Biographie Léonard De Vinci
Mémoire : Biographie Léonard De Vinci. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresrojets techniques et militaires. Il améliore les horloges, le métier à tisser, les grues et de nombreux autres outils. Il étudie aussi l’urbanisme et propose des plans de cités idéales. Il s'intéresse à l'aménagement hydraulique et un document de 1498 le cite comme ingénieur et chargé de travaux sur les fleuves et les canaux.
Il crée une académie portant son nom où il enseigne pendant quelques années son savoir tout en notant ses recherches dans de petits traités.
La fresque La Cène (1494-1498) est peinte pour le couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie.
Le 18 octobre 1503, il retourne à Florence où il remplit les fonctions d'architecte et d'ingénieur hydraulicien.
En 1504, il revient travailler à Milan.
La même année, Vinci réalise des études anatomiques et tente de classer ses innombrables notes. Léonard commence à travailler sur La Joconde , qui est habituellement considérée comme un portrait de Mona Lisa del Giocondo, née Lisa Maria Gherardini et qui reste aujourd'hui son oeuvre la plus connue.
En décembre 1515, le roi de France François Ier charge Léonard de concevoir un lion mécanique, et un an plus tard, Léonard part s'installer en France. François Ier est fasciné par Léonard de Vinci et le considère comme un père pour lui ; il l'installe au Clos-Lucé, la demeure de l'époque du roi, en tant que " premier peintre, premier ingénieur et premier architecte du roi " .
Le 2 mai 1519, après de longs mois de maladie, Leonardo Da Vinci meurt au Clos-Lucé, à 67 ans. La légende dit qu'il s'éteignit dans les bras du roi.
Léonard de Vinci est toujours considéré comme le symbole de la Renaissance, génie universel et polyvalent et aussi comme un des plus grands peintres de tous les temps, ayant marqué à jamais le domaine de l'art et de l'invention, ayant été le précurseur du parachute, du deltaplane, de l'hélicoptère et du char d'assaut.
Oeuvres principales
Léonard de Vinci ne peignit qu'une quinzaine de tableaux à cause de ses expérimentations constantes et souvent vouées à l'échec, et à sa manie de tout reporter au lendemain ; néanmoins, chacune de ses oeuvres fut reconnue dans toute l'Italie voire même l'Europe. Voici la liste de ses oeuvres :
La Joconde (entre 1503 et 1504 puis entre 1510 et 1515), portrait à l'huile sur bois, oeuvre la plus connue.
L'Annonciation (entre 1472 et 1475) Première peinture
Paysage de la vallée de l'Arno (1473) Premier dessin
Ginevra de' Benci (vers 1476)
La Madone à l'œillet (entre 1478 et 1480) – sa toute première commande
Madonna Benois (entre 1478 et 1482)
La Vierge aux rochers (entre 1483 et 1484)
La Dame à l'hermine (vers 1485)
La Belle Ferronière (entre 1490 et 1496)
La Cène (entre 1495 et 1498), fresque
La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean Baptiste (entre 1495 et 1499 puis entre 1506 et 1508)
La Vierge aux rochers (entre 1505 et 1508 selon les estimations)
La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne (1502-1513)
La bataille d'Anghiari (1504-1506)
Saint Jean Baptiste (entre 1513 et 1516)
L'homme de Vitruve (1492) Illustration d'un ouvrage de Vitruve
Autoportrait (entre 1512 et 1515)
Analyse d'oeuvre
La Dame à l'Hermine
Huile sur bois de noyer, 54 x 39 cm (peint entre 1488 et 1490)
Au premier plan, nous apercevons une hermine, dans les bras d'une femme au second plan et l'arrière plan est un fond sombre, entre marron et noir.
Ce tableau est donc un portrait, de style Renaissance, où le dessin prime sur la couleur. La source de lumière vient de la droite, horizontalement, éclairant la partie droite du fond, le visage de la femme et de l'hermine.
Le visage de la femme nous fait face, et elle est tournée vers notre gauche, mais elle regarde la source de lumière, vers notre droite.
Ses cheveux sont attachés en tresse derrière sa tête, mais aussi lissés et aplatis jusque sous son menton.
Ses sourcils se rejoignent au même niveau qu'au dessus de ses yeux, de manière à être parallèles à son serre-tête. Elle possède un petit sourire en coin, comme si elle voyait arriver une personne qu'elle attendait ou que l'on lui parle.
Elle caresse très gracieusement l'hermine, d'un geste assez souple, du bout des doigts, comme pour ne pas abîmer la pureté de l'animal. Elle a le teint orangé, créant un beau contraste avec le fond et sa robe, aux manches rouges vif à notre droite, parce qu'éclairé, et pourpre à gauche, dans l'ombre.
Analyse d'oeuvre
L'Annonciation
huile
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