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Mein Kumpf

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2 : L'Etat ................................................................................................................................202 3 : Sujets de l'Etat et citoyens ...............................................................................................228 4 : La personnalité et la conception raciste de l'Etat .............................................................230 5 : Conception philosophique et organisation .......................................................................235 6 : Lutte des premiers temps - L'importance de la parole .....................................................240 7 : La lutte contre le front rouge ............................................................................................248 8 : Le fort est plus fort quand il reste seul .............................................................................261 9 : Conséquences sur le sens et l'organisation des sections d'assaut..................................266 10 : Le fédéralisme n'est qu'un masque ................................................................................285 11 : Propagande et organisation ...........................................................................................297 12 :La question corporative ...................................................................................................306 13 : La politique allemande des alliances après la guerre ....................................................311 14 : Orientation vers l'Est ou politique de l'Est ......................................................................330 15 : Le droit de légitime défense ...........................................................................................343 CONCLUSION ..........................................................................................................................354

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Hitler A.

Mon Combat

TOME PREMIER : Bilan

PRÉFACE

Le 1er avril 1924, le Tribunal populaire de Munich ordonnait mon incarcération à Landsberg-am-Lech. Pour la première fois, après des années de travail incessant. J'avais ainsi la possibilité de m'adonner à un ouvrage que beaucoup me pressaient d'écrire et que je sentais moi-même opportun pour notre cause. Je me suis donc décidé dans ces deux volumes1, à exposer non seulement les buts de notre mouvement, mais encore sa genèse. Un tel ouvrage sera plus fécond qu'un traité purement doctrinaire. De plus, j'avais ainsi l'occasion de montrer ma propre formation, pour autant que cela est nécessaire à la compréhension du livre, et que cela peut servir à la destruction de la légende bâtie autour de ma personne par la presse juive. Je ne m'adresse pas ici à des étrangers, mais à ces partisans du mouvement, qui lui sont acquis de cœur et dont l'esprit cherche maintenant une explication plus approfondie. Je n'ignore point que c'est par la parole beaucoup plus que par des livres que l'on gagne les hommes: tous les grands mouvements que l'histoire a enregistrés ont dû beaucoup plus aux orateurs qu'aux écrivains. Il n'en est pas moins vrai qu'une doctrine ne peut sauvegarder son unité et son uniformité que si elle a été fixée par écrit, une fois pour toutes. Ces deux volumes seront les pierres que j'apporte à l'édifice commun. L' AUTEUR. Landsberg-am-Lech. Maison d'arrêt. Le 9 novembre 1923, à midi et demi, devant la Feldherrnhalle et dans la cour de l'ancien Ministère de la Guerre, les hommes dont les noms suivent tombèrent pour leur fidèle croyance en la résurrection de leur peuple: ALFARTH Félix, commerçant, né le 5 juillet 1901. BAURIEDL Andreas, chapelier, né le 4 mai 1879. CASELLA Theodor, employé de banque, né le 8 août 1900. EHRLICH Wilhelm, employé de banque, né le 10 août 1894. FAUST Martin, employé de banque, né le 27 janvier 1901. HECHENBERCER Ant., serrurier, né le 28 septembre 1902. KORNER Oskar, commerçant, né le 4 janvier 1875. KUHN Karl, sommelier, né le 26 juillet 1897. LAFORRE Karl, élève ingénieur, né le 28 octobre 1904. NEUBAUER Kurt, domestique, né le 27 mars 1899. PAPE Claus (von), commerçant, né le 16 août 1904. PFORDTEN Theodor (von der), conseiller au Tribunal régional supérieur, né le 14 mai 1873. RICKMERS ]oh., capitaine de cavalerie, né le 7 mai 1881.

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L'édition française est réunie en un volume.

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Hitler A.

SCHEUBNER-RICHTER Max-Erwin (von), Dr, ingénieur, né le 9 janvier 1884. STRANSKY Lorenz-Ritter (von), ingénieur, né le 14 mars 1899. WOLF Wilhelm, commerçant, né le 19 octobre 1898.

Mon Combat

Les autorités nationales refusèrent, après leur mort, une sépulture commune à ces héros. A leur mémoire commune je dédie le premier volume de cet ouvrage, afin que leur martyre rayonne constamment sur nos partisans. Landsberg-a.-L., Maison d'arrêt, le 16 octobre 1924. Adolf HITLER

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Hitler A.

Mon Combat

1 : La Maison familiale

Une heureuse prédestination m'a fait naître à Braunau-am-Inn, bourgade située précisément à la frontière de ces deux Etats allemands dont la nouvelle fusion nous apparaît comme la tâche essentielle de notre vie, à poursuivre par tous les moyens. L'Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même empire. Le peuple allemand n'aura aucun droit à une activité politique coloniale tant qu'il n'aura pu réunir ses propres fils en un même Etat. Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, s'il s'avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d'acquérir des terres étrangères. La charrue fera alors place à l'épée, et les larmes de la guerre prépareront les moissons du monde futur. C'est ainsi que la situation de ma ville natale m'apparaît comme le symbole d'un grand devoir. Elle a d'autres titres à fixer le souvenir. Ce nid perdu fut, il y a plus d'un siècle, le théâtre d'une poignante tragédie qui demeurera immortelle dans les annales de la nation allemande. C'est là en effet que, lors du plus complet effondrement qu'ait connu notre patrie, un libraire de Nüremberg, Johannes Palm, nationaliste endurci et ennemi des Français, mourut pour cette Allemagne qu'il aimait si ardemment jusque dans son malheur. Il avait obstinément refusé de livrer ses complices, d'ailleurs les principaux responsables. Comme Leo Schlageter l'avait fait. Comme lui aussi, il fut dénoncé à la France par un représentant du Gouvernement. Un directeur de police d'Augsbourg s'acquit cette triste gloire, et donna ainsi l'exemple aux autorités néo-allemandes du Reich de Severing. C'est cette petite ville de l'Inn, auréolée de ce martyre allemand, bavaroise de sang mais politiquement autrichienne que mes parents habitaient vers 1890. Mon père était un consciencieux fonctionnaire ; ma mère vaquait aux soins de son intérieur et entourait ses enfants de soins et d'amour. Cette époque a peu marqué dans mon souvenir, car, quelques années plus tard, mon père alla occuper un nouveau poste un peu plus bas sur le cours de l'Inn, à Passau, donc en Allemagne même. Mais le sort d'un employé des douanes autrichien comportait alors bien des déplacements. Peu de temps après mon père revenait à Linz, et y prenait sa retraite. Pour le cher vieil homme, cela ne devait pas être le repos. Fils d'un pauvre petit journalier agricole, il lui avait déjà fallu naguère quitter la maison. A peine âgé de treize ans, il boucla sa sacoche et quitta le canton de forêt qui était son pays natal. Malgré le conseil de villageois expérimentés, il était parti à Vienne pour y apprendre un métier. Ceci se passait vers 1850. C'était une décision bien amère que celle de partir, de se mettre ainsi en route vers l'inconnu avec trois écus en poche. Quatre ans après, passé compagnon, il n'était cependant pas satisfait. Au contraire. La misère persistante de cette époque fortifia sa résolution de quitter son métier pour devenir quelque chose de « plus haut ». Alors que jadis, pauvre jeune homme, la situation du prêtre de son village lui paraissait le summum de la condition humaine, maintenant que la grande ville avait élargi ses idées, il mettait au-dessus de tout la dignité de fonctionnaire. Avec toute l'âpreté de ceux que la misère et l'affliction ont mûris avant l'âge, ce jeune homme de dix-sept ans poursuivit obstinément la réalisation de ses nouveaux projets - et il devint fonctionnaire. Il atteignit son but vers vingt-trois ans, je crois, réalisant ainsi sa promesse de jeune homme de ne retourner dans son cher village qu'après être devenu quelqu'un. Maintenant, le but était atteint ; mais personne au village ne se souvenait plus du petit garçon de jadis et le village

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