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L'Alimentation Du Cheval

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idienne

Le poids quotidien total doit se rapprocher du poids qu’il aurait absorbé en 24h s’il était en liberté (pour un cheval d’1m50 = 11,5Kg).

Pour un cheval qui travaille, les concentrés sont donnés en fonction du travail à effectuer. La ration doit être complétée par du foin.

Pour un cheval qui ne travaille pas, les concentrés peuvent être diminués ou supprimés.

La ration doit être ajustée par expérience.

2- Les repas

Idéalement, 7h30, midi, 16h30 et en soirée.

Une fois les horaires établis, il faut s’y conformer le plus possible.

Grosse ration de foin le soir, pour que le cheval ai une réserve pour la nuit.

3- La composition

3-1 Les éléments nécessaires

Les protéines sont essentielles aux besoins du corps. Unité : MADC

Graisses, amidon, sucres fournissent l’énergie et les calories. Unité : UFC.

Les sels minéraux sont une nécessité alimentaire.

L’eau

Les substances fibreuses ou ligneuses donnent du lest et favorisent la digestion.

Les vitamines sont essentielles.

3-2 Les différents aliments

L’avoine :

Il contient tous les éléments diététiques nécessaires de façon équilibrée.

Il doit être consommé concassé plutôt qu’entier.

La quantité donnée doit être en rapport avec le travail fourni, avec le tempérament du cheval et avec le niveau du cavalier car il a un effet excitant.

L’orge :

Equilibre et valeur alimentaire un peu inférieurs à l’avoine.

Elle contient plus de graisses, amidon et éléments azotés, mais moins de sels minéraux et de fibre.

Elle doit être consommée broyée ou bouillie.

Bonne pour les chevaux vivant à l’extérieur l(hier, pour les jeunes et ceux qui sont besoin d’être mis en condition.

Le maïs :

Il est moins fibreux que l’avoine et manque de sels.

Il contient beaucoup d’amidon, de graisses et de sucres ?

C’est un bon aliment chauffant pour l’hiver.

Le blé :

Peu utilisé car la demande pour la consommation humaine est élevée. On peu néanmoins en donner sous forme de son.

Le son :

C’est un sous produit du blé.

Il n’a qu’une petite valeur nutritive.

Il contient de la vitamine B et E.

Il permet au cheval de manger plus lentement, augmente le lest et aide à la régularisation des intestins. Humide, il a un léger effet laxatif.

Les granulés :

Ils contiennent tous les éléments nécessaires à un régime équilibré.

Ils présentent beaucoup d’avantages : complets, manipulation, stabilité, beaucoup de fibres.

Les chevaux les mangent lentement et ont besoin de moins de foins.

Le foin :

Il peut être de 4 sortes.

* La fléole a des tiges grossières et ligneuses mais très nutritives.

* Le trèfle, très bon quand il est bien fait.

* L’assorti provient des pâturages spécialement ensemencés. Il contient beaucoup d’herbes mélangées. C’est le plus courant et le meilleur s’il est bien fait.

* Le pâturin est le foin coupé dans les prairies permanentes. Il peut être très bon car les espèces sont diversifiées, selon le terrain.

Le foin ne doit pas être poussiéreux, noir, sentir le moisi ou humide.

La paille d’avoine :

En association avec des concentrés. Très appétissante.

Le pois et les haricots :

Très nutritifs et caloriques, on ne les donne qu’à des chevaux qui travaillent beaucoup ou qui passent l’hiver à l’extérieur.

La graine de lin :

Elle a une grande proportion d’éléments qui produisent des graisses. Elle est donc utilisée pour le cheval qui a besoin d’engraisser.

On l’utilise aussi pour les concours d’élevage, car elle rend le poil luisant.

Elle doit être consommée bouillie et mijotée.

Le sucre de betterave et la pulpe de noix :

Changement agréable.

Ils doivent être consommés trempés.

Carottes, navets, rutabagas, pommes :

Friandises.

Le gruau :

On le donne à des chevaux très fatigués.

Il est composé de 2 poignées de farine d’avoine sur lequel on a versé de l’eau bouillante. Servi froid.

III- Les vitamines

1- L’importance des vitamines

Les vitamines sont des composés organiques qui jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme. La plupart sont des activateurs de réactions enzymatiques. La vitamine D joue plutôt un rôle d’hormone.

Chaque molécule agit, pour autant qu’elle soit disponible à une quantité optimale. Tout déséquilibre à de fâcheuses conséquences.

Les vitamines ADEK sont liposolubles. Elles sont stockées dans les tissus adipeux et dans les composants cellulaires lipidiques.

BCH choline, hydrosolubles, sont présentes dans le milieu intra-cellulaire, peu stockées et éliminées au bout de 48h.

La majorité des vitamines se trouvent dans les fourrages verts ou conservés, dont les qualités sont variables selon différents facteurs. Difficile à quantifier, d’où une supplémentation vitaminique.

2- Le rôle des vitamines

A : vision, résistance aux infections, croissance, reproduction.

D : absorption intestinale du calcium, minéralisation osseuse.

E : rôle anti-oxydant avec protection du muscle.

K : coagulation sanguine.

B : intervention dans toutes réactions métaboliques (P, G, L), protection du foie, de la peau, etc. Elaboration de l’hémoglobine.

C. régularisation de la synthèse osseuse, réactions anti-stress

3- Les suppléments vitaminiques

Les périodes à surveiller :

En hiver, avec les rayons solaires moins actifs, la synthèse de la vitamine D diminue. Si les températures sont basses, les dépenses énergétiques sont accrues et les besoins en vitamine C augmentent. Une activité musculaire intense peut nécessiter une supplémentation en vitamine E, B et C. Un cheval parasité aura des besoins en vitamines C accrus.

La sortie de l’hiver et la saison de compétition sont des périodes clés.

Si l’on se trouve aux limites inférieures des quantités minimales requises par ke cheval,

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