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Les Travailleurs Pauvres

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sur l’émergence du concept de travailleur pauvres, sous deux visions sociétales distinctes : américaine et française .Elle note que l’apparition de cette catégorie est due, au changement conjoncturel et structurel des sociétés. Aux ETATS-UNIS, cette idée voit le jour dans les années 60 sous la problématique de lutte contre pauvreté. Les politiques tentent de résoudre ce processus juger néfaste au bon fonctionnement du morale des travailleur .C’est pourquoi ces derniers décide d’y remédier, en créant massivement des emplois. Procédé qui échoue car cette prérogative ne cible pas les travailleurs pauvres mais les individus au chômage.

Ensuite, elle explicite le cas Français, qui s’avère différent. Le concept voit le jour dans les années 80, dans une optique de protection sociale .La problématique soulevé par le texte, est de savoir quels sont les dispositifs mis en place pour restreindre aux mieux cette catégorie sur le marché du travail. Il est donc impératif de crée une situation statistique type de ce statut, afin d’aider les individus travaillant, à ne pas connaitre simultanément une situation de précarité intense. Projet dont s’atèle les politiques que se soit dans la vision francophone ou anglophone. C’est véritablement en 1980, que le terme wookpoor nait avec la publication de la BLS (bureau of Labor statistiques), qui dénombre les travailleurs connaissant des problèmes financiers et, il les caractérise en faisant, une situation statistique à part entière.

Après cette brève contextualisation, passons maintenant aux difficultés liées à l’analyse d’une catégorie construite au carrefour de deux unités statistiques : l’individu et le ménage.

Tout d’abord ,La scientifique introduit cette partie en énonçant les trois critères (l’individu, le collectif et le marché du travaille,) permettant de construire la catégorie des travailleurs pauvres, catégories se trouvant être a l’intersection de deux unités statistiques « travailleur » et « être pauvres ».La conception implique un cumul de plusieurs choix normatifs, la séparation de pauvres et non pauvres par exemple. Notons que l’élaboration de cet objet, est au cœur de deux niveaux d’analyse, le statut d’activité de manière individuel et la pauvreté approche qui prend source dans le collectif : le ménage. Par la suite, elle définit le concept de « travailler », qui est associé, au premier abord, au travail marchand source de revenu. La définition retenu par la majorité des travaux français est celle de Bruce .W .Klein et Philip .L .RONES(1989) étant Un travailleur est donc « une personne ,qui, au cours d’une année, a été présente sur le marché du travail, qu’il est effectivement occupé, un emploi ou non, au moins aussi longtemps qu’elle en été absente ».Cette définition, pose une norme qui renvoi à l’idée d’une présence sur le marché du travail équivalente au temps, ou l’on à été acteur.

Ensuite, elle définit le concept « d’être pauvre », La pauvreté comme « un phénomène multidimensionnel, dont l’approche monétaire ne fournit que des indicateurs indirects ». L’auteur poursuit en explicitant ce qui permet de catégoriser le ménage pauvre, qui est une comparaison du niveau de vie avec le seuil de pauvreté, (seuil qui fluctue selon les critères des différentes institutions) et qui de part ce changement fait gonflé les chiffre de ce groupe.

Puis, elle combine les deux pour créer le concept de « travailleur pauvres » sur une double coupe, du coté travail notamment en terme de présence de l’individu (seul les gens à temps complet sont comptabilisé) sur le marché du travail, est le critère de base pour décrire cette catégorie .Si on augmente les exigences face à la durée du travail, cela baissera significativement l’effectif de la population initial et mutera ces caractéristiques.

Par ailleurs du coté travail, le choix du seuil est crucial, plus il est bas, plus il y a de ménage pauvre. Il serait plus judicieux de corréler les deux visions, selon l’auteur, pour obtenir une perception plus juste de ce fait. Le risque de pauvreté en somme est caractéristique de l’emploi donné, c’est plus ou moins atténué par les configurations familiales .L’actif occupé a temps complet varie de deux pourcent, si il a un conjoint actif occupé a temps complet ; à 25pourcent, si le conjoint et inactif.

Enfin, elle arrive à sa question initial, subsiste-il des inégalités en matière de genre sur le marché du travail ? Selon elle, des normes ont été préétablies, de manière inadéquate de part la réalité du marché du travail. En somme, il y a une incohérence de la proportion des travailleurs pauvres chez les hommes, car dans les faits les femmes sont souvent surreprésentées. Elles sont les premières ciblent des emplois instables et les hommes sont donc, majoritaire en temps complet, (soit y temps passant qui est la norme retenu pour le décompte).Il ya donc un défaut de la caractérisation des travailleurs pauvres par les critères d’attribution de position dans la société même.

En définitif , à travers cet article Sophie Ponthieux nous livre une rétrospection historique de l’émergence du concept de travailleur pauvres, qui prend racine différemment de part le contexte structurel de la société américaine et française .Elle nous expose les deux entités distinctifs qui permettent de crée véritablement un idéaltype statistique de cet catégorie et, termine sur les limites de cet catégorie statistique, notamment sur la notion de genre, mettant en avant l’idée que il ne prend pas en compte les configurations familiales qui interagissent sur le comportement des femmes. Femmes qui se voient attribué in facto des emplois défavorables, en raison de disponibilité face aux aléas du quotidien à savoir être mère de famille et travailleur, procédé demandant une flexibilité des statuts des individus .De part cette stigmatisation, les femmes ont plus de difficulté à acquérir un emploi stable.

Pourtant de part les dispositifs mis en place par la société (crèche, centre de loisir,) Les femmes ont plus de disponibilités. Ici emplois défavorisés sont supprimé dans l’analyse de la catégorie. Donc il est impératif de nuancer. Elle se questionne toutefois sur le faite qu’il serait plus juste de faire corrélé deux variables comme : les configurations familiales et les facteurs du marché du travail, mais également faire converger les caractéristiques des individus sur le marché du travail et les caractéristiques du niveau de vie des ménages, pour arriver à une catégorisation statistique plus représentative.

Dominique Merl lié, Jean Prévôt, la mobilité sociale, la Découverte, 1997, pp 6-27

• . Cet extrait est centralisé sur les différents enjeux politiques que recèle le concept de mobilité sociale et cherche a détaillé les différentes types de mobilité sociale, qui sont a ce jour répertorié par les instituts de recencement, Tel que L’INSEE.

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Ce questionnement sur le concept de mobilité sociale n’est pas anodin, il est inscrit dans une visée politique visant à pallier « le principe d’égalité des droits proclamés à partir du 18-19è siècle. La question que pose l’analyse de la mobilité sociale est : L’égalité des chances prôné par le droit du travail est –elle réellement respecté dans les faits ? Dans un premier temps, nous verrons la mobilité sociale dans l’expérience quotidienne puis dans un second temps, nous verrons que la problématique énoncé est chargé politiquement et enfin que nous verrons qu’ils une pluralité de distinction découlant de ce concept.

Tout d’abord, Dominique Merlié Et Jean Prévot mettent en lumière les différentes évaluations spontané faites par les individus sur la position sociale de leur semblables .j’entends par la que, Les interactions multiples et imprévisibles soient elle, demande aux individus de constamment s’adapter à la différente situation qu’ils rencontrent.

Cette capacité d’évolution résulte des normes que les individus , acquis, intériorisé durant la période de socialisation. Par exemple, Selon l’examen préliminaire qu’on se fait des positions sociales de chacun on adapte notamment son langage(le vouvoiement et le tutoiement dépendent de l’interlocuteur). «Le classement social ne se fait que purement de part la statistique, qui permet d’élaborer dans ce cas, des pronostics sur la trajectoire social des individus. ».

Les auteurs notent par la suite, Ensuite, Ils notent que l’origine sociale prédétermine a certaine mesure la situation sociale mais pas strictement car il existe des cas de figures d’ascension sociale notamment grâce aux vecteur : diplômes. Enfin, ils montrent que les mobilités sociales ascendante mais aussi descendante prennent corps également, dans de nombreux ouvrages phares des auteurs du 18eme siècle, de part ce postulat les normes sociétales qui nous sont transmissent, sont ex nihilo conforté à travers par exemple dans les contes pour enfant, qui nous insigne une certaine une morale sociale.

Certes la mobilité sociale est représentée dans notre quotidien, mais elle dépend du choix logiques politiques des élus.

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