Les Sens Ne Sont-Ils Pas Suffisants Pour Nous Fournir Toutes Nos Connaissances ?

s, le premier rapport que l'homme à au monde semble bien être sensitif, en effet, cette période qui paraît décisive dans la construction d'un nourrisson est exclusivement sensitive, le rapport au monde qu'il entreprend ne se fait que par le toucher, le goût, l'odorat, la vue et l'ouïe. De cette manière on peut affirmer que les sens sont décisif dans la construction de l'homme donc dans la construction de ces connaissances. On pourrait alors parlé de connaissances sociales et humaines, l'imprégnation dans un milieu, cette expérience est fondamentalement sensible.

Par ailleurs, dans le domaines des sciences, pour appuyer un théorème il faut une preuve par expérience sensible, de ce fait lorsque l'on nous apporte un théorème – par exemple en chimie -, celle ci est toujours accompagner d'un démonstration, qui nous prouve que le discours énoncer lors du théorème est vrai, sans cela la thèse énoncé ne pourrait être prise pour vrai, c'est alors encore une fois une preuve que sans les sens aucunes acquisitions de connaissances n'est possible ( Voyez Newton, qui si il n'avait pas pris une pomme sur le haut du crâne n'aurait jamais découvert la loi de la gravitation universelle).

Seulement, n'y a t-il pas un domaine scientifique dans lequel aucunes démonstration sensibles n'est possible et qui reste pourtant une science exact ? Les mathématiques le sont ! En effet, aucune expérience sensible des mathématiques n'est possible, bien qu’applicable dans la vie commune, les mathématique reste une science qui n'est défini dans aucun espace sensible, ces représentations ne sont pas physiquement faisable, en effet on ne peut représenter l'infiniment grand, l'infiniment petit. Pour ce qui est des figures géométriques que l'on est capable d'établir, elles émanent des mathématiques, ce n'est pas les sens qui ont menés aux mathématiques mais bien les mathématiques qui ont menés aux sens, c'est à dire à la représentations sensible de cette science.

Non seulement la connaissance par ouïe dire, semble bien plus rapide que l’expérience sensible. Si nous devions apprendre tout ce que nous avons appris depuis la naissance sensiblement, nous aurions une connaissance beaucoup plus limité que celle que l'on peut acquérir dans une vie par ouïe dire et par lecture. Mais les sens nous fournissent une partie de nos connaissances certes, mais ces mêmes sens nous permettent-ils de garder ces connaissances en nous ou faut il des fonctions de l’esprit pour nous permettre une tel mémorisation. Nous sommes en quelques sorte une banque de données, nous pouvons dans la vie de tout les jours se rendre compte que l'on a besoin des fonctions de l'esprit pour emplir cette banque de données, en effet en l’absence de notre cerveau nous ne pourrions même pas distinguer les différentes informations dont on fait acquisition sensiblement ou non.

C'est grâce à la possibilité de distinction de notre esprit que l'on peut noter les différences entre deux objets d'une même famille. C'est le cas lorsque l'on fait l’expérience sensible de quelque chose, ainsi lorsque l'on voit un lys et une rose on peut les appelé ainsi parce que le discours que l'on nous a donner donner nous permet de distinguer ( séparer par l'analyse une chose d'une autre) ces deux fleurs.

En revanche, l’acquisition de connaissances que l'on fait pas ouïe dire, par témoignage, infère une dimension de confiance – sauf dans le domaine de l'amour ou de la religion – ainsi la connaissance acquise peut être prise pour vrai ou non, c'est pourquoi il faut dans certains domaines apporter des preuves sensibles à fin que le discours tenu par autrui puisse être contingent . Seulement parfois aucune preuves sensibles ne peut être apporter ce qui peut mettre le destinataire dans une situation délicate, en effet soit il fait confiance à son interlocuteur et risque d'acquérir des connaissances erronées, ou il ne lui fait pas confiance et risque de ne pas obtenir des connaissances exactes.

Lorsque l'on fait une expérience sensible, on peut se trouver face à une exactitude des choses, par la facticité que les sens humains peuvent parfois établir. On croit avoir entendu quelque chose, mais nous n'avons rien entendu.

Une expérience sensible des choses peut se faire en allant explorer le monde, seulement on ne reçoit plus les choses sensiblement par pur passivité, en effet

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