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Question n°1 :

Dans ce texte l’idée principale est celle que de nombreux hommes préfèrent rester dans la minorité. C’est-à-dire, le fait de ne pas avoir de responsabilité et de laisser la personne majeure et responsable prendre les décisions importantes. Ils préfèrent donc rester mineurs et non passer dans la majorité. Tout d’abord, Kant introduit son texte en exposant son idée sur les causes de la minorité chez de nombreux hommes. Ensuite, il développe son idée en donnant des exemples. Enfin, il fait une brève conclusion de son idée.

Question n°2 :

a. La minorité et la majorité n’ont pas un sens juridique dans ce texte mais plutôt un sens moral. La minorité et la majorité signifient l’état mental des hommes. C’est-à-dire, si ils sont prêt à prendre des décisions importantes et des responsabilités ou non.

b. Le premier exemple de Kant dans lequel la volonté peut être tentée par la facilité est le suivant : « Si j’ai un livre qui me tient lieu d’entendement ». Il signifie pourquoi devraient-on réfléchir et chercher une réponse lorsque nous l’avons devant nos yeux dans le livre.

Le deuxième exemple est le suivant : « un directeur qui me tient lieu de conscience ». Cela signifie pourquoi devraient-on réfléchir à comment se comporter et comment agir pour avoir une bonne conscience alors que nous avons un prêtre (ou un pasteur) pour nous donner des directives morales.

Enfin, le troisième exemple est le suivant : « un médecin qui décide pour moi de mon régime ». Cela signifie pourquoi décider de manger telles et telles choses qui soient bonne pour la santé quand nous avons un médecin qui nous dit quoi manger pour avoir une alimentation équilibré.

c. Pour maintenir la plupart des hommes « mineurs », les « tuteurs » leurs montrent le danger qui les menaces en dehors de leur minorité. Ils les effrayent pour faire en sortent que les mineurs ne franchissent pas le seuil des majeurs et pour qu’ils continuent à décider pour eux.

Question n°3 :

Certains hommes sont parfois dès leur plus jeune âge, sous la contrainte, sans la possibilité de penser ni de se renseigner autrement que sous le contrôle. On peut donc se demander s’il est possible d’apprendre à être libre. Tout d’abord le mot « apprendre » est le fait d’acquérir des connaissances et de nouvelles compétences, que l’homme ignorait. Ensuite, « être libre » est le fait de pouvoir penser, agir et réfléchir sans aucunes contraires. Enfin, « peut-on » est la possibilité de faire et avoir la capacité d’accomplir un acte.

Est-il possible d’être libre en l’apprenant ?

Apprendre est

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