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Les conditions de travail des mineurs au 19è siècle

Étude de cas : Les conditions de travail des mineurs au 19è siècle. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  8 Décembre 2022  •  Étude de cas  •  1 096 Mots (5 Pages)  •  267 Vues

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Pirotte Emma 

Lefebvre Léa 

Exposé: Les conditions de travail des mineurs au 19è siècle

 Introduction

Aujourd’hui nous allons présenter un exposé au sujet des conditions de travail des mineurs au XIXe siècle.Au cours du XIXe siècle il y a un grand avancement concernant les sciences et les machines surtout pour les machines qui se perfectionne sans arrêt .Grâce à cet avancement de nouvelles techniques sont créés comme le machinisme qui permet d’augmenter la fabrication en remplaçant la main-d’œuvre humaine par des machines qui sont là initialement pour apporter des bêtes aux humains (beaucoup plus présent dans l’industrie et l’agriculture ). Mais les machines n’améliore en rien les conditions de travail des ouvriers. Les conditions sont d’autant plus terrible pour un métier celui de mineur , un mineur c’est d’abord un homme une femme ou un enfant qui travaille dans une mine souterraine pour extraire du charbon et d’autres minerai. C’est un métier difficile et très peu payer attribués à la classe ouvrière. Nous allons demander si le terme de travail est-il moralement approprié pour désigner le dur travail effectué par ces personnes ? Pour cela et dans un premier temps nous allons nous intéresser aux causes des  mauvaises conditions de travail.Ensuite on s’intéressera aux conditions de travail du métier de mineur. Et enfin aux conséquences de ces mauvaises conditions de travail

Quels sont les causes de ces mauvaises conditions de travail ?         

Dans l'Europe médiévale, les travaux miniers relevaient du domaine de l'agriculture. Mais maintenant c’est ceux appartenant à la classe ouvrière d’ailleurs ce sont les machines qui ont crée la classe ouvrière. L'ouvrier moderne est donc maintenant définit comme une usine à lui tout seul. ( ex : il extrait le charbon , sait faire fonctionner les machines ,..) Au départ, la classe ouvrière était principalement composée d'analphabètes déracinés, sans tradition de lutte et habitués à attaquer les choses avec résignation.., et si l'on étend l'expression de la classe ouvrière aux mineurs et aux constructeurs les ouvriers d'usine forment le plus important du prolétariat industriel, élément essentiel de la classe ouvrière.

Mais les machines ne font rien pour améliorer les conditions de travail des ouvriers. Les mineurs sont exploités quelle que soit leur ancienneté et leur sexe.Il n'y avait pas de pension légale et les mineurs devaient travailler dans des conditions très difficiles s'ils voulaient vivre une vie "décente". Pourtant, ils travaillaient 6 jours sur 7, 10 à 15 heures par jour, selon l'entreprise. Pas de congés payés, pas de sécurité sociale. Les salaires étaient payés quotidiennement, aux deux semaines ou mensuellement. Le nombre de jours ouvrables par semaine varie. Celle dépend aussi du marché du charbon. De 6 jours en période faste à 3 jours de mévente (on parlait alors de chômage).

Quelles sont ces conditions de travail ? :                                 

Quand les mineurs parlent des mines, ils les décrivent comme un enfer. Premièrement, il y a l'environnement. Il y fait très chaud et humide, avec des températures pouvant atteindre 50°C. Cependant, il y a des postes qui rendent le travail encore plus difficile. Certains sont courbés tout le temps, tandis que d'autres sont coincés entre deux pierres de moins 30cm haut au minimum. Les éboulements se produisent lorsque le bois n'est pas assez soutenu. Les mineurs portent des mouchoirs humides pour se protéger de la libération de gaz tels que le monoxyde de carbone. Ils ne sont jamais à l’abri d’une explosion de grisou

Dans le travail des mineurs, on garde généralement le côté le plus sombre.. la cage qui les précipite dans le puits, le cheminement dans les galeries obscures; l'effort physique et le danger qui guette dans un quotidien fait de petits accidents plus que de catastrophes.Tôt le matin, on les voyait parcourir les routes avec, sous les bras, le bidon et, au dos, la musette garnie d'un morceau de pain agrémenté d'une carotte ou d'un morceau de lard.Epuisés d'une longue journée, courbés, c'étaient encore eux que l’on revoyaient le soir. Ils ont passé plusieurs heures sur la route entre le travail et la maison. De plus, au XIX ème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue : privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible promiscuité.

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