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Objet D'Étude : Le Theatre. Fiche Révisions Oral.

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ine avec tonalité comique + plonge lecteur dans action dramatique (vieille du mariage).

I- Le caractère d'Arnolphe.

1. Un tyran domestique qui recommande l'obscurantisme.

Pour lui: celui qui détient le savoir, détient le pouvoir.

Cherche à épouser une sotte:

* Maintenir femme dans l'obscurantisme: dépend tjrs des autres (sorte d'esclavage).

* Savoir femme: tâches ménagères.

* Tyrannie (prive femme de liberté) caché sous l'Honnêteté: épouse honnête vit que pour gérer le ménage et satisfaire les désirs de son mari.

* Chaste et pudique.

Arnolphe: narcissique à l'extrême.

2. Un homme vaniteux et sur de lui.

Se vante de savoir maitriser l'avenir: se moque des cocus, pense que ça ne lui arrivera pas.

Sur d'avoir raison: anaphore: "je sais" + maximes + présent vérité général.

Vaniteux aime dominer l'autre: Arnolphe sujet des verbes//Agnès complément.

Sureté vis à vis de Chrysalde: lui coup la parole + ironie pleine de condescendance (v.73 et 83).

3. Un caractère monstrueux mise en évidence par Chrysalde.

Chrysalde//Arnolphe:

* Esprit ouvert+ sens mesure+ rôle spectateur+ souple = honnête homme du XVIIème

* Condamne abêtissement/enfermement d'Agnès: importance esprit et beauté.

* Met en évidence folie d'Arnolphe.

II- La peur de devenir cocu et le mépris envers les femmes.

1) La peur de devenir cocu.

Son système: profite des avantages du mariage sans risque de tromperies.

Motif burlesque du cocuage: cornes (V.76 et 80, cite pas tant qu'il en a peur) = honte vis à vis des autres + conséquence ruse féminine.

Champ lexical de tromperie: A. motivé à protéger son front (=symbole respectabilité social).

Se dissocie des cocus: "certaines gens"//"moi"

Vit dans fantasme de l'innocence, considère société pervertie la femme.

2) Mépris à l'égard des femmes.

Il a peur des femmes

Misogyne + antiféministe:

* Ne doit pas sortir de sa condition inférieure par la culture.

* L'enfermer religieusement dans la maison.

* La culpabilise et empêche son enseignement.

Diabolisation de la femme au XVIIème: considéré juridiquement comme une mineur (cautionné par religion) + intelligence au service du mal (Eve) + "maligne" v.80 (=Diable).

Lutte contre femme = lutte contre diable.

Agnès apparaître conforme v.231: "la besogne à la main".

Cantonner Agnès: dévotion religieuse, culte d'époux, taches ménagères→ pas être cocu.

III-Un texte comique.

Scène d'expo: présenter la pièce et tonalité (comique).

1) Le contraste entre 2 types de femmes (femme soumise//femme savante).

Femme soumise, sotte (Arnolphe)//femme émancipé, savantes du XVIIème (hantise d'Arnolphe).

Hypothèse irréalisable (conditionnel+ ? rhétorique): Agnès s'intéresse 1jour aux beaux esprits → pris de panique ("non, non").

Arnolphe, homme du passé: évolution de la société (préciosité).

2) Arnolphe, un monomane.

Fou ("marotte"=manie ridicule + emblème fous de cours): perdu sens des réalités + sait pas communiquer (écoute pas Chrysalde) + idée fixe.

Monomanie: devenir cocu.

1 seule idée de l'existence: épouser femme innocente → Agnès incapable de réfléchir (v.87-100: corbillon→2 sens jeu de société et panier).

3) Le langage comique d'Arnolphe.

Langue vive: questions + paroles images (maximes) + 1 expression populaire ("huppé") + tonicité (rime intérieur "huppé"/"attrapé" et allitération "p") + jeux de mots ("épouser une sotte est pour n'être point sot"), jeu sur les sons ("épouser"/"pour") + comique gratuit "tarte à la crème".

Scène d'expo: personnage principal (Arnolphe) vit hors de la réalité + terrorisé à l'idée de devenir cocu→enferme Agnès sacrifié à ses désirs égoïstes.

Tension dramatique: nourrit par son aveuglement + sa folie//position responsable de Chrysalde, 1er spectateur de cette scène ridicule.

Spectateur: Arnolphe va t-il arriver à ses fins?

Résumé entre les 2 textes:

Chrysalde se demande si une femme sotte sera distinguer le bien du mal (pas convaincu). Apprend qu'Arnolphe se fait aussi appeler M. de La Souche. Connaissance d'Alain et Georgette qui sont incapables de pervertir Agnès (sots). Elle apparaît pour la 1ère fois conforme au portrait idéal d'Arnolphe. Celui-ci rencontre sur la place le jeune Horace qui lui parle de M. de La Souche comme d'un barbon ridicule, et apprend ainsi sa propre infortune.

Arnolphe mène son enquête et reproche à ses serviteurs d'avoir laissé entrer un homme dans sa maison. Effrayés, ils tombent à genoux. Il interroge habilement qui lui compte son aventure, Horace lui a dérobé un ruban et non sa vertu!

TEXTE N°2: v.612-642, Acte II, scène V.

Scène: "Qui seras le mari d'Agnès?".

Suite quiproquo, déjà: maladie Horace= Amour, "prendre"= "dérobé" (Agnès)= "vertu" (Arnolphe)

Comique situation: Arnolphe rassuré, Agnès dit qu'elle connaissait pas douceurs Amour + être marié pour les goûter→ "mariez-moi donc" c.a.d avec Horace pour elle, avec lui-même pour Horace.

I- Le quiproquo.

1) V.612-626: scène ascendante= fausse entente.

Quiproquo né:

a) Mots équivoques:

* "vous mariez"= "donner un mari" (Agnès)= "épouser qq'1" (Arnolphe).

* "je vous caresserais"= "traité avec affection" (abstrait)= "gestes tendres" (concret).

* "hymen"= mariage en général.

* "vous nous voulez nous deux"= Agnès + Horace= Agnès + Arnolphe.

Accumulation comique situation (seul spectateur comprend) + comique gestes et mots.

b) Rapidité et euphorie: jeu de questions/réponses se multipliant et brisant les vers:

* Rapidité: parfois 1/2 mots + phrase inachevée (v.617)

* Euphorie: interjections (v.619) + "que"= combien + Agnès rit + superlatif "bien"= très.

Agnès émet quelques doutes: "parlez-vous pour de bon".

Passage très rapide: grand bonheur des 2 perso.

2) La rupture: après climax v.626 "lui": mise en valeur diérèse et coupe après.

3) Spectateurs et personnages

Spectateur: position de supériorité sur perso→ comprend quiproquo dû à la précipitation (Agnès par amour, Arnolphe pour pas la perdre) + n'écoute que leur désir.

Attente rupture + réaction perso.

II- Les 2 personnages.

1) Agnès.

Transparente: naturelle, spontanéité, simplicité, mens pas et retiens pas ses émotions (tel un enfant "mais quand?"+ anaphore "que"+ "riant"), sensible ("hélas", "je n'aurais pas le cœur").

Pas si naïve: amour va réveiller son intelligence, ses capacités de résistance.

Sait qu'il est facile de la duper (v.620) + résistance, chagrin et peur (v.640) + se projette dans l'avenir

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