Fourmis

féré est n°56 car son courage et son inventivité mon impressionner. Elle est imprévisible et veut faire évoluer sa cité très rapidement dans toutes les matières. On voit vraiment que c’est une reine.

III

L’action se déroule au 3 rue des Sybarites, mais il n’y a pas de date préciser.

Elle se déroule également à 6km de chez lui à BEL-O-KAN.

Dans ce roman 2 Histoires sont mélangées donc de résumé sont nécessaires :

. Jonathan après avoir hérité de l’appartement de son oncle y découvre une mystérieuse cave ou au fond se trouve «l’encyclopédie du savoir relatif et absolu». Après y avoir pénétré lui et sa famille il y découvrir un laboratoire souterrain où il va pouvoir communiquer avec ces mystérieuse «Fourmis» et ainsi terminé le travail de son oncle.

. La société des fourmis est mystérieuse et complexe elles ont leurs propres règles ainsi que leur propre population. Ce roman relate les histoires des fourmis complices à la fourmi n°327 (n°56, n°103 683) dont leur but est de résoudre l’enquête sur l’arme secrète. Les fourmis sont très organisées et sont prêtes à faire des sacrifices pour leurs cités.

Les thèmes abordés dans le livre sont la nature, la vie quotidienne, les voyages et l’aventure ainsi que le courage.

IV

J’ai pris du plaisir à lire se livre car Bernhard Werber est mon auteur préféré de plus j’ai aimé la façon dont il écrit ses livres. J’en ai déjà lut plusieurs qui m’ont tous plu (Le mystère des dieux, Le souffle des dieux, Les Thanatonautes).

J’ai appris que les fourmis aussi petite qu’elles soient, elles sont assez complexes. Elle possède leur propre société leurs propres coutumes ainsi que leur mode de vie.

Les émotions que j’ai ressenties sont de la tristesse et de l’étonnement.

Ce roman ma fait réfléchir car maintenant quand je verrais une fourmis je ne la regarderais plus pareil. Pour moi se sera un être d’une autre civilisation.

Les passages particulièrement captivants sont les extraits de l’encyclopédie du savoir relatif et absolu d’Edmond Wells car ils relatent des faits réels : «En Afrique, on pleure la mort d’un vieillard plus que la mort d’un nouveau-né. Le vieillard constituait une masse d’expérience qui pouvait profiter au reste de la tribu alors que le nouveau-né, n’ayant pas vécu, n’arrive même pas à avoir conscience de sa mort.

En Europe, on pleure le nouveau-né car on se dit qu’il aurait sûrement pu faire des choses fabuleuses s’il avait vécu. On porte par contre peu d’attention à la mort du vieillard. De toute façon, il avait déjà profité de la vie ».

Le titre du roman convient bien à l’histoire car tout le roman est basée sur les fourmis de leur étude (monde de Jonathan) à leur vie (monde de la fourmi n°327).

Le but de l’auteur est de faire comprendre que les fourmis sont des êtres assez évolués qui ont eux aussi des civilisations sur la terre. Il indique même que les fourmis sont la deuxième civilisation après les humains. Il veut faire produire de la réflexion car nous ne sommes pas la seule civilisation sur cette terre.

Je conseille se livre aux personnes qui s’intéressent à la réalité des faits. Aux personnes qui aiment la science ainsi que la découverte.