Alcibiade

Introduction : Autour de nous il y a trop de chose injuste qui brise nos illusions. Pourtant nous avons besoin du modèle du juste et en général nous nous tournons vers le sage. Il y a peu de modèles qui s’inspirent du juste mais il en a. Le juste nous dit qu’un monde meilleur est possible. À partir des extraits de l’Alcibiade nous allons démontrer et expliquer ce que les notions du juste et injuste sont pour Platon.  Le jeune Alcibiade doit diriger une cité, qui est une démocratie. La démocratie est le pouvoir au peuple alors Alcibiade doit trouver une façon d’unir le peuple, de les assemblés. Pour cela il faut chercher la valeur commune de la cité. Les humains ne sont pas porter directement à instaurer des valeurs communes. Alors, la tache reviendra à Alcibiade d’identifier des valeurs communes capable d’unir la cité grecque.

Interprétation : Premièrement, si quelqu’un ne comprend pas le juste, il ne sait donc en quoi c’est utile. Socrate dit : « Comment donc, mon cher Alcibiade, te caches-tu à toi-même que tu ne saurais pas cela, ou bien me cacherais-tu que tu l’apprenais en fréquentant un maître qui t’apprenait à distinguer le juste de l’injuste ? Qui est ce maître ? Explique le moi, pour que tu m’introduises auprès de lui comme élève. » (P.103).  Socrate dit à Alcibiade qu’on ne peut comprendre le juste s’il ne nous a pas été appris. Il a des personnes qui peut connaitre le juste mais ils ne vont pas le comprendre. « Souvent je t’entendais, enfant, en cours ou ailleurs et quand tu jouais aux osselets ou a quelque autre jeu ; tu ne doutais pas des choses justes et injustes, au contraire tu parlais très fort au sujet de n’importe lequel de tes camarades que tu considérais méchant ou injuste et dont tu disais qu’il te faisait du tort. »  Socrate explique qu’Alcibiade ne porte pas attention à se qui est juste, mais seulement se qui est injuste. Comme par exemple, la mort nous apparait injuste. Il a plein de phénomène dans nos vies qui semble injuste et qui dépasse évidement le sens qu’on trouve juste. Il y a peu de chose au quotidien qui nous semble remarquable au point de nous inspirer par rapport au juste. Nous avons besoin de trouver du juste sinon nous serons désespérés. Autour de nous il y a trop de chose injuste qui brise nos illusions qui nous traumatise. Il y a une différence notoire entre les phénomènes du juste et injuste avec des sortes d’inégalités, et pourtant nous avons besoins du modèle du juste. Même si en général nous nous tournons vers le modèle du sage. Au début du texte, Socrate demande à Alcibiade s’il faut choisir la guerre ou la paix pour la cité. L’évidence du choix de paix n’est absolument pas un choix de l’époque antique. Athènes a été construit en permanence au fil des guerres qui pouvait durer plusieurs années. Lorsque Socrate propose la paix il provoque une certaine résolution de perspective pour la construction du lien social. La valeur de paix serait la première valeur grande valeur étique capable d’approcher le juste et l’injuste. L’argument de Socrate consiste à dire que la paix transforme la vie collective mais aussi la vie individuelle. La population serait plus des guerriers mais des individus qui seront réfléchir sur le juste et l’injuste.

Interprétation : La différence entre le juste et l’injuste intervient au moment où Socrate se demande quelle serait les valeurs les plus aptes à discipliner et à gouverner la cité. Il serait pour nous aujourd’hui un anti moderne parce que si l’on se retrouvait dans une perspective purement matérialisme et capitalisme, une telle société serait pour Socrate totalement rejeté. Au profil de rejeter la société de consommation, il faut une société qui vise le comportement fondamental des individus. Ce comportement est éthique, ce qui relève des valeurs essentiel et spirituel des individus. Éthique est justement ce qui doit accompagner à la transformation spirituelle des individus. « Certains hommes ne se connaissent pas eux-mêmes mais connaissent les choses qui leur sont propres, quand d’autres encore connaissent les choses qui se rapportent à celles qui leurs sont propres. Car il semble que toutes ces connaissances de soi-même, de ce qui nous est propres et de ce qui nous est propres soient le fait d’une seule même technique. » (p.184). Si les hommes ignorent les choses qui sont propres pour les autres, il ignore les choses propres pour la cité. Alors un homme parfait pour la cité est un homme qui se connait et qui c’est ce qui est propre pour lui et les autres. « Se connaitre soi-même, c’est donc ce que nous sommes contenus d’appeler tempérance? » (p.183). « Et sans cette connaissance de nous-mêmes, sans cette tempérance, pourrions-nous savoir ce qui est à nous, ce qui est bon comme qui est mauvais. » (p.183). Socrate dit qu’il faut se connaître pour comprendre se qui est juste et injuste. Il faut se tempérer pour se comprendre et comprendre les autres. La perspective du juste et de l’injuste est hautement transformatif spirituelle pour l’être humain. Si un homme ne possède pas l’excellence, mieux vaut pour un enfant mais aussi pour un homme d’obéir à un meilleur que soi que de commander. Le meilleur est plus beau alors le plus beau convient mieux. Alors l’excellence est un homme libre qui sait le propre. L’excellence est de bien savoir ce qu’est le juste et l’injuste pour une cité. Il faut se connaitre pour être propre et il faut être propre pour être excellent.

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