Beccaria

valeur les nombreuses erreurs passées et le combat difficile qui va devoir être mené. La vérité vient en opposition à la noirceur, à la nuit. Les erreurs passées sont soulignées dans ce texte par de nombreux procédés littéraires. Tout d’abord par des termes dépréciatifs ou symboliques tels que « sacrifices humains », « nuit », ou la négation présente. La comparaison présente : « l’histoire de l’humanité est comme un immense océan d’erreurs (…) » permet d’introduire les erreurs passées en opposition avec la vérité. La question rhétorique permet une adresse directe au lecteur et donc de l’impliquer. Beccaria souhaite réveiller l’esprit critique de son lecteur et met en avant le pouvoir et la force du nombre, en effet si « presque toutes les nations ont pratiqué les sacrifices humains » alors presque toutes pourront modifier les choses et ainsi voir la vérité. L’océan d’erreurs n’est pas une fatalité.

c) Un combat commun à tous

Beccaria se bat dans ce traité afin de réveiller son lecteur mais également ses pairs les philosophes, mais également les monarques. Tous les hommes sont concernés et doivent lutter contre la peine de mort. La référence biblique « Heureux le genre humain » à la ligne 22 affirme cette hypothèse.

II- Un combat mené en lien avec les monarques.

a) L’importance d’être un monarque avant-gardiste

b) Un rôle nécessaire

c) Un pouvoir renforcé

Conclusion

Ouverture sur le discours de Badinter en 1981.