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Dossier Art Appliqué

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ent des grands mythes inspirés des classiques de la littérature de l'étrange (Docteur Jeckyll et Mister Hyde, Stevenson, 1913 ; Metropolis, Fritz Land, 1931). Le genre va connaître un essor considérable avec le parlant. En 1931, deux films marquent le cinéma fantastique et se révéleront productifs jusqu'à l'époque contemporaine à travers des séries de suite et de remakes (Dracula, Tod Browning, 1931 ; Frankenstein, James Whale, 1931). Plus tard malgré les contraintes de la censure (le Code Hays est destiné à sauvegarder la moralité du cinéma entre 1930 et 1966), les écrans américains voient déferler des films comme L'île du docteur Moreau, E. C. Kenton, 1932 et Freaks ou la monstrueuse parade, Tod Browning, 1932.

En 1940-1945, le cinéma français essaye d'oublier la guerre à travers des œuvres d'évasions. Aux États-Unis en 1957, on remarque un engouement pour des films fantastiques d'un autre genre. On délaisse les savants farfelus pour les vampires et autres monstres. Le cinéma fantastique va évoluer de plus en plus nettement vers un cinéma satanique. En 1968, les spectateurs américains allaient découvrir que l'épouvante pouvait naître dans le cinéma fantastique et dans des décors banals et ordinaires : Rosemary's baby de Polanski (1968). Le cinéma fantastique est alors dévalué, on se moque du Comte Dracula, des loups garous et de Frankenstein. Le genre se nourrit désormais des angoisses psychologiques et des phénomènes de la folie. La possession diabolique prend un nouvel élan avec L'exorciste (William Friedkin, 1973). Les angoisses sont aussi provoquées par le sentiment que la création scientifique et technique commence à s'affranchir de l'homme. (La mouche, D.Cronenberg, 1986) On voit aussi apparaître un cinéma plus violent avec La nuit du chasseur (Charles Laughton, 1955), Psychose (Alfred Hitchcock, 1960). Le cinéma fantastique se rapproche des films d'horreur. La frontière entre les genres peut parfois sembler floue, mais certains films s'inspirent à la fois des uns et des autres. A force d'inventer des effets spéciaux de plus en plus performants et élaborés, les films sanglants (gore) ont atteint un réalisme stupéfiant dans le rendu des scènes à effets. (Vidéodrome, de Cronenberg).

Justification de votre choix :

J'ai choisie ce thème, parce que, après le lycée je voudrais travailler dans le domaine du cinéma, et comme, grâce au fantastique, nous pouvons aller au-delà de l'irréel. Cela m'inspire, j'ai toujours aimé regarder des films fantastique, voyager grâce à ces films. J'ai toujours était dans les nuages rêver de chose improbable. Donc pour moi le cinéma fantastique et un bon moyen pour rêver, voyager.

Transformers

Michael Bay

2007

The Avengers

Joss Whedon

2012

Avatar

James Cameron

2009

Dark Shadows

Tim burton

2012

Dracula,

Tod Browning

1931

Frankenstein,

James Whale

1931

Le cabinet des figures de cires,

Paul Leni

1924

Le cabinet du Docteur Caligari, Robert Wiene 1919

Le storyboard

Définition officielle du StoryBoard

(Fédération Nationale des Storyboardeurs Français) « Le Story-board est une mise en image du scénario sous forme de vignettes illustrées » ou « scénarimage »

(USA) « Illustrated screenplay » ou littéralement « tableau-histoire »

Un story-board, scénarimage en français, est la représentation illustrée d'un film avant sa réalisation. Il s'agit d'un document technique généralement utilisé au cinéma en préproduction afin de planifier l'ensemble des plans qui constitueront le film.On y décrit l'ensemble des paramètres cinématographiques (cadrages, mouvements de caméra et de personnages, raccords, etc.) avec la plus grande exactitude possible, afin de visualiser et planifier le tournage du film. Il est très pratique car il améliore la circulation des informations entre les équipes de tournage, et constitue donc un outil de référence lors de la production du film.Les dessinateurs chargés d'illustrer chaque plan du découpage d'un scénario sont les storyboardeurs ou les scénarimagistes.

StoryBoard & film d’animation

En réalité, nous devons l’émergence du Story-board dans sa conception moderne au cinéma d’animation.La prise de vue image par image a été mise au point par l’anglo-américain James Stuart Blackton en 1906. Le père de l’animation est le dessinateur et scénariste américain Winsor Mc Cay avec en 1911 le tournage d’un premier 12 min inspiré de sa bande dessinée Little Nemo in Slumberland puis Gertie le Dinosaure en 1914.En 1919-20 aux USA apparaissent de petits dessins animés muets, les studios Fleisher produisent Betty Boop, Pat Sullivan présente FelixEn 1928, Walt Disney produit également des court-métrages dont la vedette est Mickey Mouse; il dominera bientôt ce nouvel art… En 1930, les studios Disney font appel à une équipe de scénaristes pour développer leurs récits; pour s’y retrouver parmi les centaines de dessins préparatoires, un scénariste nommé Webb Smith a l’idée de punaiser tous les dessins d’une même séquence sur un tableau afin de les organiser : le SB moderne est né.En 1933 sort le premier dessin animé conçu avec cette méthode, Les Trois Petits Cochons, bientôt suivi par Blanche Neige en 1938.

Modèle américain / Bande dessinée

Ce modèle s'utilise plus particulièrement aux États-Unis. Il se compose simplement d'une série de dessins représentant chacun un plan, ce qui lui donne l'apparence d'une bande dessinée. Ne contenant que très peu d'informations, ce modèle n'est pas le plus pratique. Toutefois, il suffit généralement à la préparation du tournage et donne une bonne idée des plans à tourner.

Modèle plan par plan

Ce modèle, beaucoup plus complet, comprend généralement une page par plan. Sur chacune de ces pages, on dessine l'image de début et l'image de fin du plan, et, si

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