Candide Commentaire

lage : entre l’attitude du personnage qui apparait comme un voyageur devant cette horreur - Antiphrase : « héros » = pour Voltaire ce n'est pas un héros + « boucherie héroïque » = "boucherie" détourne "héroïque"c) Justification philosophique- Vocabulaires employé par l’auteur qui se réfère à la métaphysique = critique les penseurs de son époque qui justifie la guerre- Il se moque des justifications données par les « grands » qui sont favorable à la guerre (« infectaient » = sacrifier des hommes parce qu’ils sont malades)- Lâcheté des philosophes qui justifient la guerre mais qui n’y participent pas («tremblait comme un philosophe»)II- La dénonciation de la guerrea) Hyperréalisme : dénonciation de la guerre- Donné de chiffres approximatifs et important = accumulation : Dénonciation des puissants qui n’ont aucune considération envers la vie humaine. Le but : Choquer le lecteur- Les soldats sont comparés à des bêtes = animalisation « jeunes filles éventrées(…)besoin naturel » =) On s’attaque à la jeunesse, à la virginité - La guerre prive l’homme de sa divinité humaine - « tas de mort et de mourant » = image de l’agonie, de la souffranceb) Les paradoxes de la guerre à travers l’ironie- Vision barbare (« mamelles sanglantes» (la vie devient la mort = sang à la place du lait) / « cervelle, bras, jambes… » = volonté de rendre le passage hyperbolique) + champs lexical de la violence (« criblés de coups, sanglants… »)- Champs lexical de la destruction (« brûlé… »)- Images fortes = Registre pathétique : Métaphore symbolique (« jeunes filles éventrées ») = Emouvoir le lecteur CONCLUSION : Ici, Voltaire a une vision pessimiste de la guerre. Il conteste la philosophie optimiste, la religion, et les puissants. L’auteur dénonce la barbarie de la guerre à travers une histoire fictive où le personnage principal, Candide, reste passif et naïf face à l’horreur qui l’entoure. C’est à travers une description brutale de la guerre et une touche d’ironie que l’auteur arrive à faire réagir le lecteur. OUVERTURE : Dormeur du Val (poésie) ou encore Micromégas qui arrive sur notre planète et qui est horrifiés de voir la violence qu’un aussi petit être que l’homme peut posséder en lui.