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Hermès Et l'Utopie

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nc dans la barque Mésektet puis la laissant voguer au gré des flots je me mis à discuter avec les muses. Le temps passait et nous nous rapprochions de la brume. La barque passa à travers et la visibilité devînt accessible. Je voyais une cascade, entouré des nuages sur lesquels un pont avait été construit. Nous passâmes alors par dessous et atteignîmes la cascade. L'écume faisait secouer la barque, les muses la firent avancer en vitesse puis la traversée de la chute d'eau qui percuta nos corps faisait sans doute le même poids que celui que de devait porter le titan Atlas.

Nous arrivions enfin sur une rive sur laquelle nous pouvions poser les pieds. Devant moi, se dressait un immense mur blanc dans lequel se trouvait un couloir. Les muses empruntèrent donc ce chemin. A l'intérieur j'entendais des cris venant de loin. Les muses m'expliquèrent que le chemin que nous prenions mène aussi aux enfers. Je me rendis compte que le couloir se trouvait être un labyrinthe. Quant aux muses, en dépit de l'étroitesse des couloirs et de la blancheur des murs ne permettant aucune visibilité, n'avaient aucun mal à trouver leur chemin. Nous arrivions donc au bout de ce dédale pour enfin trouver une sortie vers l’extérieur.

Une lueur très vive se dégageait de la sortie. Je sortie alors et je vis devant moi une gigantesque ville parée d'or et de joyaux dont un fière bâtiment surélevé au dessus du plus haut forum surplombait la cité. J’avançais afin d'en découvrir plus sur ce magnifique endroit. Les muses me donnèrent rendez-vous sur la place d'Athéna dès que le soleil sera couché. Je me dirigeais donc au centre de la ville, je finis par me retrouver sur une grande place appelée La Place Ryuugu. Le commerce y était florissant, la population nombreuse, l'atmosphère joyeuse, c'était une ville très active. En marchant, je vis un panneau sur lequel il y avait un plan de la ville, c'est à ce moment que je me rendis compte de l'immensité de cet endroit. Il y avait des explications sur la construction de l'île, car cet endroit ne pouvait pas être une île céleste ordinaire. La carte me donna raison : cette île est en faite un amas de plusieurs îles céleste raccrochées les unes entre les autres. Il était aussi indiqué que l'un des nuages était devenue une zone de non droit. C'était ici la ville basse. Les rues étaient organisées de façon très géométrique et dont la symétrie des bâtiments me faisait presque me perdre. Il y avait beaucoup de monument en l'honneur des dieux : La tour d’Héphaïstos, le Colisée de Mars, et principalement la Place d'Athéna, la plus grande place de la ville situé légèrement plus en hauteur que la ville basse, par laquelle on peut accéder par des ponts, constitue la passerelle entre la ville basse et la ville haute. Il fallait cependant traverser le pont de Poséidon pour monter jusqu'aux beaux quartiers, situés beaucoup plus haut que la ville basse. Dans la ville haute se trouvais un théâtre, que je pouvais d'ailleurs apercevoir, ainsi que le palais du roi. Un endroit attisait ma curiosité, c'était un manoir appelé LeManoir, située dans la zone de non droit dans ville haute. Je continuais donc ma promenade, je voyais que tout les maisons étaient faites d'or, même la maison la plus petite de la ville se trouvait avoir au moins une bordure dorée. Cela ressemble au paradis, il y n'y avait pas d'autre endroit sur Terre semblable à celui-ci, je pensais rêver, j'aurais voulu rester dans cet endroit toute ma vie. Cet endroit me paraissait totalement irréel. Vînt enfin le couché du soleil. Je me rendit à l'endroit convenu avec les muses. Je passais donc par la rue Andonios qui me menait directement devant le pont du PoneyQuiTousse. Je le traversa, et arrivais enfin sur la place d'Athéna. Elle était encore plus grande que ce que je n'imaginais. Une statut de Zeus faite en Saphir et en Lapis-lazuli était placée au centre de la place, et le sol était fait de pavé de marbre. C'était du marbre jaune de Sienne. Ce n'était pas de l'or mais l'effet était le même. Je voyais que les muses m'attendaient au pieds d'un portail qui était aussi grand que devait l'être le cyclope. Je m'approchais des muses et se mirent à courir en direction d'un incommensurable pont qui montait en direction de la ville haute. C'était le pont de Poséidon, il était pour la plus grande partie fait en aigue-marine, très certainement une façon de rappeler la mer. L'ascension commençait donc, je voyais qu'il restait encore un long moment de marche plus je marchais, plus je prenais de hauteur et je pouvais alors commencer à voir à peu près toute la ville basse. Je me décida à questionner les muses sur l'endroit dans lequel je me trouve. Elle me répondirent comme si elles étaient choquée de mon ignorance que nous nous trouvions en Olympe. Je ne pouvais pas les croire. L'olympe, le lieu de vie des dieux. C'est dans cet endroit que tout se passe, que la vie est la plus prospère, que les gens sont toujours heureux. Je voulais sauter par dessus le pont pour vérifier que je ne rêvais pas. Les larmes se mirent à couler. Je comprenais aussi la présence de tout ces joyaux et de toutes ces richesses. Je continuais à grimper le long du pont avec les muses, mais je n'arrivais toujours pas à m'en remettre. Je marchais donc, totalement blasé mais tellement heureux d'être là. Cependant, les interrogations me submergeaient pourquoi étais-je là ? Comment se fait-il que je sois accepté en Olympe ? Pourquoi moi ? Et quelle était la chose que les muses voulaient me montrer ? Je voulais leur demander mais c'était impossible, elles ne me répondaient pas et continuaient à monter le ponts en dansant, l'air joyeux, presque niais.

Une quarantaine de minutes plus tard, nous arrivions enfin au bout de ce pont. La première chose que je voulais voir était LeManoir, mais les muses me dissuadèrent lorsque qu'elles me racontaient les dangers que je risquais en m'introduisant dans la zone de non-droit et me révéla que LeManoir n'était autre que la résidence de vacance du dieu des enfers Hadès et que Cerbère rodait dans toute la zone à la recherche d'imprudent à dévorer, mais que les seuls choses dont il se nourrit sont des plantes concoctées par son valet Charlbo, qui sont appelés Fleurs du mal. Ainsi, je décidais alors d'aller voir le théâtre mais les muses m'en empêchèrent également sous prétexte que des gens sont mort en traversant le pont qui menait à l'îlot où se trouvait le théâtre. Elles me racontèrent que ce pont était en faite un portail direct jusqu'aux enfers. Alors que je réfléchissais si ces excuses étaient valable ou non, l'une d'entre elles me prit par le bras, et m'emmenait vers le titanesque palais de Zeus. On arrivait devant une immense place entourée de douze gigantesques piliers dorée. Toute la place était pour la plus grande partie faite d'or. Quand je levais la tête, je voyais une masse nuageuse, ce qui provoqua mon incompréhension étant donné que de loin, je pouvais voir son palais. Une des muses m'expliquait que le palais est tellement grand qu'il fallut une île céleste entière pour le faire tenir. Des gardent vinrent à notre rencontre, je pensais que c'était pour nous offrir une quelconque aide mais il n'en était rien. Ils avaient tout simplement abusés du vin et voulaient très certainement abusés de même des muses. Celle-ci en profitèrent pour leur demander la clef de la porte des gardes qui mènent au palais. Alors que les gardes donnaient la clefs aux muses, elles se mirent à courir, et moi avec jusqu'au pilier VI. A l'arrière se trouvait une porte fermée qui s'ouvrait grâce à la clef. Et c'était le début d'une deuxième ascension en escaliers cette fois-ci en colimaçon, nous étions en faite dans le pilier. J'en profitais pour demander aux muses s'il y n'y avait pas une entrée principale car pour des muses il me semblait étrange qu'elles doivent passer pas cet endroit. Elle me répondirent que c'était parce que ma présence n'était pas déclaré et que par conséquent on ne pouvait pas passer par l'entrée .. J'étais paniqué, je ne savais pas quoi faire à part continuer de courir dans ces escaliers interminable. Je me trouvais enfin dans l'endroit dont je rêvais depuis toujours et me voilà, j'y suis et je vais pénétrer dans le palais de Zeus illégalement ! Des larmes de désespoir coulaient quand une des muses se tourna vers moi avec un sourire pour me dire que c'était une boutade. Que nous somme passés par cette porte uniquement pour

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