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Balzac Et La Petite Tailleuse Chinoise

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ami, qui lui aussi dû partir avec moi dans la montagne car nous étions des « intellectuels ». Mais j’étais démoraliser par le faite d’avoir une chance de trois pour mille de revenir à la ville.

En parlant de votre lit douillé, cela n’a pas été pénible de dormir sur un pilotis au dessus de cochons ?

C’est vrai que vivre dans un dortoir, qui était seulement une cabane adossé au flanc de la montagne , n’était pas le meilleur endroit pour dormir. Nous ne dormions pas beaucoup dans notre maison sur pilotis à cause du froid mais surtout le grognement des cochons qui durait toute la nuit et des gouttes d’eau qui tombaient sur notre toit. Mais après quelques jours dans la montagne, nous avions enfin trouvé la technique pour dormir plus tard. C’est moi, qui eut c’est idée de génie, pour dormir plus longtemps, il décida de tourner les aiguilles en sens inverse de son coq réveil, jusqu’à les faire reculer d’une heure. Ou bien quelques fois, au lieu de tourner les aiguilles en arrière, nous les avancions d’une heure ou deux pour finir plus tôt la journée de travail. Grâce à ces deux trouvailles, nos vies dans la montagne s’améliorèrent un peu. Il faut que dire aussi que nous nous couchions tard le soir, après notre travail dans les mines et les champs nous aimions lire avant de dormir

Vous lisiez ! Les livres n’étaient-ils pas interdits à cette époque ?

Si ! Bien sûr mais nous avions découvert que le Binoclard en contenait surement dans cette valise qu’il cachait sous son lit. C’était l’un de nos amis, il avait notre âge mais vivait dans un village plus bas que le nôtre sur le flanc de la montagne du Phénix du Ciel lui aussi avait été envoyé en rééducation. Même si le Binoclard était l’un de nos amis, il nous cachait des choses sur cette mystérieuse valise. Ma posais sans cesse des questions sur son contenu mais comme à chaque fois le Binoclard niait la chose. Mais à force de le questionner nous avons réussi à en avoir un en échange d’un service.

Quel est ce service que vous lui avait rendu ?

Je peux pas tout vous révéler sur le moyen dont Ma et moi avons réussi à faire chanter ce personnage mais je peux vous dire que la nuit que nous y avons passé a été très difficile.

Pensez-vous attraper le paludisme ?

Non pas du tout. Mon copain et moi avions surtout peur des effondrements dans la mine car les parois étaient très serrées et notre dos raclait constamment la roche qui pouvait s’effondrer à tout moment. Les conditions d’hygiène étaient assez difficiles, nous étions sans cesse tout nu dans la mine. Mais la pire épreuve, pour moi mais aussi Ma, fut le paludisme que j’ai attrapé. Mon copain a dû me fouetter malgré lui pour chasser la maladie mais cela n’a pas suffi. Heureusement nous avons trouvé la petite tailleuse chinoise qui savait comment guérir cette maladie. Elle m’a finalement sauvée grâce à une pâte verdâtre d’une plante qu’elle m’a enduit sur le poignet gauche.

Et vos journées de travail n’est ce pas trop dure ?

Évidemment que les journées étaient dur, vous ne pouvez même pas imaginer ce que l’on a enduré pendant toutes ces journées. Tous les jours, nous avons du transporter des sceaux cylindriques, avec toutes sortes d’engrais animal ou humain, qui a chaque instant peut se renverser sur nous si nous faisons un pas de travers car le chemin est abrupts et étroit. Portez ces sceaux sur le dos étaient vraiment une épreuve pénible

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