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Lkqhcvpoqsihcolp

Note de Recherches : Lkqhcvpoqsihcolp. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires
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, XVI°, est la + utilisée. Présente l’intérêt de pouvoir être centrée sur n’importe quel méridien, ce qui permet de placer, au gré des besoins, les Amériques, l’ Europe, l’Asie…au centre de la carte. Elle a cependant le défaut d’accroitre progressivement les surfaces vers les pôles et de surreprésenter les régions les + riches du monde, compte tenu de leur localisation.

-ds les an 50, celle imaginée par le géographe allemand Arno Peters tente de rendre leur importance aux pays faiblement développés et entend présenter l'’exactitude des rapports de surface. Très diffusée au sein des assos tiers-mondistes pendant an 70. Elle n'apparaît pas aux yeux d’Yves Lacoste comme aussi objective qu’on le prétend. Celui-ci explique qu’il y a un fort contenu idéologique. Il rappelle que la seule représentation c’est celle du globe.

-Projections créées an 50 par le cartographe français Jacques Bertin, notamment celle à « compensation régionale » de 1953 qui présente la + faible distorsion au pôle Nord et se trouve très adaptée à l’illustration de la situation de la guerre froide.

-Celle de l’américain Richard Fuller, répondant à des besoins spécifiques, qui présente continents dans une position mettant en valeur leur proximité, très adaptée pour illustrer les gds flux mondiaux.

III) Documents géographiques du quotidien

Les plans de réseaux de transport urbain

Des docs représentatifs de l’organisation urbaine.Existent depuis milieu XIX°, époque où les villes se sont dotées de systèmes de transp public. Pour faciliter la lecture, l’échelle n’est pas respectée. Les distances entre des stations qui ne sont en rien équidistantes dans la réalité, peuvent être égalisées sur le plan. Dans les centres urbains, où lignes et stations sont denses, le réseau est dilaté. Inverse en périphérie. La simplification extrême des plans peut malgré tout poser des pbs de lisibilité, notamment lorsque plusieurs lignes se côtoient ou ne se distinguent pas.

Les plans de transp sont si utlisés qu’ils participent à la prod d’une représentation commune de l’espace.

L’étude d’un plan de transp urb ne nécessite pas de connaître la ville. Lors d’une analyse, considérer l’organisation et la complexité du réseau pour comprendre les distorsions possibles avec la réalité, étudier également la centralité.

Les cartes routières

L’échelle de ces cartes extrêmement variable, va le + souvent du 1/200.000.000 pour des cartes représentant un pays comme la France ds sa totalité, au 1/10000 pour des cartes concernant de petites régions et indiquant le moindre chemin rural.

Les cartes routières modernes datent de la fin XIX°. Sont liées à l’intro du vélo.

>des docs riches mais difficiles à interpréter. Très riches en infos, tant physiques que sociales, ces cartes se prêtent malaisément à une approche approfondie des territs. Permettent seulement d’en appréhender les caractères majeurs. Il est facile de saisir les gdes structures du relief. Les principaux traits de l’usage des sols sont aisément observables, tout particulièrement la différenciation entre espaces boisés, dominés par agriculture ou désertiques…Les esp urb sont particulièrement mis en valeur et la hiérarchie des villes est de compréhension aisée. Voies de com (routières, mais aussi ferrées, fluviales) sont détaillées et hiérarchisées.

Les infos pertinentes pour 1 véritable analyse de l’organisation des territs manquent toutefois. Après avoir examiné la légende et localisé le territ concerné ds pays où se situe, la 1° démarche consiste à déf quels st les caractères physiques majeurs et els usages dominants de cet esp. Ensuite, faut s’attacher à décrire les gdes structures spatiales. Enfin, il est possible de s’intéresser aux caractères particuliers de certains lieux, villes, villages ou petites régions, qui se révèlent importants soit par leur rôle manifeste de pôle soit par leur spécificité.

Cartes et représentations territoriales dans les médias

De + en + nombreuses, situation relativement nouvelle. Au début du XX°, des cartes étaient régulièrement publiées. Elles n’étaient toutefois composées que de traits grossiers. Il faut attendre an 60 et arrivée de procédés d’imprimerie permettant publications en couleur à bas prix pour voir des cartes de belle facture ds mags. Belles cartes n’apparaissent que depuis 20a.

Dév CAO (cartog assistée par ordi). multiplication docs géo ds presse.

>Des cartes à la lecture malaisée :la lecture d’une carte est un savoir faire peu répandu. Aggravé par la faible qualité de nombreux docs géog, voire avec erreurs. Il arrive ainsi que certaines infos soient oubliées, comme la localisation d’une ville, ou que certains tracés soient confondus.

>Des docs méritant une gde attention. Au-delà des infos brutes apportées, elles défendent les idées des auteurs. L’analyse de telles cartes ne doit pas être entreprise sans une connaissance minimale du journal. L’important reste la déf du lien entre la carte et l’article qu’il illustre. Il faut comprendre l’apport du doc cartog au sujet de l’article. Il faut ensuite avoir une vision critique en s’intéressant aux sources utiliséees et aux modes d’expression graphiques choisis.

Souvent le titre de la carte ne correspond pas au contenu. Références des sources parfois peu explicites.

2 choses à faire donc : analyser la carte en elle-même, et son adéquation avec l’article qu’elle illustre.

Les photographies de paysage

Long désintérêt des géographes pour photo. Fin XIX°, lorsqu’apparaît la géo universitaire, la photo est un art, une affaire d’artiste ou de journaliste. La photo paysagère est devenue un genre en soi. De façon surprenante, les géographes de cette période qui s’intéressent au paysage ne cherchent pas dans la photo. Tout au + la photo sera utilisée pour illustrer les publications géo. Le + souvent, lorsqu’elle intéresse les géographes, la photo est aérienne et contribue à la cartog.

Faut attendre début an 1980 pour que photo devienne objet de réflexion. Appareil num an 90= nvelle étape ds usage des photos par géographes.

Les photos paysagères doivent être abordées selon une méthode peu éloignée de celle de la carte. Le max d’infos sur les conditions de réalisations de la photo et sur le territoire concerné doit être tiré de l’étude attentive du titre. La localisation de la photo et la date de prise de vue sont des indications essentielles. Leur absence fait perdre l’intérêt du doc. Il faut déterminer le type de prise de vue, généralement au sol. Il peut s’agir aussi d’une vue aérienne oblique, prise d’un point élevé, ou d’avion.

L’analyse du paysage : identifier éléments naturels, humains, les combinaisons des deux (ex pentes aménagées en terrasses). Voir si ces éléments composent des unités. Concernant les éléments humains, il faut saisir leur ancienneté. En mobilisant son savoir, il faut comprendre le fonctionnement de ce territ, imaginer les forces qui confèrent leur dynamisme, envisager la manière dont cette fraction d’espace s’insère dans un espace + vaste.

L’étape suivante est + complexe. Consiste à déchiffrer les symboles présents ds l’image. Ils lui confèrent pouvoir de participer à construction d’une représentation de l’espace et de développer un imaginaire, très important dans nos sociétés mondialisées.

IV) Cartes et documents scientifiques

Les cartes topographiques

Déf du comité français de cartog : la représentation exacte et détaillée de la surface de la terre concernant position, forme, dimensions et identification des accidents du terrain ainsi que des objets concrets qui s’y trouvent en permanence.

Il y a qq décennies encore, cette carte de base était produite à partir de levées de terrain. Aujourd’hui élaborées à partir de photos aériennes.

Cartes au 1 /50000 : fin commercialisation est prévue

En France, c’est sous Louis XIV que Colbert engagea l’élaboration d’une couverture cartog précise du royaume> volonté d’unification et de centralisation admn. Territ frcs cartographié ds son ens au cours du 2° XVII°. Ces docs, ancêtres des séries de cartes topo d’auj sont dénommés « cartes de cassini », du nom de la famille d’astronomes et de géodésiens français d’origine italienne qui a joué un gd rôle ds la réalisation de cette vaste tâche. Ces cartes ont été réalisées à éch 1/86400. Collection se trouve à l’Institut géo de Paris. Une 2° opé de couverture cartog est entreprise à partir de 1817 jusqu’en 1870. Il s’agit des cartes d’état-major, dont certaines resteront en usage jusqu’en 1952.>cartes en hachures au 1/80000.

1887 : création Service géog de l’Armée.

Fin XIX°= mise en service d’une carte au 1/50000, av courbes de niveau, dont il existera plusieurs types. Les

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