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L'étranger D'albert Camus

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De la ligne 19 a 20 se trouve une gradation, c’est à dire qu’a la ligne 19 la douleur due a la lumière se concentre sur le visage avant de perdre la vue a la ligne 20.

En troisième lieu, nous allons parler de la souffrance que le soleil cause. « Brûlure que je ne pouvais plus supporter » ligne 3, « cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux » ligne 19 nous explique ce que ressent le personnage-narrateur. On peut y voir une attaque directe du soleil. Sa seul idée est d’échapper au soleil « j’ai fait un pas en avant » comme si un pas suffisait a se débarrasser du soleil.

On peut constater que le rôle du soleil est multiple sources de chaleur et d’aveuglement. Il est donc meurtrier quand il reflète sur le couteau. Le soleil à donc une responsabilité dans le meurtre que vient de commettre Meursault.

Par ailleurs ce texte décrit aussi l’engrenage tragique dans lequel Meursault est associé. La souffrance physique due au soleil, ses brûlures…

entraînent un mouvement incontrôlé et instinctif. Le mouvement est considéré comme un enchaînement irréversible car après la mort de l’arabe se trouvant face a Meursault on ne peut retourner en arrière. Il y a des connecteurs logiques comme « et cette fois » ligne 8 ou « Au même instant » ligne 12 ou encore « c’est alors » ligne 20, qui nous montre que les évènements s’enchaînent rapidement et sont liés. Ce personnage est considéré comme victime de sa propre conscience car on a l’impression que le corps est sous les ordres de celle-ci (il en dépend) « la gâchette à cédée ».

C’est épisode est décisif pour Meursault. « J’ai secoué la sueur et le soleil » ce qui veux dire qu’il vient de comprendre que l’acte qu’il vient de commettre est grave en retrouvant la vue. Et c’est là qu’il à compris qu’il vient de détruire l’équilibre du jour car avant cette action il était heureux. C’est le plus-que-parfait qui marque la fin ; « alors j’ai tiré » il est donc conscient de son geste. La porte du malheur marque donc la frontière entre le jour, la liberté, le bonheur et le noir le malheur la prévision voir la mort.

En conclusion ce texte est ambiguë car on ne comprend pas pourquoi Meursault tue l’arabe alors qu’on est dans ses pensés (ce qui en fait une focalisation interne) et qu’on est sur de sa sincérité ; le crime apparaît donc comme une souffrance qu’il ne peut éviter. Cela nous fait un portrait de l’homme absurde car son acte n’a pas de sens.

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