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Alexandra Le Grand

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utes mes batailles. Le vendeur du nom de Philonicos le vendait à 16 talents, malheureusement quand mon père a su que personne jusqu’ici n’avait pu le dresser, il ne voulût point envisager de le prendre et pensait qu’il était tout simplement fou.

J’étais persuadé du contraire et j’ai vite compris qu’il avait tout simplement peur de son ombre.

Je me suis approché de lui et le mis face au soleil puis, je suis partis en balade sur son dos, la confiance s’est installée entre nous. A notre retour, mon père décida de me l’offrir.

J’étais si triste le jour de sa mort en -326, il n’avait que 30 ans, en son honneur, sur son tombeau, j'ai décidé d’ériger la ville d’Alexandria Bucêphalous.

La deuxième belle rencontre de ma vie était celle avec mon meilleur ami et amant Héphaïstion, fils d’aristocrate et aussi élève de l’école d’Aristote. Il était quelque peu efféminé et il n’y avait qu’avec lui que je pouvais être moi-même.

Lors de mon éducation mon père se battait pour conquérir toute la Grèce. Malheureusement Thébes et Athènes ne se soumettaient pas et le temps passait. Alors que je n’avais que 14 ans, j'étais déjà au poste de général et à 16 ans, j’analysais toutes les batailles de mon père dont il se vantait. Je commençais moi aussi à vouloir avoir ma part de mérite, être reconnu et fier de moi.

J’avais l’impression que mon père me volait un peu de ma part de gloire.

Enfin, ma 1ère bataille c’était celle de Chéronée en aout -338, j’avais 18 ans et je contrôlais la cavalerie. J’ai pu voir la formation militaire Macédonienne, La Phalange sur le chant de bataille, celle-ci ressemblait à un porc-épic si on la regardait de côté et elle était efficace puisqu’elle faisait reculer nos ennemis grâce aux longues lances de 6m pointées vers l’avant.

La bataille était contre les Athéniens et les Thébains aidés de Darius 3 roi des perses. Au début nous n'étions pas très avantagés mais soudainement j’ai trouvé une technique et dirigé la cavalerie plus à l'écart de part et d'autre. De son côté, mon père faisait reculer ses troupes comme si nous nous rendions et nos ennemis le crûrent et s'avancèrent. Alors la cavalerie et moi-même sommes arrivés par derrière, ils ont été encerclés et nous avons gagné. Ensuite nous avons envoyé à Athènes les cendres des Athéniens tués durant la bataille !

Mon père a été assassiné en -340 par Pausanias qui n’avait que 14ans. il était un de mes meilleurs amis et le favori de mon père jusqu'au jour où il a été remplacé par un autre. Fou de jalousie, il lui a fait des coups d’épingle pour récupérer son ancienne place. Pour le punir de son audace, mon père l’a donné en pâture à ses soldats qui le violèrent.

Après, il est venu s’en plaindre à moi et je lui ai conseillé de ne plus fréquenter mon père et d’arrêter d’embêter le nouveau favori pour éviter tout problème. Comme il n’a pas reçu la réponse qu'il souhaitait entendre, il s’est confié à Olympia qui lui a donné de l’alcool pour mieux le manipuler. Son but était ce qu’elle voulait depuis toujours me mettre sur le trône.

Elle lui proposa donc le plan de tuer Philippe2 mais comme j’ai surpris la conversation, je m'y suis opposé et je les ai menacés car je ne voulais pas voler la place de mon père sur le trône en le tuant.

Malheureusement Pausanias était tellement saoul qu’il n’a pas tenu compte de mes avertissements. Le lendemain durant une cérémonie, il s’est mêlé à la foule pour assassiner mon père avec un poignard, pour ensuite, s’enfuir lâchement en le laissant à l’agonie. Mais comme j’étais le seul extérieur au complot tout en connaissant celui-ci, je suis partis à sa poursuite et l’ai tué pour venger l’honneur de mon père. J’ai déclaré les choses publiquement pour avoir la succession au trône.

À 20 ans, je reprends le flambeau et je suis proclamé roi commandant en chef des forces grecques. Mais avant les Grecs voulaient profiter de ma jeunesse pour s’affranchir de la tutelle macédonienne, je n’ai pas perdu de temps à infirmer mon autorité. Au finale j’ai été assez peu présent comme souverain dans mon royaume. J’ai décidé de continuer une offensive majeure initiée par mon père, la conquête de l’Asie et faire tomber le plus grand souverain au monde le roi Darius 3.

Avant de partir ma mère m’a confié un secret, celui que j’étais le fils de Zeus et non de celui que j’avais appelé père durant ces 20 années. J’en étais et j’en suis toujours convaincu.

Pour traverser l’Asie, je suis parti avec une flotte de 40 milles hommes et je suis passé par l’Helliston. Darius était au courant de notre arrivée sur ses terres et a fait envoyer à sa place des mercenaires grecs commandés par le général Mennon, car pour lui je n’étais qu’un simple arriviste.

Son armée a choisi un terrain de bataille qui jouait en sa faveur et qui était le fleuve du Granique. Pour cette bataille, j’avais à mes côtés Parménions mon général, Héphaïstion et Callisthène, neveux d’Aristote et mon historien privé. Nous étions prêt à franchir le fleuve jusqu’à ce qu’on me dise que cela était trop risqué mais au finale j’ai pris le risque et je les ai attaqué sur le front perses. Ils étaient 20 milles à la cavalerie et 20 milles autres fantassins et mercenaires grecs pour la plupart. J’ai repris la stratégie apprise auprès de mon père et une fois la rive opposée atteinte, j’ai mené la charge avec la cavalerie. Vers la fin, coincé par celle-ci et les phalanges, les perses se sont retirés et je les ai vaincu en les tuant. Cependant Mennon avait survécu et fit son rapport à Darrius.

J’ai poursuivi et je me suis arrêté par Gordium qui opposa peu de résistance face à l’armée Macédonienne, et les portes de la ville me furent grandes ouvertes. Je connaissais bien les légendes locales et il y avait une qui racontait que si on arrivait à défaire le nœud dont les deux extrémités étaient invisibles du chariot à bœuf de Gordion, on devenait le souverain d’Asie. Je me suis dis peu importe comment le défaire alors j’ai dégainé mon épée et je les ai tranchés jusqu’à trouver les 2 bouts de corde pour le défaire.

Mon voyage continua et m’amena à Issus en -333. Cela marqua un grand tournant dans ma vie et Darius m’attendait avec une armée de 60 milles hommes, de plus, il manœuvra pour nous prendre par surprise ce qui nous força à rebrousser chemin. Lors de la bataille mes hommes du milieu étaient encerclés et combattaient au corps à corps. Au final le terrain était inefficace pour les phalanges, cela nous désorganisait et les grecs en profitaient. La seule chance était celle de la cavalerie dont j’étais à la tête et je fonçais sur Darius qui était sur son char, il s’enfuit quand son garde royal mourra et le front perse se replia.

À la fin de cette bataille j’ai appris que sa femme et ses deux filles célibataires étaient parmi les prisonniers, celles-ci pensaient que Darius était mort et je leur ai fait savoir que ce n’était pas le cas et qu’on leur fournirait tout ce dont elles avaient l'habitude d'avoir, comme quand Darius était encore là.

Ce que je souhaitais c’était me présenter comme le nouveau roi des perses cependant Darius me demanda d’accepter de relâcher les prisonniers perses mais je n’acceptais point car pour récupérer sa place il devait se battre pour la regagner.

Je suis reparti pour avoir la ville de Tyr sous mon contrôle à cause de sa situation stratégique. Elle se trouvait sur le continent à 800m de la côte, une ville imprenable avec des fortifications massives. Je voulais faire croire au Tyrien que je voulais faire un sacrifice au temple d’Eraclese pourtant ils ont compris ma ruse et m'en refusèrent l’accès. J’ai menacé de m’emparer de l’île en construisant une digue de 800m pour l’atteindre, je leur ai donné une dernière chance. Suite à un siège de 7 mois, j’ai réussi ce que la plupart pensait impossible la conquête de île fortifié de Tyr en construisant 2 digues de 800m malgré la résistance des Tyriens, je suis finalement parvenu à m'emparer d'eux.

J’ai poursuivi mes objectifs : rechercher Darius et soumettre la perse mais d’abord je voulais savoir quelque chose d’encore plus personnelle, la preuve que non seulement j'étais un homme mais également un dieu.

J’ai entrainé mon armée en Egypte, où les Egyptiens étaient sous ma domination, on me conféra le titre de pharaon, selon la tradition on me fit non seulement roi mais aussi en fils de Ré c’est à dire un Dieu. C’est ici que j’ai souhaité fonder le port d’Alexandrie.

Par la suite en -331 j’ai fait une visite au temple du dieu Amon dans l’oasis de Siwali et durant 6 semaines j’ai traversé le Sahara pour m’y rendre accompagné de certains de mes hommes. Lors du voyage, j’ai failli mourir car nous n'avions plus d'eau et par chance une averse soudaine est arrivée à temps pour nous sauver. Je suis dis à cette instant là que les dieux attendaient ma venue. Arrivé au temple je me suis avancé seul pour aller poser mes trois questions à l’Oracle. La première était : vais-je conquérir le monde ? La deuxième, tout les

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