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Besoins alimentaire de l'organisme

Étude de cas : Besoins alimentaire de l'organisme. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  15 Février 2019  •  Étude de cas  •  3 300 Mots (14 Pages)  •  1 845 Vues

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1) Qu’est ce que l’équilibre alimentaire ?

L’alimentation est l’une des bases fondamentales de la naturopathie, « Que ton aliment soit ton médicament »

Cette hygiène alimentaire peut se résumer simplement : de tout, un peu et bio.

Autrement dit, l’aliment est l’élément moteur de notre bon état de santé, tous les aliments naturels, bio et cuisinés maison possèdent des valeurs nutritives qu’il faut savoir employer à bon escient et consommer selon les nécessités de chaque individu  et ,en tout état de cause,  il est toujours profitable de se nourrir avec discernement et frugalité.

Cependant, il repose sur l’égalité des dépenses énergétiques et des apports alimentaires énergétiques, une bonne répartition des protéines, lipides, glucides, fibres, vitamines et minéraux sans oublier les oligo-éléments accompagnés de la seule boisson qui soit essentielle à la vie, l’eau.

2) Citez les comportements les plus nuisibles à la santé. Vers quelles pathologies nous conduisent-ils ?

Une alimentation trop peu variée, trop riche en graisse, en sucre,ou en sel, causera forcément des problèmes de santé tôt ou tard. La conséquence la plus évidente est le surpoids et l’obésité car les personnes en surpoids ou obèses augmentent considérablement les risques de maladie cardiaque, de diabète, de accident vasculaire cérébral, de cancer ou d’ostéoporose.

Manger trop de malbouffe, d’aliments frits, de sel, de sucre, de produits laitiers, de caféine, et de nourritures industrielles peut causer de l’hypertension

La nutrition jouera dons un rôle majeur dans le développement et le traitement des cancers.

Les complications de santé liées à une mauvaise alimentation peuvent aussi être psychologiques et cognitifs.

Globalement, une mauvaise alimentation peut affecter tous les organes, perte de densité osseuse, cholestérol, goutte, calculs rénaux, calculs biliaires…. Le foie et la vésicule biliaire ne sont pas épargnés non plus, Syndrome du foie gras, cancer, hépatite…

Une carence en protéine entraîne une dénutrition se manifestant par une fragilité immunitaire, une perte de la musculature, un risque d’ostéoporose..

Un excès de glucides et une alimentation trop riche en sucres simples entraînera des problèmes de poids et toutes les pathologie qui en découlent. Inversement, un manque de glucides peut entraîner une surproduction d’insuline avec une baisse de sucre dans le sang trop importante et pourrait générer une hypoglycémie « réactionnelle » suite à un dérèglement pancréatique.

3) Pourquoi notre organisme a-t-il besoin d’un apport journalier en protéine ?

Les protides sont les matériaux de construction de notre organisme et sont en fait les protéines que l’on trouve dans : la viande rouge ou blanche, le poisson, les crustacés et fruits de mer, et les œufs. Tous les végétaux contiennent aussi des protéines mais celles-ci sont incomplètes et, lors de la digestion, notre système digestif n’a pas les éléments nécessaires à leur extraction, ce qui leur conférera des qualités nutritionnelles moins performantes qu’aux protéines animales. Les protéines se transforment après digestion en acides aminés. Les besoins journaliers vont varier en fonction de l’âge et du sexe et certaines périodes de la vie.

4) Pourquoi notre organisme a-t-il besoin d’un apport journalier de glucide ?

Les glucides sont indispensables à notre énergie physique et intellectuelle. On distingue les glucides simples : fruits, jus, pâtisseries, bonbons… soit les glucose, fructose, galactose, saccharose, lactose ou maltose et les glucides complexes avec les sucres lents, les  amylacés, que l’on trouve dans : les céréales, les tubercules ou les farineux. En dehors d’être des fournisseurs d’énergie, les glucides sont satiétogènes, nécessaires aux performances intellectuelles et physiques. Il est donc important de contrôler l’apport journalier en observant l’indice glycémique des aliments afin d’éviter la prise de poids (surtout si ce sont des sucres simples et des aliments industriels).

5) Que se passe-t-il si le repas ne contient pas de sucres lents ?

Un repas sans glucide entraîne une hypoglycémie qui se produit généralement 2 à 3 heures plus tard et peut durer de 10 à 30 minutes. Il s’agit d’une baisse brutale du sucre dans le sang suite à une production d’insuline trop importante par le pancréas. Cette baisse de sucre prive le cerveau de la quantité de sucre dont il a besoin pour fonctionner. Si le taux de sucre dans le sang devient trop bas, le cerveau déclenche une réaction « adrénergique » et on peut ressentir différents symptômes : faiblesse, tremblements, sueurs, palpitations, nervosité, agressivité, chaleurs et transpiration, vision embrouillée, difficulté à se concentrer ou étourdissements. Pour éviter que le taux de sucre ne s'élève trop rapidement et pour empêcher la surproduction d'insuline qui s'ensuit, il est recommandé d'éviter les sucres simples (sucre blanc ou brun, miel, chocolat, bonbons, boisson gazeuse, etc.) et de bien consommer des sucres lents dits complexes, comme le pain, les céréales et les fibres à chaque repas.

6) Les glucides font-ils grossir ? Dites pourquoi.

Du moment que vous ne consommez pas plus de calories que ce dont votre corps a besoin, vous ne prendrez pas de poids. Et ce peu importe ce que l’on mange des glucides, protéines, lipides… du moment que nous ne dépassons pas le seuil de notre métabolisme de base, nous ne grossirons pas. Donc les glucides en eux-mêmes ne vous feront pas plus grossir qu’un autre macro-nutriment.

En revanche, inclure trop de glucides dans l’alimentation peut avoir des conséquences négatives, dont certaines peuvent amener à prendre du poids. Une part trop importante de glucides entraînera une baisse de consommation de protéine et donc amorcera une perte musculaire. La perte de la masse musculaire aura pour conséquence un ralentissement de du métabolisme. Autrement dit, le corps aura besoin de moins d’énergie au quotidien pour être fonctionnel ce qui fait qu’il faudra manger moins pour ne pas grossir.

Une consommation trop importante de glucides entraînera aussi une baisse de la consommation de lipides et risque de placer l’organisme dans un état de faim permanent et perturbera le fonctionnement hormonal.

Une consommation trop importante de glucides, donne faim. Généralement, quelques heures après avoir consommé des glucides (généralement 2-3h), le corps subit un pic d’insuline, qui va se traduire par une sensation de faim insupportable et parfois, on ressent un tel besoin de manger qu’on ne peut pas résister et qu’on finit par se gaver. Et à ce moment-là, difficile de ne pas dépasser la limite de calories quotidienne.

Pour autant, les glucides sont essentiel au bon fonctionnement de notre organisme. Et si nous n’en consommons pas assez, nos performances sportives en pâtiront, mais également la qualité de notre sommeil, notre humeur et notre fonctionnement hormonal.

Il est donc crucial d’en consommer en quantité suffisante.

7) Qu’est ce que l’indice glycémique ?

L'index glycémique mesure la capacité d'un glucide à élever la glycémie après son ingestion. Il est d’autant plus élevé que le pic glycémique induit après l’avoir mangé est grand.

Le concept d'index glycémique permet donc de classer les aliments en fonction de leurs effets sur la concentration sanguine en glucose.

8) En quoi l’index glycémique a-t-il modifié la notion de « sucres rapides «  et de « sucres lents » ?

Il n'existe pas de « sucres lents » ou de « sucres rapides » par nature. En effet, la vitesse d'absorption des glucides par l'organisme varie en fonction de nombreux critères :

Forme solide ou liquide de l'aliment

Associations avec d'autres nutriments

Modes de cuisson et de consommation.

L'index glycémique d'un aliment peut varier de 1 à 100, 100 correspondant au glucose. Par conséquent, les aliments à index glycémique élevé vont générer un pic de glucose dans le sang. L’énergie sera ainsi libérée très rapidement et sur une courte période. Au contraire, les aliments à index glycémique bas vont générer une libération continue de l’énergie sur le long terme.

9) Devons nous augmenter notre consommation d’Oméga 3 ou d’Oméga 6 ? Pourquoi ?

L’Oméga 3 et l’Oméga 6 sont deux acides gras polyinsaturés, dits essentiels parce que le corps ne sait pas les fabriquer :

Le premier est l’acide linoléique, de la famille oméga-6 (huiles de tournesol et de maïs)

Le second est l’acide alpha-linolénique, de la famille oméga-3 (poissons, poissons gras, huile de noix, huiles de lin et de colza)

L'équilibre

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