Types

te le recours à des soins médicaux et paramédicaux réguliers et à l’utilisation de méthodes orthopédagogiques. Les handicapés physiques qui possèdent une intelligence normale peuvent fréquenter l’enseignement ordinaire moyennant des aménagements et un soutien nécessaires.

* Le Type 5 : est ouvert aux enfants malades, hébergés soit en institution de cure de longue durée (Type 5A), soit en hôpital pour des séjours plus brefs (Type 5B), mais risquant de provoquer des retards préjudiciables dans leur scolarité. Les programmes d’études doivent évidemment rester étroitement liés aux exigences de l’enseignement d’où vient et où doit retourner l’enfant. Cependant, certaines affections graves imposant des traitement de longue durée exigent ne pédagogie appropriée.

* Le Type 6 : est réservé aux déficients de la vue (cécité totale ou troubles de la vision sérieux mais plus limités). Des handicaps associés peuvent se manifester sur les plans intellectuels ou affectifs. Le degré de gravité du handicap visuel et l’éventualité des troubles associés déterminent les objectifs prioritaires de la pédagogie. L’itinéraire scolaire sera conditionné par le degré d’autonomie atteint et, bien entendu, par les possibilités intellectuels.

* Le Type 7 : englobe les déficients de l’ouie, atteints à des degrés divers dans leurs possibilités de communication langagière. Selon le degré du handicap auditif, il est primordial de stimuler et exploiter les restes auditifs dès le premier âge et il importe également d’instaurer un système de communication compensatoire permettant les associations et la structuration mentale.

Pour ces enfants, les possibilités d’avenir scolaire iront au niveau secondaire, de l’adaptation sociale à une formation ordinaire complète.

* Le Type 8 : concerne les enfants souffrants de difficultés dans les apprentissages fondamentaux par suite de troubles des instruments cognitifs indispensables : dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyscalculie en sont les principales manifestations. Ce type n’est organisé ni au maternel ni au secondaire.

Les formes d’enseignement secondaire :

L’enseignement spécialisé secondaire se structure (en plus des différents types) selon quatre formes qui répondent au divers niveaux d’intégration socioprofessionnels accessibles à chaque adolescent.

1. La Forme 1 dite d’adaptation sociale, s’adresse aux jeunes les plus handicapés qui n’assumeront qu’une autonomie relative dans un milieu de vie protégé. Un maximum d’autonomie et de communication doit leur être assuré dans ce but.

2. La Forme 2 : dite d’adaptation sociale et professionnelle, accueille les jeunes à handicaps modérés qui accéderont à une efficacité limitée, dans un milieu de travail protégé.

3. La Forme 3 : est un enseignement spécial secondaire professionnel ; les jeunes qui le fréquentent accèdent à de métiers et à une insertion dans un milieu de travail normal.

4. La Forme 4 : est un enseignement de transition et de qualification ; il adopte les programmes de l’enseignement secondaire ordinaire général, artistique, technique et professionnel. Il ouvre aux adolescents qui peuvent y accéder, des possibilités d’études post-secondaires.

Rapport personnel d’observation participante dans le spécialisé, avec une classe du niveau type 1 forme 3 phase 2

Que signifie phase 2 ?

Tout simplement, lorsque nous parlons de phase, cela équivaut au « degré » dans l’enseignement secondaire ( technique, générale, professionnel ), c’est-à-dire :

Dans le spécialisé nous avons 3 phases :

* 1ère phase (1er degré) : secteur - construction , industrie

* 2ème phase (2ème degré) : groupe-construction, gros œuvre, équipement du bâtiment

* 3ème phase (3ème degré) : métier,