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Cartographies et circulation de savoirs

Cours : Cartographies et circulation de savoirs. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  26 Janvier 2023  •  Cours  •  1 196 Mots (5 Pages)  •  197 Vues

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Grande découverte, la formule a souvent été appliquée aux européens comme les créateurs de cette phase. Il y a aussi eu des explorations similaires du côté chinois par exemple, avec ZHENG HE. On utilise le terme de rencontre pour désigner plus clairement entre les explorateurs et les explorés. Non seulement la rencontre, mais avec l’idée qu’ils ont aussi pu écrire leurs propre histoire, la raconter de leurs pdv, qui même vaincus n’étaient pas passifs, n’est pas une histoire à contre coups. Une histoire des grandes découvertes totalement revisitées, datant du 19ème siècle. On va traiter cette question des découvertes aujourd’hui dans un sens géographiques et cartographiques.

INTRO : Cartographies et circulation de savoirs.

Heinrich Bunting

Un monde centré sur Jérusalem. Une carte des qu’âtres parties du monde de 1682. Henrich ne pensait pas qu’elle avait cette forme là. C’est un moyen de rendre hommage à la ville dont il est originaire et le symbole qu’il traduit. La cartographie, est toujours, de manière marquée, a toujours une dimension subjective.

Même auteur, la vierge.

Une autre carte où un cartographe protestant nous donne une visualisation religieuse de la carte du monde. Avec en référence, d’Espagne catholique. La tête de la vierge est là peininsule ibérique, elle tient dans sa main le globe surmonté d’une croix. Du fait de sa centralité elle est fondamentale aussi.

« La carte est ce dispositif qui montre ce que nul œil ne peut voir ». Il parle de l’idée de dénaturaliser les représentations cartographiques. En reversant la carte que l’on connaît aujourd’hui, on retourne un peu cette idée d’hémisphère nord qui a une domination sur l’hémisphère sud. La carte aux bonne superficies : Cette carte est le monde tel qui l’est. Les géographes disent que ce type de cartes existent déjà, et ce n’est pas pour autant que ça fait quelque chose. Dans le savoir cartographique, il y a une sorte de croyance social, il faut faire confiance ou pas aux cartographes. Les cartes ont une dimension politique. Ça peut être repris dans une œuvre d’art, comme ici pour parler et célébrer la décolonisation.

En 1604 on adopte une version de carte pas habituel. Les Ming par exemple, ne sont pas d’accord sur le fait que la Chine soit en périphérique. Dans leurs philosophie : C’est le royaume du centre. Ils font donc une carte ou la chine est au centre.

Matteo Ricco, Carte du Monde. Grande découverte, la formule a souvent été appliquée aux européens comme les créateurs de cette phase. Il y a aussi eu des explorations similaires du côté chinois par exemple, avec ZHENG HE. On utilise le terme de rencontre pour désigner plus clairement entre les explorateurs et les explorés. Non seulement la rencontre, mais avec l’idée qu’ils ont aussi pu écrire leurs propre histoire, la raconter de leurs pdv, qui même vaincus n’étaient pas passifs, n’est pas une histoire à contre coups. Une histoire des grandes découvertes totalement revisitées, datant du 19ème siècle. On va traiter cette question des découvertes aujourd’hui dans un sens géographiques et cartographiques.

INTRO : Cartographies et circulation de savoirs.

Heinrich Bunting

Un monde centré sur Jérusalem. Une carte des qu’âtres parties du monde de 1682. Henrich ne pensait pas qu’elle avait cette forme là. C’est un moyen de rendre hommage à la ville dont il est originaire et le symbole qu’il traduit. La cartographie, est toujours, de manière marquée, a toujours une dimension subjective.

Même auteur, la vierge.

Une autre carte où un cartographe protestant nous donne une visualisation religieuse de la carte du monde. Avec en référence, d’Espagne catholique. La tête de la vierge est là peininsule ibérique, elle tient dans sa main le globe surmonté d’une croix. Du fait de sa centralité elle est fondamentale aussi.

« La carte est ce dispositif qui montre ce que nul œil ne peut voir ». Il parle de l’idée de dénaturaliser les représentations cartographiques. En reversant la carte que l’on connaît aujourd’hui, on retourne un peu cette idée d’hémisphère nord qui a une domination sur l’hémisphère sud. La carte aux bonne superficies : Cette carte est le monde tel qui l’est. Les géographes disent que ce type de cartes existent déjà, et ce n’est pas pour autant que ça fait quelque chose. Dans le savoir cartographique, il y a une sorte de croyance social, il faut faire confiance ou pas aux

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