Commentaire littéraire «Les Liaisons dangereuses, (lettre20)» Choderlos de Laclos

Antonin

Lebas

1°4

Commentaire littéraire «Les Liaisons dangereuses, (lettre20)» Choderlos de Laclos

        Le roman les Liaisons dangereuses est un roman épistolaire,(roman constitué de lettre) basé sur le thème du libertinage (quelqu’un qui est libre d’esprit et qui va voir à gauche et à droite). Ce roman a été écrit par Choderlos de Laclos qui été un ancien militaire et protégeant des villes (garnison) c’est alors qu’il commença à écrire des poèmes, et des romans libertins. C’est en 1782, sous le règne de Louis 16 qu’il publia les Liaisons dangereuses, qui témoigne la volonté de l’auteur de peindre le monde du libertinage et met en évidence la folie des lumières. Ici, la lettre 20 est situé au début du roman, écrite par la marquise de Merteuil, c’est la réponse de la lettre 15 écrite par le Vicomte Valmont. Mais dans cette lettre de la marquise dans quelle mesure, l’habileté de la Merteuil vient-elle servir son libertinage ? Afin de répondre à cette problématique,  nous  commencerons à analyser l’intimité perverse, ensuite le contrat libertin et enfin le projet de corruption machiavélique.

        Tout d’abord pendant toute la première partie du texte, la marquise est moqueuse, elle utilise le champ lexical de la moquerie avec « fripon » phrase1 « folle idée » phrase 4  « rire » phrase 5 ainsi que « gaieté » phrase 6 cette moquerie montre ainsi que la marquise et Valmont se connaisse bien. De plus « folle idée » soulève l’hypothèse que Mme Merteuil pense que Valmont n’a aucune chance de séduire le Présidente. C’est ainsi que Valmont va tenter de conquérir la présidente car c’est la seul facon pour lui d’avoir la main de Mme Merteuil    

        En outre lors de ce premier passage, De Laclos utilise des phrases exclamative montre l’énervement de la marquise  « Ah » situé en phrase 1 et « Je serais femme… à voyer quel scandale » phrase 9. Ces phrases exclamatives sont situées au début et à la fin de la première partie de la lettre ce qui relève une boucle répétitif entre le début du première paragraphe et la fin. De surplus cet énervement reflète la jalousie de la part de la marquise trouvant le comportement de Valmont ahurissant montrant ainsi l’amour de la marquise à Valmont elle qu’elle n’acceptera pas que Valmont aille voir ailleurs.

        hvhvhv

        Cependant dans la deuxième partie du texte, la marquise et très manipulatrice, en retrouvant son côté pervers avec elle comme convoitise « Je deviendrais une récompense au lieu d’être une consolation ». De plus elle rend jaloux le compte de Valmont avec son chevalier qu’elle utilise allégrement et t donc sa soulève ainsi le côté libertin de la marquise voulant à la fois qu’elle est le duc et son chevalier. Ceci relève ainsi son côté manipulatrice et libertine en étant libre d’esprit et d’aller voir ailleurs.