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La Chevre

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que le Ministère des Transport du Québec pour réduire notre dette, mais ceci a eu de grave conséquence sur la population. De plus, nous sommes estomaqué d’apprendre que notre gouvernement garde secret des informations que le grand public a droit de connaître.

Fiche 2:

* Référence: Jean-Robert SANSFAÇON, «Infrastructures-Les routes…et le reste», Le Devoir, 8 août 2011.

* Idée principale : cet article écrit par Jean-Robert Sansfaçon explique, après la publication des rapports alarmant sur l’état des ponts Mercier, Champlain et l’effondrement d’une poutre du tunnel Viger, explique le débat sur le financement des infrastructures routières.

* Arguments :

* À partir de 2007, le gouvernement a haussé les investissements de façon considérable.

* Le Plan québécois des infrastructures, s’échelonnant sur 15 ans, prévoit 400 millions par année en moyenne au cours des cinq prochaines années pour rattraper le temps perdu sans compter l’ajout de 3 milliards de dollars par année pour améliorer les infrastructures.

* Il n’y a pas que les routes qui ont besoin de financement. Il y a aussi les hôpitaux, les écoles, les métros qui ont besoin de réfection. Le plan budgétaire est de 5.5 milliards par année d’ici 5 ans, en plus de 5 milliard par année seulement pour Hydro-Québec.

* Le rapport Johnson chiffrait à 500 millions de dollars par année pendant 10 ans, les sommes nécessaires pour résorber le déficit d’entretien du réseau routier.

* 25 ans de négligence et que depuis 3 ans, il y a eu une augmentation considérable des chantiers.

* Les priorités du gouvernement avec le plan Nord ou même le devancement des grands projets d’Hydro Québec dans un contexte de surplus d’électricité.

* Il est impératif pour le gouvernement de revoir les enjeux politiques, la corruption, la collusion et le manque de contrôle.

* Limites de cet article: Nous croyons qu’il est ridicule de croire que le gouvernement veut investir des milliards de dollars dans les infrastructures à vocations privées du plan Nord tandis que la condition de nos routes et nos infrastructures est en ruine. Il a fallu plus d’un drame pour ébranler notre gouvernement au sujet de la santé de nos routes. De plus, nous sommes loin d’atteindre une réduction de la dette avec tous les argents que nous devons investir pour réparer notre système routier.

Fiche 3:

* Référence : Manon CORNELLIER, « Un État ratatiné», Le Devoir, 28 septembre 2011.

* Idée principale : cet article écrit par Manon Cornellier nous présente les grande ligne du rapport de Jacques Duchesneau qui cible principalement le gouvernement du Québec malgré le fait que le gouvernement fédéral a financé une partie des travaux d’infrastructures du Québec.

* Arguments :

* Le rapport Duchesneau est catégorique : la réduction de poste au MTQ est le premier facteur de vulnérabilité du gouvernement. La perte d’effectif humain représente une perte d’expertise, donc les fonctionnaires n’arrivent plus et ont recours au privé pour différentes tâches et responsabilités telles que la sous- traitance, la consultation et l’embauche de temps partiels.

* Le secteur privé ne peut remplacer les fonctionnaires, car sera créerait un danger de conflit d’intérêt.

* La différence entre la gestion publique et la gestion privée : dans la gestion publique il y a un grand nombre d’intervenants, les objectifs sont multi dimensionnels, il y a un souci de stabilité et un regard sur l’environnement. Tandis que le secteur privé l’objectif principale est l’atteinte de la marge de profit.

* Limites de cet article : Nous croyons encore une fois que plus le gouvernement sert la vis pour réduire les couts dans chacun des ministères, cela crée une pression sur les fonctionnaires. Pour pouvoir arriver ceux-ci doivent avoir recours au privé ce qui crée un cercle vicieux. Les agissements du gouvernement nous aies incomparables et nous dégoutes.

Fiche 4 :

* Référence : Éric PLOUFFE, « Réparation des ponts et routes : Québec très en retard sur son échéancier», Société Radio Canada, Jeudi 27 octobre 2011.

* Idée principale : Dans le reportage d’Éric Plouffe, il révèle qu’un peu mois de la moitié de réfection d’infrastructures routières jugées prioritaires par le Ministère des Transport ont été effectués à ce jour.

* Arguments :

* La ville de Montréal est à risque. Seulement 33% des réparations inscrites sur la liste du MTQ ont été réalisées même si ces travaux étaient d’ordre prioritaire.

* L’inventaire les travaux prioritaires a été faite suite à l’effondrement du viaduc de la Concorde, à Laval, en 2006.

* Un plan de réfection a été échelonné sur 5 ans totalisant 2300 travaux.

* Anne-Marie Leclerc, la sous ministre des transports, explique les raisons du retard : d’années en années la liste des chantiers prioritaires s’allonge.

* Limite de cet article : Un autre texte qui nous confirme que notre gouvernement a perdu le contrôle sur la gestion des infrastructures routières du Québec. Depuis 2007 nous savons que certaines routes, viaducs et ponts sont en état critique et on vient d’entreprendre les chantiers de réfection.

Fiche 5 :

* Référence : André NOEL, «Le rapport Duchesneau pour les nuls», La Presse, Samedi 1 octobre 2011

* Idée principale : Cet article écrit par André Noel nous présente de façon schématique et de manière détaillé les grandes conclusions de l’unité anti-collusion décrit dans le rapport Duchesneau.

* Arguments :

* Le manque d’expertise au Ministère des Transport du Québec est causé par : salaire moindre que dans le secteur privée pour les ingénieurs, ce que crée un manque de mains d’œuvre qualifié. Les ingénieurs de la MTQ sont devenus des gestionnaires de projets au lieu de jouer leur rôle d’ingénieurs. De plus, les appels d’offres sont répondus par 10 entrepreneurs privés, ce qui représente 39% des chantiers routiers et 10 firmes se partagent 68% des contrats de services professionnels.

* La collusion c’est les grandes firmes de génies conseil qui se regroupent et qui obtiennent les contrats de A à Z.

* La fraude envers le gouvernement causé par certains ingénieurs et des entreprises de constructions.

* Crime organisé est présent dans le milieu de la construction.

* Les entrepreneurs et les ingénieurs financent les partis politiques pour recevoir des contacts futurs de la part des partis qu’ils soutiennent.

* Limites de cet article : Cet article est révoltant, car en plus de confirmer que nos routes sont dans un état lamentable on apprend aussi les contrats de réfections sont dans les mains du crime organisé et de la mafia. Comment pouvons-nous avoir confiance en un gouvernement tolère et qui supporte en quelque sorte ces agissements. De plus, le financement des partis politique par des firmes par des ingénieurs conseil ou de construction nous prouve encore une fois que la notion de «fraternité» est très présente dans ce milieu.

Fiche 6 :

* Référence : Alain GRAVEL, «Responsabilité face à l’état du réseau routier», Société Radio Canada, Jeudi 22 septembre 2011.

* Idée principale : dans le reportage d’Alain Gravel, il présente le fait que le Ministère du Transport de Québec est plus que jamais sur la sellette cet automne avec la publication sur rapport Duchesneau de l’unité anti-collusion qui confirme les pratique de corruption dans l’octroi des contrats publics. Ce reportage présente aussi les grandes préoccupations sur la sécurité de nos structures viaducs, ponts et tunnels.

* Arguments :

* il a fallu 3 catastrophes majeures au Québec en un peu plus de 10 ans pour réveiller nos gouvernements. Dans un premier lieu en juin 2000, le viaduc du Souvenir à Laval s’effondre faisant 1 mort 2 blessés graves. En deuxième lieu, il y a eu l’effondrement du viaduc Concorde à Laval avec 5 morts et 6 blessés graves. Finalement, quelques années plus tard, le troisième choc, le 15 juin 2011, l’effondrement du tunnel Viger.

* Dans ces trois personne veut prendre la responsabilité que ce soit les ingénieurs ayant œuvrés sur le chantier, les responsables de la construction, les firmes de génies conseil qui géraient le chantier. Il n’y a personne d’Imputable, personne de responsable. Ce n’est pas la ville, c n’est pas l’ordre des ingénieurs, ce n’est pas l’entreprise responsable de la construction.

* Malgré toutes ces catastrophes et les autres fermetures temporaires ou semi temporaire, les membres du gouvernement ainsi que les autorités ont toujours maintenus un discours rassurant auprès de la population.

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