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Les Gommes

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er. Bien content de pouvoir faire autre chose, il ne cherche pas d'explication.Garinati, en pensée, remet la faute sur Bona. Plus tard, il reçoit un papier de ce dernier qui lui dit qu'il a raté son rendez-vous avec lui. Bona, qui signe « J.B. », mentionne aussi un certain Wallas.

Garinati croit que Dupont est encore en vie, il ne connait pas la version des journaux, Il pense qu'un autre sera chargé de finir le travail.

Chapitre premier

Wallas est décrit comme un homme encore jeune, grand. Il a pris une chambre au café après le meurtre. Il se promène en ville, examine les rues, les quais... Il parcourt les artères principales.

Wallas est un policier, il enquête sur un assassinat politique. Selon les informations qu'on lui a données, les assassins seraient en fait envoyés par un groupe anarchiste. Quelques fois, il fait référence à Fabius, un policier de grande renommée qu'il connait. Roy-Dauzet, déjà cité, est en fait ministre des affaires intérieures et Wallas travail pour le Bureau des Enquêtes dont les membres sont chargés de surveiller des groupes politiques, religieux, ... Il se rend à la place de la Préfecture et, en attendant que le bureau ouvre, il va à un café où il lit le journal et achète un gomme à dessin dans une papeterie. Au bureau, il fait la connaissance du commissaire Laurent qui lui apprend que le médecin de Dupont s'appelle docteur Juard. Wallas est étonné quand il apprend que la police a déjà emporté le corps de la victime. Il se rend aussi rapidement compte que Laurent ne veut rien faire et qu'il est seul à enquêter. Les deux hommes font toutes sortes d'hypothèses : le suicide, la femme de Dupont, ...

Laurent suspecte même Wallas, lui demande à voir son arme et constate qu'il manque une balle dans le chargeur.

Plus tard, le docteur Juard se présent au commissaire. Il s'attend à ce qu'on lui pose des questions et son attitude le rend suspect aux yeux de Laurent. Ce dernier se demande pourquoi, Dupont a contacté Juard, qui, même s'il est chirurgien, est d'abord spécialisé en gynécologie. Enfin, avant de partir, le médecin remet au commissaire la balle extraite du corps de Daniel Dupont.

Ensuite, on en revient à Wallas qui va chez Dupont et parle à la gouvernante, Anna Smite. Elle dit que son maître était à peine blessé, que le médecin l'a tué. Or, elle n'a pas su apercevoir la blessure de Dupont. Elle montre ensuite à Wallas le revolver de Dupont où il manque aussi une balle. Smite finit ses valises et part chez sa soeur, à la campgne, laissant au policier la clé de la porte de derrière.

Chapitre deux

Bona, ou J.B., ou Jean Bonaventure, trouve que Garinati, qui vient de rater son rendez-vous, car Bona l'a attendu longtemps dans une immuble vide, a beaucoup changé. Il est devenu inquiet et nerveux. On apprend que le groupe dont il font partie se nomme tout simplement l'Organisation. Finalement, Garinati arrive, mais il divague, il n'est même pas au courant que Daniel Dupont est mort.

Garinati, aussi chargé de surveiller Wallas, l'a laissé filer. Garinati se demande comment Dupont a pu mourir, il n'est pas certain de sa mort. En fin de compte, il repart à la recherche de Wallas. De son côté, Wallas veut interroger les gens de l'immeuble en face de la résidence de Dupont.

Pour cela, il s'imagine comment Fabius s'y prendrait. Il découvre qu'une personne épie tout, madame

Bax, et découvre un moyen de la rencontrer. D'abord, elle dit ne rien avoir aperçu. Finalement, elle avoue avoir vu un homme en imperméable. Cet homme a croisé un ivrogne du quartier.

Wallas retourne au café où, justement, un ivrogne dit l'avoir vu dans la rue, le jour précédent,jour du meurtre, peu avant la nuit. Mais ce n'est pas possible, car Wallas n'était pas encore en ville.

L'ivrogne assure avoir rencontré un homme en imperméable. La patron se met alors à penser que Wallas est le criminel et appelle la police, mais cette dernière ne fait rien en entendant le nom de Wallas. Quand à Bona, il s'apprête à envoyer un nouveau tueur pour continuer la série de meurtres. Du côté de Wallas, ce dernier se rend dans une papeterie où il achète une gomme dont il n'est toujours pas satisfait, ainsi qu'une représentation en carte postale du pavillon de Daniel Dupont. Il aimerait aussi voir le docteur Juard, puis, pour ne pas paraître suspect aux yeux d'un agent auquel il a demandé la direction de la poste, il va à la poste.

Chapitre trois

Le commissaire Laurent imagine que Dupont a maquillé son suicide en assassinat. Mais ça ne colle pas, car il a appelé à l'aide. De plus, Dupont avait un fort caractère, il aurait trouvé le moyen de mettre définitivement et immédiatement fin à ses jours, et il n'aurait pas non plus demandé de l'aide.

Seul la thèse de l'assassinat est plausible. Laurent n'a pas non plus de nouvelles de Wallas. Un peu plus tard, il reçoit la visite du dénommé Adolfe Marchat. Il fait des confessions, racontece qu'il sait du meurtre, puis il dit qu'il est la prochaine cible, qu'il sera assassiné ce jour. Marchat a entendu les derniers mots de Dupont. Il doit récupérer chez lui des dossiers à remettre à un politicien important. Il sera tué en récupérant lesdits documents et vient donc se mettre sous la protection de la police. En fait, il n'est pas un ami de Dupont, juste une connaissance, il se trouvait là quand Daniel Dupont est arrivé à l'hôpital avec le docteur Juard et il l'a aidé à porter le blessé. Le commissaire ne croit pas son histoire d'organisation. Il croit Marchat fou et Dupont suicidaire. De son côté, Marchat pense que le commissaire est à la solde des assassins. Il croit aussi que Laurent sait que Dupont est en vie, car il croit que Juard est un traitre également. Il jure de ne pas aller chercher les documents, puis se ravise.

Wallas se promène, mange, écoute parler des ouvriers. Il boit un café dans un café du coin et se sent comme malade. C'est sa première affaire pour le Bureau des Enquêtes et n'avance pas beaucoup. Il somnole et rêve de sa première rencontre avec Fabius. Wallas s'éveille, puis va à la poste pour interroger les employées, mais, avant de pouvoir faire quoi que ce soit, on le prend pour un autre et lui donne une lettre. On l'a pris pour l'assassin. Alors, Wallas décide de montrer la lettre à Laurent. Ils font des hypothèses. Le commissaire revient avec celle selon laquelle Wallas serait le tueur. Ils se rendent compte qu'ils ne savent pas grand chose. Ce pourrait aussi être le courrier, simplement, d'une personne à laquelle Wallas ressemble.

L'expéditeur a signé « J.B. » et la lettre est adressée à « André VS ». La lettre dit que le rendez-vous aura lieu plus tôt que prévu et que André VS doit remplacer G.

J.B. est un commissionnaire. G. Et André VS sont deux de ses agents. Ils ont opéré hier ensemble dans une affaire qui va se terminer ce soir. Privé du concours de G., le second doit être à pied d'œuvre plus tôt que prévu pour ne pas être pris par le temps. Wallas imagine la thèse du suicide, puis celle de l'assassinat. Il comprend que Laurent n'accepte pas celle de l'assassinat. Wallas parle d'un complot à l'échelle internationale. Quand il sort du bureau, il va acheter une gomme. C'est alors qu'il se souvient de la femme avec la carte postale de la maison de Daniel Dupont. C'est la femme de Daniel Dupont.

Chapitre quatre

Wallas questionne la femme de Daniel Dupont. Ils n'ont été mariés que deux ans et elle parle de sa vie avec lui. Dupont quittait rarement son bureau et vivait comme un moine, pourtant, il n'était pas du type suicidaire. Lorsqu'elle a appris sa mort, elle n'a été que légèrement choquée. Elle répond à son attitude par le fait qu'elle ne le trouvait pas vraiment vivant, il était toujours dans son monde. Wallas comprend que cet entretient est vain. Quand il s'apprête à partir, un homme entre dans la boutique et achète la même carte que Wallas, avec la photo de la maison de Dupont. Wallas sort, croise l'homme et le suit un moment, avantde le perdre. Il ressasse son échec, puis se fait une raison. Il retourne au bureau où, avec Laurent, il interroge trois employées de la poste. Ils apprennent peu : l'homme porte un imperméable avec un accroc en forme de L et des lunettes dont le verre droit est plus foncé. Ensuite, Wallas consulte un autre rapport, fait pas un nouveau dans la police, où apparaissent deux nouveaux éléments: l'avertisseur de police était hors d'usage et il y avait des traces de pas sur la pelouse. Il apprend aussi qu'en été, un jeune homme rendait visite à Dupont, puis ils se sont disputés.

C'est en fait un enfant qu'il a eu avec une autre femme avant de se marier. Le fils voulait de l'argent. Le policier, dans son rapport, évoque également l'hypothèse de la présence de deux assassins : un « petit », supposément le fils de Dupont, et un de ses amis, grand et fort. Wallas imagine la scène, le fils et son ami Maurice. Ce serait la raison pour laquelle Daniel Dupont n'a pas dénoncé le crime, il pensait vivre et régler cette affaire de famille. On apprend dans ce chapitre que la ville

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