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Dossier devellopement durable

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fi à relever sera la mise au point de véhicules de lancement peu chers et réutilisables. Le second sera la protection contre les astéroïdes et les débris en orbite autour de la planète.

Résumé:

Cet article parle de l'espace qui pourraient une solutions à l'avenir pour répondre aux besoins énergétiques grâce à la création de station solaire orbitale dont le principe est que des panneaux capteraient les rayonnements du soleil permettant de fabriquer de l'énergie.

2.Le monde

L’énergie tirée des forêts polluerait plus que le charbonVendredi 04 novembre 2011

Bien sûr, les arbres sont bénéfiques à l’environnement. Ils absorbent du CO2, contribuent à la biodiversité, repoussent la désertification, régulent le cycle de l’eau et protègent les sols. Pourtant, au contraire du solaire, de l’éolien ou de la géothermie, la combustion de bois pour produire de l'énergie génère des pollutions, et pas des moindres : plus que l’utilisation d’essence ou de charbon ! Ce sont les conclusions d’un nouveau , intitulé De la biomasse à la biomascarade, qui conclut que la ruée vers l’or vert est néfaste tant pour les forêts que pour le climat, alors qu’une Bourse de la biomasse a ouvert à Amsterdam jeudi 3 novembre.

La biomasse, c’est l’ensemble des matières organiques d'origine végétale ou animale (arbres, arbustes, souches, racines et feuillages) qui peuvent être transformées en une source d'énergie par combustion (bois énergie), méthanisation (biogaz) ou transformations chimiques (biocarburant).

Alors que les réserves de carburants fossiles déclinent et que le prix de l’essence s’accroît, la source d’énergie tirée des arbres prend de l’ampleur, notamment au Canada. Ce pays est en effet, avec 33 usines de production de granules, le quatrième plus grand producteur après les Etats-Unis, l’Allemagne et la Suède, et le deuxième plus grand exportateur au monde (1,2 million de tonnes exportées en 2010 vers l’Europe, soit une augmentation de 700 % en huit ans). Selon la Wood pellet association of Canada la capacité de production canadienne de granules devrait encore augmenter de dix fois d’ici 2020.

Car si la bioénergie forestière servait traditionnellement à la production locale de chaleur et d’électricité afin d’alimenter les usines de sciage et de pâte et papiers en utilisant les résidus des usines, les fabriques à petite échelle ont aujourd’hui laissé place à un usage industriel à grande échelle des forêts naturelles pour la production d’énergie. Plusieurs provinces encouragent ainsi, à coup de subventions, des projets de centrales thermiques alimentées avec des copeaux de bois, comme celle de Williams Lake en Colombie-Britannique, ou de larges programmes de recherche pour produire de l'éthanol pour les véhicules avec du bois.

Le problème, pour Greenpeace, c’est que contrairement à ce que prétendent les autorités et les entreprises, la combustion des arbres n'est pas "carboneutre", autrement dit, elle ne présente pas de bilan neutre des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et plus généralement de gaz à effet de serre.

A l’appui de ces accusations, l’ONG sort la calculatrice. Première volée de bois vert pour l’environnement : la production d'électricité et de carburant à partir d'arbres contribue à la destruction des forêts au Canada. Tous les arbres coupés en 2008 dans quatre provinces (Ontario, Québec, Manitoba et Nouveau-Brunswick), soit 47 millions de mètres cubes, ont seulement contribué à hauteur de 3,4 % de la production totale d’énergie primaire (chauffage et électricité) du pays. Et pour fournir ne serait-ce que 15 % de la production électrique canadienne, il faudrait brûler l’équivalent de tous les arbres coupés en 2008 au Canada (147 millions de m3).

Quant au biocarburant, plus de 560 000 arbres devraient être coupés chaque jour pour produire assez d'éthanol pour alimenter l’ensemble des voitures canadiennes. Au total, les nouvelles politiques en faveur de l'industrie de la biomasse auront pour effet de plus que doubler les prélèvements annuels de bois, estime l'ONG. Ce rythme réduit au final en cendres la possibilité pour la forêt boréale de totalement se régénérer.

Au-delà de la déforestation, c’est le climat mondial qui trinque. Ainsi, "les centrales électriques nord-américaines fonctionnant à la biomasse émettent jusqu’à 150 % de plus de CO2, 400 % de plus de monoxyde de carbone irritant pour les poumons, et 200 % de plus de particules fines qui causent l’asthme que celles à charbon pour produire la même quantité d’énergie", affirme le rapport. Or, les émissions provenant de la bioénergie forestière ne sont pas comptabilisées parce que les autorités la considèrent à tort comme neutre en émissions de CO2. En réalité, selon le rapport, elles s’élèvent à 40 mégatonnes par an, chiffre qui dépasse celles du parc automobile canadien en 2009.

En ce qui concerne la santé, le rapport écrit : "Bien que la technologie se soit grandement améliorée avec l’usage de filtres à air sophistiqués et de très hautes températures de combustion, la fumée de bois contient toujours au moins cinq carcinogènes humains connus et au moins 26 produits chimiques qui appartiennent à la catégorie des polluants atmosphériques dangereux."

En 2007, le CNRS une partie de ces résultats : l’institut de recherche affirmait ainsi que 50 à 70 % de la masse de la pollution particulaire en composés carbonés provenait de la combustion de biomasse, et ceci partout en Europe et aussi bien pour les masses d'air étudiées près du sol qu'en altitude.

En conclusion de son rapport, Greenpeace Canada ne fait bien entendu pas l'apologie du charbon ni d'aucune énergie fossile, mais demande un moratoire sur les nouveaux projets bioénergétiques et la révision des projets existants, l'interdiction de la récolte d'arbres entiers et l'abandon du principe de "carboneutralité" concernant la biomasse. L'ONG estime ainsi que l'énergie tirée de la biomasse ne doit pas être considérée comme renouvelable et doit rester à petite échelle, par exemple pour fournir chaleur et vapeur à une usine de papier en brûlant de la sciure et des écorces.

Résumé: Cet article parle de l'énergie de biomasse qui permet de crée de l'énergie grâce aux matières organiques et animales mais cependant cette énergie crée des problèmes qui sont la déforestation et les centrale fonctionnant à la biomasse rejettent des quantités de CO2 très importantes

3.Le journal de l'environnement

Plein feu sur le solaire thermodynamiqueLe 08 juillet 2011 par Valéry Laramée de Tannenberg

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En partenariat avec le Journal de l’Environnement, le Syndicat des énergies renouvelables organisait, jeudi, les premières rencontres du solaire thermodynamique. Une source d’énergie renouvelable, un peu oubliée, mais promise à un brillant avenir.

Au tout début de la cinquième république, la France était à la pointe de la recherche en matière d’énergies renouvelables. En une quinzaine d’années, les techniciens d’EDF accumulent les premières mondiales : usine marémotrice de la Rance, ferme éolienne de Ouessant, centre d’essais éolien de Lannion, centrale solaire thermodynamique de Targassone …

échecs techniques, contre-choc pétrolier et le poids de l’énergie nucléaire finissent par condamner ces programmes.

Des décennies durant, se souvient son directeur Gilles Flamant, le laboratoire du CNRS sur les Procédés, matériaux et énergie Solaire (PROMES) doit cesser toute activité sur l’énergie solaire. « Nous avons même dû enlever le S de l’acronyme. Et comme, nous n’avions plus le droit de faire de la recherche sur le solaire, nous travaillions officiellement sur les matériaux. »

De toutes les énergies renouvelables, le solaire thermodynamique a sans doute payé le plus lourd tribut. « Cette technologie a connu une nuit solaire de plus de deux décennies », résume Mariangeles Perez Latorre, la dynamique secrétaire générale d’Estela, le lobby européen du solaire thermodynamique.

Exploré depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le principe n’est, pourtant, pas mauvais. Par un jeu de miroirs, on concentre fortement la lumière pour produire de la chaleur. Cette énergie thermique sert à actionner un moteur Stirling qui produira de l’électricité. Plus fréquemment, elle sert à porter à haute température un fluide caloporteur, grâce auquel on produit de la vapeur qui entraînera une génératrice d’électricité.

Quasiment pas exploité, le potentiel de cette famille de technologies est important. « Nous considérons qu’en 2050, 20% à 25% de l’électricité mondiale pourrait être produite à partir des énergies solaires, avance Cédric Philibert, économiste à l’Agence internationale de l’énergie. Sur ce total, la moitié pourrait être générée par du solaire à concentration, soit plus de 4.000 TWh/an et une économie d’émission

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