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La Liberté

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royant choisir le meilleur ils font le pire, croyant vouloir. Les hommes affirment sans cesse leur liberté, le pouvoir de leur liberté et de leur volonté mais ils ne sont pas capable de savoir pourquoi ils choisissent telle et ou telle chose. La liberté pour Spinoza est une illusion. Ce qui est bien plus important pour Spinoza c'est ce libérer de la servitude, de la servitude originelle de l'homme. La liberté n'a pas de sens. Vouloir être libre n'a pas de sens. Il faut se libérer de la servitude des passions.

Comment se libérer de cette servitude ? Grâce à la connaissance. On obtint la liberté de savoir, de connaître les causes des événements qui nous arrivent. Pour Spinoza, la liberté en tant que volonté est une illusion, l'homme est esclave de ses passions, donc il est en servitude. Se libérer de cette servitude par la connaissance qui ouvre sur la liberté de l’assentiment qui est la connaissance des causes.

Cette connaissance des causes est la science, ce qui signifie que comprendre que tout ce qui m'arrive est nécessaire. Faire en sorte que mon intelligence doit être en accord avec cette nécessité. Si un malheur me frappe, si je comprends que l’enchaînement des causes rend ce malheur inévitable je serais apaisé. Cette aptitude de Spinoza conduit à une nouvelle forme de liberté et de puissance, puisque la connaissance me permet de comprendre et d'éclairer les conditions de ma servitude.

Pour Spinoza, l'homme est entièrement soumis à la nécessité. Cependant il semble que je ne sois pas constamment soumis à cette nécessité. Certes je ne peux pas échapper à certaine réalité physique ou biologique. Mais il semble que dans certain cas, je puisse avoir le choix entre deux options, deux éléments, deux chemins.

Le libre-arbitre c'est le pouvoir de choisir entre plusieurs actions possibles, il arrive dans l'existence que je soi plongé dans la plus grande inquiétude, parce que se présente à moi, plusieurs possibilités et que je n'ai aucune raison de préférer une solution plutôt qu'une autre.

Un philosophe du 14ème siècle Jean Burridan nous donne un exemple, il nous invite à réfléchir sur le cas d'un âne qui aurait autant faim que soif et qui serait placé à égal distance d'un sceau d'eau et d'un sceau d'avoine. Durridan nous dit que l'âne meurt. Pour prendre une décision, il faudrait qu'il puisse se déterminer lui même. Mais l'animal ne l'est mais l'homme lui a se pouvoir. Donc c'est le pouvoir de se déterminer quand aucun motif ne l'emporte, cette liberté c'est ce que Decarte appelle « la liberté d'indifférence », c'est le plus bas degré de la liberté. Le libre-arbitre prend exemple dans les actes les plus dérisoires de l’existence.

Texte :

1) Une liberté entière est nécessairement stérile car avoir ne signifie plus posséder. On a la liberté mais il n'y aura aucune réalisation car on se heurta à la violence de l'ordre.

2) La part de liberté perdue va être la liberté de la volonté. On ne pourra plus faire ce que l'on veut mais faire ce que l'on doit. On va gagner la sécurité et acquérir une certaine forme de bien être, et on va perdre la liberté absolue.

3) Hors société civile : droit s'étend sur toute chose, mais je ne possède rien. Mon activité est libre mais soumise à la violence de la volonté de l'autre et je ne peux rien faire et comme je ne peux rien faire, je ne profite de rien.

Société civile : mon droit s'étend sur peu de chose mais ce peu je le possède. Je fais peu mais ce peu j'en profite.

4) Dans une société civile ordonnée par les lois les hommes vivent en sécurité.

5) Passion et raison.

6) Hobbes met en opposition l'état de nature qu'il ne qualifie pas « hors de l'état civil » à l'état de nature les hommes sont libres mais c'est une liberté stérile, qui n’aboutis sur rien. Dans cet état de nature ou les hommes sont mis en présence violente des uns des autres, règne la passion, la guerre, la crainte blah blah blah. Certe à l'état de nature les hommes ont la liberté mais cette liberté n'a pas d'effet. Hobbes appelle l'état de nature « l'homme est un loup pour l'homme. » L'homme prenne conscience qu'en l'état de nature pour eux mêmes, ils prennent conscience qu'ils vont disparaître. Ils vont donc par contrat remettre leur liberté dans les mains d'un souverain et en échange celui-ci leur permettra de garantir la paix et la sécurité.

Cours :

En étant confronté à un choix crucial qui engage mon avenir, nous sommes amener à prendre une décision essentielle, dans cet espace là il ne m'est pas possible de me décider sur un coup de tête, je suis obligé à partir de plusieurs possibilités de les peser, de les examiner et d'en choisir une qui correspond le plus à ma responsabilité. Decarte : « Je suis d'autant plus libre, que je suis capable de discerner la meilleure des solutions possibles ». La liberté ça va être l'intelligence de savoir quelle est la meilleure des solutions possibles. La liberté sera une liberté critique, savoir quelle est là solution qui peut-être aura le moins de problèmes. Être libre signifie non pas choisir mais pourquoi je choisi, c'est ainsi construire en soi, c'est être libre de connaître toutes les causalités qui vont motiver on choix. Cette puissance de la volonté qui veut parce qu'elle sait ce qu'elle veut c'est ce qu'on appelle le libre-arbitre. Decarte disait que c'était la principale perfection de l'homme parce qu'elle rend l'homme mettre de ses actions.

C'est certainement Kant qui va mettre en place et réfléchir profondément dans cette perspective cette liberté comme une idée transcendantale, c'est-à-dire que c'est l'idée qui motive mes actions. L'homme est libre dit Kant, c'est-à-dire que l'homme est responsable de ce qu'il fait. Il ne peut pas se dégager derrière des excuses. La liberté demeure pour lui un moyen d'agir. La liberté est une idée régulatrice, c'est-à-dire qu'elle règle mes actions, mes en même temps l'homme parce qu'il est libre est placé devant la question du bien et du mal. L'animal ne peut pas faire le mal. L'homme ne peut pas y échapper.

Bien

Liberté L'homme

Mal

idée régulatrice

Kant dit, je ne dois pas volé parce que si j'inclue le principe de vole comme régulateur humain, je suis foutu. « Fait en sorte que ta maxime, soit une maxime universelle. » je dois agir de telle manière pour qu'il y ai une cohérence dans mes actions et pour que je ne sois pas désaccord avec le reste de l'humanité (si je tue j'introduis que toute l'humanité tue aussi). J'introduis un devoir qui sera l'expression de ma propre conscience rationnelle. L'idée même de liberté est associée avec l'idée de responsabilité. Parce que l'homme est libre, il est digne de louage et de blâme. Si on félicite un élève qui trouve le résultat d'une opération difficile, c'est que l'enfant n'a pas cédé à la distraction, il est parvenu à maîtriser ses penchant pour appliqué toute son attention à l'opération effectuée. C'est la possibilité de mon tromper qui donne du prix à mes décision juste.

L'acte libre apparaît comme la solution la plus réfléchit à un problème, c'est-à-dire que la liberté au fond est la mise en valeur des actes même de la conscience. Dans la tragédie de Racine Andromaque est prise dans un dilemme ou bien pour sauver la vie de son jeune fils Astyanax elle épouse Pyrrhus est trahie sa fidélité à la mémoire d'Hector son mari défunt ou bien elle n'épouse pas Pyrrhus et est fidèle au souvenir d'Hector mais Pyrrhus fera mourir son fils. En fait Andromaque décide d'épouser Pyrrhus et donc le fils reste vivant mais elle décide aussi de se donner la mort tout de suite après la cérémonie nuptiale. Cette solution tragique mais réfléchit est un acte libre parce qu'elle est la seule initiative qui permet à Andromaque de concilier ses devoirs d'épouse avec ses devoirs de mère.

Pour définir la liberté nous devons distinguer avec la plus grande attention le fatalisme et le déterminisme. Parce que souvent dans l'opinion le fatalisme est le déterminisme.

Le fatalisme dit : cet événement que vous craignez est inévitable. Quoi qu'il arrive, quoi que nous fassions il est impossible de faire en sorte qu'il n'arrive pas. Le fatalisme c'est l'asservissement à la nécessité. Quoi qu'il arrive l'événement se produira toute de même. Dans la légende Grec Œdipe est destiné à épouser sa mère et à tuer son père. La tragédie Grec est fondée sur la puissance aveugle du destin cette puissance domine même les Dieux, le destin est même supérieur aux Dieux. Il ne faut pas confondre le destin avec la destinée. La destinée c'est à quoi nous

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