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Texte De Bergson Qu'Arrive-t-Il Quand Une De Nos Actions Cesse d'Être Spontanée

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que nous exectuons parce qu’il vient de nous, parce qu’il resulte d’une décision et implique un choix ». Il parle de mouvements qui ont pour origine la conscience et la volonté et qui sont le produits d’une prise de parti, d’une conduite à adopter. Cependant pour choisir, il faut avoir le choix, il faut donc avoir une conscience. En effet, lorsqu’un individu apprend à conduire, au début il lui ai difficile d’avoir d’avoir des reperes, il lui faut donc faire des choix par exemple pour changer sa vitesse ou appuyer sur le klaxon. C’est à ce moment que sa conscience intervient et qu’il fait les choix necessaires. A partir d’une certain entrainement l’individu passe ses vitesses avec un certains automatisme sans même avoir besoin de reflechir quelle pedale doit utiliser son pied…Ces series de mouvements effectués deviennent alors des automatismes dans lesquels chaque mouvement entrainent l’autre avec la facilité d’une habitude. Plus une action devient une habitude moins nous avons besoin d’y penser. C’est à ce moment la que nous nous posons la question : Où est donc passé la conscience ? Ce fait bien connu, Bergson l’interprete ainsi : « a mesure que ces mouvements […] se determinent plus mecaniquement les uns des autres […] la conscience que nous avons diminue et disparait »,au fur et à mesure que l’action devient de plus en plus automatique, la conscience devient plus faible comme si elle s’était endormie. Nous pouvons donc en conclure que l’automatisme domine la conscience.

Au milieu de son texte, Bergson se propose d’étudier une nouvelle cracteristique de la conscience : « quels sont d’autre part le smoments où noter conscience atteitnt le plus de vivacité ? » Il passe ici d’une extrémité à l’autre la conscience, il passe de la conscience endormie à la celle qui est maximume de son intentsité, pleine de vivacité, d’agilité et de rapidité. Sa premiere hypothese est que la conscience atteint sa vivacité maximale dans « les moments de crise interieure où nous hesitons entre deux ou plusieurs partis à prendre ». Les moments de crises interieurs ce sont les moments durant lesquels un changement important qui engage l’avenir devient necessaire, durant les moments où un bouleversement interne se produit. Ces moments d’hésitations sont ceux où l’on oscille entre deux propositions, entre deux partis. Dans ces moments, on pese le pour et le contre de chaque parti et à la fin on prend une decision. D’où la necessité d’avoir une conscience. La conscience est donc à son maximum lorsqu’il a y un mouvement choisi, issu d’une spontanéité libre. En effet la conscience n’est pas ici ramenée a l’habituel »je pense », à l’habituelle distinction entre la conscience et le corps, au contraire, dans ce texte, Bergson veut montrer que cette conscience passe se construit à partir d’une activité qui se manifeste d’abord dans une dimension corporelle. Et lorsque cette activité est libre, lorsqu’elle est n’est pas automatique, la conscience est alors au maximum de son intensité. Avec cette phrase : « Les variations de notre conscience semblent donc bien correspondre à la somme plus ou moins considérable de choix », Bergson declare que l’intensité de la conscience est definie en fonction de la quantité des choix qu’il y a dans nos actes. Par exemple lors d’un concours, si on nous pose un grand nombre de question, nous voila devenu conscient de ce que nous ecrivons. Il y a devant nous une quantité importante de choix à effectuer, nous savons que notre avenir en depend, c’est pourquoi notre conscience est tres vivace à ce moment la. Par la suite Bergson generalise son analyse à toute conscience.

Pour finir, Bergson precise que la conscience renvoie à la mémoire d’une part et à l’anticipation d’autre part. En effet, il y a un lien entre la conscience et la mémoire : la mémoire est une representation de ce que l’on a vecu, cependant il faut conscient d’avoir vecu, ainsi la mémoire suppose la conscience mais pas l’inverse. Il en va de même pour l’anticipation, la seule difference étant qu’il s’agisse de l’avenir. Bergson fait ici un raisonnement par l’absurde « Si conscience signifie mémoire et anticipation, c’est que conscience est synonyme de choix » : si le choix appartient à la conscience, il ne peut etre lié à la mémoire et l’anticipation, et si la conscience est choix, elle doit toujours choisir or une conscience endormie ne choisira pas, ce qui contredit la définition proposé donc la conscience est bien synonyme de choix.

Dans ce texte, Bergson s’oppose à Descartes. Lorsque l’on relit les premieres lignes du texte, on peut constater que Bergson ,e reserve pas la conscience seulement à l’homme.Dans la deuxieme ligne du texte, il indique que la presence est présente quand il y a vie mais à des degres different. Nous avons dit que l’automatisme prenait le dessus sur la conscience, or cela veut dire que nous faisons des mouvements automatiquement sans réflechir. Cette façon de faire nos mouvements est analogue de l’instinct animal. Ainsi l’animal et m’humain ne sont pas opposéd mais entrent en rapport par une gradation de niveaux : si l’instinct animal, peut-on supposer d’apres le texte, voit l’automatisme prendre le pas sur la decision consciente, celle-ci semble dominer chez l’homme, qui est l’etre par excellence de l’activité libre.

L’automatisme c’est une reposne immédiate

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