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Germinal, Emile Zola

Commentaire d'oeuvre : Germinal, Emile Zola. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  18 Octobre 2022  •  Commentaire d'oeuvre  •  963 Mots (4 Pages)  •  274 Vues

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Germinal est un roman naturaliste d’Émile Zola, publié en 1885, qui fait partie de la Série des Rougeon Macquart. C'est la 13e œuvre sur les 20 que compte le cycle. Dans cette œuvre Il s’attaque à la lutte des mineurs pour leurs droits sociaux. L’extrait de la partie IV du chapitre III s’ouvre sur le protagoniste, Etienne Lantier, un nouveau mineur qui marche dans la nuit tourmenté par ses sentiment.

Mais en quoi cet extrait dépeint-il la misère et les sentiments qui peuvent en découler? Nous verrons dans un premier temps la dimension hostiles de l’extrait, puis les conditions insoutenable auxquelles les mineurs font face.

La répétition du mot nuit nous plonge d’emblée dans l’atmosphère du roman, l’hostilité et la froideur des lieux.

Etienne est dehors en pleine nuit, une nuit «glaciale» et pris «d’une tristesse noire». Tout fait référence à l’obscurité. Et plus il avance, plus cette obscurité s’intensifie: «ténèbres croissants». Il fait sombre et Etienne identifie mal les lieu. Il perçoit confusément les alentours, en effet il «butait sur les pierres». De plus le paysage semble pauvre, dépourvu de la moindre âme et désigné comme «un carré désert».

La mine est décrite au milieu de l’extrait. Le Voreux est comparé a une «masse sombre», une «forteresse abandonnée» et Zola personnifie/ compare la machine d’extraction a une âme. La mine semble délaissé, dépeuplé comme si il n’y avait pas eu de signe de vie depuis bien longtemps, ce qui rend le lieu intriguant. De plus les adjectifs utilisés pour qualifier la mine renvoi a la nuit: «ténèbres», «ombres», ce qui rend sa présence pesante. Il y a aussi une idée de grandeur et de supériorité. En effet les mineurs dépendent de la mine, c’est leur seule source d’argent. Et malgré la nuit, l’obscurité la mine domine toujours: elle est désigné comme une «forteresse» laissant de «grandes ombres». L’énumération: «rien n’y vivait plus, pas une lanterne, pas une voix.. » montre et insiste a quel point c’est désertique. Peut être que c’est une façon de monter que malgré son imposante carrure, la mine n’est plus grand-chose sans ses mineurs pour y travailler.

L’atmosphère lugubre transmis par la référence a l’obscurité. Et le faite que le lieu soit confus au yeux d’Etienne, ainsi que la description du Voreux: une imposante structure malgré l’environnement sombre et desertique, participent a donné une dimension hostile a cet extrait.

Le naturalisme a pour but de reproduire la réalité avec une objectivité parfaite et dans tous ses aspects. Dans cette extrait Zola s’attarde sur les conditions de vies insoutenables.

Les habitants du Coron sont accablé par la misère et la famine. Il un certain nombre d’adjectifs, on repère donc le champs lexical de la douleur: «maltraité, brutale, violent..». Cela montre a quel point le quotidien des mineurs et de leur famille est dur. Zola fait référence a la famine: «peuple luttant,le ventre vide», «ni argent, ni credit» et il répète plusieurs fois le mot «faim». Pour insister sur l’injustice qu’ils subissent, Zola met en parallèle la Compagnie et les mineurs «les ouvriers souffraient la faim, la compagnie entamait des million». A tel point qu’Etienne en viens même a penser qu’il faudrait mieux mourir plutôt que de continuer a subir tout ça: «valait-il mieux que le coron crevât d’un coup». Le coron est tellement bas que lorsqu’Etienne voit la scène où Chaval bat Catherine, il est choqué

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