, que de ne pas avoir saisi l'occasion

Qui vous aurait changée la vie. »

"Le changement, on aime pas ça, ça nous fait peur.

Mais on ne peut pas empêcher les choses de changer.

Soit on s'adapte,

Soit on reste en arrière.

Ca fait mal de grandir, de changer.

Si on vous dis le contraire,

C'est un mensonge.

Mais la vérité, c'est que parfois,

Plus les choses changes,

Plus elles restent les mêmes.

Et parfois, ah parfois,

Le changement a du bon.

Parfois, le changement est la clée.

Le changement est tout."

"Certains jours, le monde semble sans dessus dessous,

Et un jour, sans prévenir, quand on s'y attend le moins,

Le monde se remet à l'endroit."

« Personne n'est infaillible. Tout le monde commet des erreurs.

C'est comme ça qu'on apprend, qu'on se construit.

Nos erreurs sont source de joie.

Il y a du bonheur dans l'imprévue,

Dans ce qui ne faisait pas parti du plan,

Dans ce qu'on avait pas vu venir ... »

Il se trouve que, parfois, on a besoin de faire des erreurs, parfois on a besoin de faire une grosse bétise, pour se rendre compte qu'on allait dans la mauvaise direction.

"On traverse tous la vie

Comme des éléphants dans des magasins de porcelaine.

Ebréchés par ci, Félés par là.

On se fait du mal,

Et on en fait aux autres.

Le problème c'est d'essayer de trouver

Comment réparer les dégâts qu'on a causés.

Ou qui nous ont été causé.

Quelques fois, les dégâts,

...

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